Archives de l’auteur : Jean-Claude L. M.

Dimanche 28 juillet 2024 – Santa Catalina, Sisco

Dimanche 28 juillet 2024
Spéléo, initiation
Santa Catalina, Sisco

Participants
ITP : Catherine B., Christophe C., Jean-Claude D. B., Adriana D., Antonio E. G., Éric G., Jean-Claude L. M., Francis M., Laureen N., Noël R., Alexia S. B.
Initiés : Jean-François et Laurina B., Nathalie C., Christophe et Stéphanie C., Corinne et Jean-François M.

TPST : 3h30

Sea, Spél and Sun 😆

La canicule s’est installée en Corse, où trouver un peu de fraicheur ?

Planche VII des dessins de Gaubert entre 1886 et 1889 (coggia.com)

Planche VII des dessins de Gaubert entre 1886 et 1889

Les spéléos ont bien sûr la solution, aller sous terre !
Certes, mais c’est les vacances, et qui dit vacances dit soleil, mer, bronzage, pique-nique.
Solution, faire les 2 🙂

La grotte de Santa Catalina s’ouvre en bord de mer, c’est une grande galerie remontante se dirigeant vers la chapelle du couvent homonyme. La légende dit qu’il y aurait jonction entre la cavité et la crypte de la chapelle …

Une bonne partie de l’équipe se retrouve au local. Préparation du matos, café et direction le Cap.
Peu de touristes sur la route, les places de stationnement sont libres au départ du chemin d’accès.

Entrée avant effondrement

Guide des grottes d’Europe occidentale AELLEN Villy – STRINATI Pierre

Le convoi pour descendre tout le matériel est digne d’une grande expédition !

La plus grande partie du groupe se retrouve dans l’entrée de la cavité, Christophe le grand nous y rejoindra depuis la marine de Sisco où il mettra à l’eau le catamaran à pédale et le paddle. D’un côté la fraicheur de la grotte, de l’autre la fraicheur de la mer, Antonio a déjà fait un choix et nage au large 🙂
Mais le programme c’est le programme, chacun s’équipe sous les conseils des anciens et presque anciens 🙂 . Pendant ce temps Antonio et JCL partent équiper l’unique puits permettant l’accès au réseau supérieur.

Le câble d’acier latéral qui équipe la vire permettant d’atteindre la tête de puits est toujours en place mais l’accès est toujours aussi physique et aérien. Les amarrages de fin de main courante sont à revoir. S’il y a bien une plaquette inox, le maillon rapide est quant à lui sérieusement oxydé, impossible à défaire pour le remplacer. Pose d’une autre plaquette et maillon inox sur un spit dispo qui serviront de tête de puits avec les amarrages existants. La corde est prolongée jusqu’à la salle supérieure. Un kit servira de protège-corde.

Tout le monde se retrouve ainsi dans cette salle supérieure bien concrétionnée d’où partent quelques petites galeries qui seront toutes visitées.
Photo de groupe puis retour dans la galerie principale. Antonio se charge du déséquipement en installant la corde en mode rappel, lestée d’un côté par 2 équipiers.

La chaleur à la sortie de la cavité précipite une bonne partie de l’équipe dans l’eau de mer, trop chaude pour certains, parfaite pour d’autres.
JCD a pris de l’avance, le charbon de bois est en braise, prêt à accueillir merguez, chipos et filets de porc.
La table pliante du club est installée, elle est rapidement chargée de diverses victuailles. Bières et bouteille de vin sont débouchées, chacun s’alimente en mode auberge espagnole.
Le vieux combattant de service relate divers épisodes de l’histoire du club, notamment le passage de certaines étroitures …

Rebelote l’après-midi avec baignade générale. Certains goûtent aux joies du paddle ou du catamaran à pédales de Christophe le grand. Visite d’une « grotte » s’ouvrant à proximité à raz de l’eau, sauts depuis le rivage ou tout simplement farniente sur les rochers. Le temps est vite passé, il est l’heure plier le camp.

Le passage des fraicheurs souterraine et maritime à la fournaise de la remontée est brutal !

Retour au local, rangement du matos, un dernier rafraichissement et c’est la fin d’une sortie bien sympathique ayant réuni 18 membres, ex-membres, conjoint(e), enfant et initiés, 14 ont fait le parcours complet.

Un retour pour brocher le puits en amarrages inox est envisagé …

JCL


Petit retour des initiés nantais pour qui c’était une première expérience spéléo :

Chers Membres du club

Je tenais à vous exprimer toute ma gratitude pour l’expérience incroyable que nous avons vécue lors de la visite souterraine en spéléologie. Ce fut une aventure extraordinaire, et je suis profondément reconnaissant pour votre expertise et votre passion qui ont rendu cette journée inoubliable.

La découverte des grottes cachées et la beauté saisissante des formations rocheuses étaient tout simplement époustouflantes. Votre connaissance approfondie des lieux et votre capacité à partager des anecdotes fascinantes ont enrichi notre visite de manière significative. Nous avons également beaucoup apprécié les moments de baignade dans ces eaux cristallines et rafraîchissantes, un véritable privilège en pleine nature.

Merci pour votre patience, votre bonne humeur et pour avoir veillé à notre sécurité tout au long de l’excursion. Cette journée restera gravée dans nos mémoires comme un moment fort de notre séjour en Corse.

Jean-François M.


Préparatifs
« de 35 »

Lundi 20 mai 2024 – Grotta di a Regina, Murato et Vallecalle

Lundi 20 mai 2024
Spéléo, exploration
Grotta di a Regina, Murato et Vallecalle

Participants : Michaël D., Jean-Claude L. M.

TPST : 0h30

Journée multi-activités en ce lundi de Pentecôte.

VTT d’abord avec un circuit démarrant à Rutali et revenant à … Rutali, après être passé par la chapelle Santa Chiara, la stèle commémorative du crash du Dragon 2b en 2009, la croix érigée à l’endroit du crash et fait la jonction avec le Trà aghje è pagliaghji, un sentier reliant pagliaghji et aires de battage que nous avons parcouru en partie. Jonction pas simple avec quelques égarements maquisesques.

Pique-nique à la fontaine de Rutali puis direction la Grotta di a Regina à cheval sur les communes de Murato et Vallecalle.

Exploration plus complète que lors de la dernière visite (https://itopipinnuti.fr/exitp/cr2021#Mercredi_10_mars_2021). Se référer à ce compte-rendu pour avoir quelques infos complémentaires sur ce lieu important pour l’archéologie insulaire.

C’est donc un immense amas de blocs rocheux dans lequel des fractures de foisonnement plus ou moins reliées entre elles peuvent être parcourues plus ou moins facilement. Des escalades permettent de rejoindre le haut par l’intérieur de l’amoncellement. Ce dernier fait plus de 1500 m² de superficie et compte une centaine de mètres de galeries à topographier. Une corde peut être utile pour explorer certaines fractures non descendues.
Aucune chauve-souris aperçue ce jour.

Fin du volet spéléo, place à l’histoire. Visite (payante maintenant, 2€) de l’église pisane San Michele de Murato que Micca ne connaissait pas, et pour finir la journée, un coup d’œil au pont de Torreno sur le Bevinco, bel ouvrage génois qui a la particularité de se situer à la jonction de 3 communes, Vallecalle, Rutali et Olmeta di Tuda. C’est un pont à 3 arches, il est dit qu’il y en a une sur chaque commune …
Cet endroit serait idéal pour laver certaines cordes spéléo en grand besoin. C’est à 5 mn de marche de la route, on peut se baigner et pique-niquer 🙂

JCL

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« de 24 »

Mardi 16 avril 2024 – Prospection Pietralba

Mardi 16 avril 2024
Spéléo-VTT, prospection
Pietralba

Participants
ITP : Michaël D., Jean-Claude L. M.

Plusieurs objectifs pour cette sortie mixte VTT-Spéléo :

  • faire du VTT 🙂
  • faire une reconnaissance des « gouffres » de Pietralba
  • jeter un œil à la falaise d’entrainement épisodique de Pietralba
  • (re)prospecter le secteur nord de cette falaise
  • essayer de rencontrer le ou la propriétaire de la falaise afin d’en assurer l’accès

Premier objectif atteint, sans utilisation du sécateur pour la partie VTT 😀
Départ de la petite chapelle Santa Maria de Pietralba et direction le hameau de Pedanu. Nous empruntons ensuite différentes pistes qui mènent au point côté 594 dominant le secteur des anciennes mines de cuivre, que nous rejoignons au jugé.

Parcours VTT

Parcours VTT

Deuxième objectif
Les 3 points noirs étiquetés « Gouffres » sur la carte IGN qui ont de quoi titiller l’imagination de tout spéléo qui se respecte. On savait que ces gouffres étaient en fait d’anciennes mines de cuivre, mais il fallait le vérifier de visu.
Un 1er puits se présente, il est rempli d’eau, ainsi que le 2ème à quelques mètres.
Plus bas une galerie en partie noyée, waders nécessaires.
Puis voilà le 1er « vrai gouffre ». Un puits où les cailloux rebondissent agréablement pendant quelques secondes. Profondeur estimée à une dizaine de mètres suivis par peut-être un plan incliné.
Le dernier puits se présente comme un ressaut de 3 m avec à sa base un plan incliné suivi par ce qui semble être une galerie horizontale.

Retour aux véhicules par le ravin d’Erbaiolo. Pique-nique devant la chapelle.

Prospection

Prospection

Troisième objectif
La falaise d’entrainement se situant à proximité, il était impensable de ne pas y jeter 4 yeux, d’autant plus que Micca ne la connaissait pas. On tente également de repérer un autre chemin d’accès pour éviter de laisser les véhicules aux emplacements habituels. On essaie en contournant les barbelés face au point côté 437 au sud-est de la falaise. C’est faisable mais il faut d’abord escalader un ressaut de 3 mètres, pas facile. Visite du bas de la falaise et tentative de rejoindre le haut par la vire. Abandon suite manque du matos nécessaire, il faut également élaguer un olivier qui a pris ses aises en plein milieu de la vire, là où le passage se resserre sérieusement. Nous contournons la falaise par le sud-est.

Quatrième objectif
Prospection du haut de la falaise avec tentative de repérage des amarrages de départ des voies, on n’a pas tout retrouvé …
Nous continuons la prospection jusqu’au point côté 590 sur la carte. Peu de résultats, quelques traversées dans les foisonnements entre blocs et une petite galerie de quelques mètres occupée par un petit rhino.

Cinquième objectif
La recherche des propriétaires de la falaise avait commencé dès le matin avec la discussion avec un ancien de passage, un premier nom de berger nous avait été indiqué. Nous partons donc vers le village avec un peu d’espoir. La maison du berger est trouvée, discussion avec ce dernier qui n’est pas le propriétaire. Nouveau nom, nouvelle recherche et bingo la propriétaire nous ouvre sa porte. Explication de notre démarche, mais explication de sa volonté d’interdire l’accès à la falaise. Elle a en effet constaté des dégradations perpétrées par des grimpeurs de passage, principalement teutons. Murets éboulés, ruches renversées, détritus et sacs poubelle laissés sur place … Et surtout elle ne veut être mise en cause en cas d’accident. Elle a aussi évoqué des spéléos « chauves-souris » qui se « reproduiraient » dans le coin 😀

Nous argumentons de notre sérieux par rapport à tous les points évoqués, on récupère son mèl, un courrier lui sera adressé pour préciser le tout.

Un petit arrêt réhydratation au Carré d’As à Ponte Leccia et fin de cette sympathique journée multifacette.

JCL

2024-04-16-Mines-de-Pietralba LMJC 001
« de 18 »

Jeudi 28 mars 2024 – Mine de Cardo, Grotta della Gradicchia – Bastia

Jeudi 28 mars 2024
Spéléo, repérage
Mine de Cardo, Grotta della Gradicchia – Bastia

Participants
ITP : Michaël D., Jean-Claude L. M.

TPST : 0h30

Les mines de Cardo ont été exploitées durant la 2ème partie du 19ème siècle pour ses sulfures de fer (pyrite) et de cuivre (chalcopyrite). Exploitation abandonnée par manque de rendement.

Notre dernière visite remonte au 9 décembre 1995 (https://itopipinnuti.fr/exitp/cr1995#Samedi_9_decembre_1995), elle avait précédé une mise en sécurité réalisée par le BRGM à la demande de la DRIRE. Toute les galeries ont été bétonnées, à l’exception de la galerie G2, où une prise d’eau ancestrale avait permis à un riverain de bénéficier d’un accès, à la condition d’en gérer la fermeture.

En vue d’agrémenter cette journée d’AG liguesque d’une petite sortie à la demi-journée une étude sur les possibilités d’accès se décide tardivement. Elle s’avère infructueuse par téléphone, une reconnaissance sur le terrain est donc nécessaire.

Débauchage de Micca qui s’apprêtait à rejoindre Mumu au local pour de basses besognes matérielles. On peut préciser que le débauchage a été facile sans avoir eu besoin de menacer l’individu 😀

Nous voilà sur la place de l’église, premier contact avec un petit groupe d’anciens papotant de diverses choses d’anciens. Ils nous confirment que le propriétaire qui avait signé la convention avec le BRGM est toujours au village, à quelques dizaines de mètres de là. Nous voilà maintenant devant son domicile, premier contact avec la fille (?), qui appelle aussitôt le vénérable de la maison. Nous présentons notre démarche et le courant passe rapidement. On a droit à diverses anecdotes et rappels historiques datant de la dernière guerre, mais il ne possède pas le sésame d’accès à la galerie espérée. Nous le quittons à regret, on ne se lasse pas des histoires racontées par les anciens, et décidons de nous approcher de la mine.

Surprise en arrivant devant l’entrée de la mine, nous bénéficions d’un accès libéré par des prédécesseurs et nous en profitons évidemment pour effectuer une rapide visite de la galerie, elle sera également possible le samedi de l’AG.

Une petite visite de la Grotta della Gradiccia termine cet après-midi de reconnaissance, avant de retourner au local et de s’y faire réprimander par Mumu 😀

JCL

Dimanche 17 mars 2024 – Grottes San Michele-Oubliée-Steph, Sisco

Dimanche 17 mars 2024
Spéléo, visites
Grottes San Michele-Oubliée-Steph, Sisco

Participants
ITP : Christophe C., Wanda C., Adriana D., Antonio E. G., Henri-Pierre F., Jean-Claude L. M., Laureen N., Benoit R., Vanessa S., Franck Z.
Initié : Louis-Mathis S.

TPST : 2h00

Il est des cavités que l’on peut visiter en tenue du dimanche comme Brando, d’autres avec de grands volumes comme Cast 2, des vertigineuses avec de grands puits comme Ghisoni, et puis il y a les délaissées, les petites, les ignorées, celles dont l’accès est parfois épique et piquant, celles où il faut être un peu maso ou spéléo pour daigner leur rendre honneur. C’est donc une sortie « grottes oubliées » qui est improvisée pour ce beau dimanche de mars, et c’est avec un panier de 5 cavités que nous nous dirigeons vers le Cap.

Première étape, la grotte San Michele. C’est une cavité sépulcrale, joliment concrétionnée, qui a abrité une sépulture collective secondaire attribuable au Chalcolithique ou au Bronze ancien.
Compléments d’infos :
https://journals.openedition.org/adlfi/23349
https://journals.openedition.org/adlfi/23037

Le mur de ronce de la dernière visite s’est éboulé, l’accès ne pose aucun problème, d’autant plus qu’Alain et Léo y sont passés la veille.
Antonio entame l’escalade du ressaut d’accès à la cavité de face, JC préfère la voie gauche. Une corde d’assurance est installée sur le houx dont le tronc principal est maintenant sec. Tout le monde se retrouve en haut, qui en libre, qui par la corde. La visite est rapide, y compris celle du réseau supérieur. Examen de la zone de fouilles, photo de groupe et c’est la descente. Là encore qui en libre, qui par la corde.

Deuxième étape, la grotte Oubliée. Pourquoi « oubliée » ? Tout simplement parce qu’on avait oublié d’en faire la topo et qu’on n’avait pas beaucoup d’idée pour lui donner un nom 🙂

HP avait tenté d’y accéder quelques semaines auparavant mais n’avait pu y descendre. Une bonne surprise nous attend cette fois-ci, un passage a été découpé dans les salsepareilles, presque un tunnel de verdure. Une corde, non indispensable, est installée pour descendre un petit ressaut puis on remonte la petite anse par une vire naturelle, le porche s’ouvrant en haut d’un éboulis joliment décoré par les giroflées en fleur.
La visite est rapide là-aussi puisque la cavité se résume à une petite galerie d’entrée, suivie par une chatière en pente, puis une « grande » salle où trône en son milieu l’Esprit des lieux, posé sur son menhir. Encore une galerie dans le prolongement et c’est la fin.
Deux grands rhinos accompagnent l’Esprit, un nid vide est perché dans la galerie d’entrée.
Visite rapide de la 2ème cavité qui s’ouvre en bas de l’éboulis, de la 3ème de l’autre côté de l’anse et une partie du groupe retourne vers route par le sud en explorant une autre fracture.

Troisième étape, la grotte Steph. Pourquoi Steph, là-aussi manque d’inspiration, c’est le diminutif de l’ancienne membre des topi qui l’avait découverte.

Mais c’est d’abord l’estomac qui impose sa priorité, manger !
C’est le même endroit que lors de la dernière visite en 2014 qui est choisi. Le feu est allumé à côté du muret qui longe le parking et les saucisses apportées par Christophe s’y font dorer la pilule.
Après les agapes l’envie de siester est grande, les topi font preuve d’un grand courage pour se lancer dans la recherche de la grotte Steph.

Même si la position de la cavité est à peu près repérée, la descente directe n’est pas très engageante, d’autant plus que le trou dans le muret qui avait servi de 1er amarrage en 2014 n’est pas retrouvé. Il est donc décidé de tenter une approche par le bas en profitant d’un chemin découpé dans le maquis et qui permet de rejoindre le littoral.
On passera sur les tentatives de green-varappe qui ont ponctuées le parcours et la disparition de Loulou dans un trou caché par le maquis, le point positif étant la découverte par Franck et Christophe d’une fracture permettant une traversée après un peu de désob.

Vue d’en-dessous une base de cairn est repérée devant un amas de gros bloc rocheux qui réveillent les neurones de JC et c’est finalement Laureen qui s’en approche en bataillant avec le maquis. Une corde d’assistance est installée depuis un double amarrage constitué de 2 câbles téléphoniques trainant dans le maquis 😯 et tout le monde se retrouve devant l’entrée pas très engageante. C’est en effet une chatière où ça frotte sévère pour certains …

Visite plus ou moins complète, suivant affinité avec les étroitures. Deux petits rhinos occupent les lieux. Découverte d’ossements de chèvre après le 2ème ressaut par Wanda. Au milieu de ces restes une cloche probablement en bronze avec son collier d’attache. On se pose la question du comment la chèvre a bien pu se trainer jusqu’à cet endroit !

Sortie plus ou moins aisée, Christophe la trouvant trop facile se permet de sortir les pieds en avant et sur le dos, pas facile quand ça monte !

Retour au local avec un goût de reviens-y dans le secteur pour rendre visite à l’aven du Sémaphore, à la traversée de Cap Sagro et à la grotte de Standarone …

JCL

VS VS 019
« de 89 »