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Samedi 11 et dimanche 12 novembre 2023 – Initiation, brochage, travaux Ghisoni

Samedi 11 et dimanche 12 novembre 2023
Spéléo, initiation, brochage, travaux
Buga di a Cutina, Ghisoni

Participants
ITP : Antoine B., Christophe C., Albert D., Dominique D., Adriana D. C., Antonio E. G., Eric G., Jean-Claude L. M., Laureen N., Noël R., Alexia S. B., Franck Z.

TPST samedi : 3h30
TPST dimanche : 5h00

Photos

Depuis quelque temps, les RDV sont maintenant bien rodés : Numéro 4, Aléria et départ piste.
Répartition et chargement dans les 4×4, café et pain, derniers achats de dernière minute.

Nous craignions que le mauvais temps de ces derniers jours ait quelque peu dégradé un peu plus la piste et que des arbres soient tombés sur la piste depuis notre dernière visite en juillet 2023. Apparemment l’état de celle-ci est toujours le même. Nous allons voir des 4×4 de chasseurs au niveau du premier col et un chasseur isolé au niveau du plateau de l’ancien bivouac spéléo.

Ensuite viennent s’enchaîner les allers-retours 4×4 Casetta, puis mise en eau par Acqua Publica. Dans un premier temps, nous allons tester l’étanchéité de la cheminée. A ce propos l’allumage du feu n’a pas été très facilité par l’humidité du bois et nous avons triché un petit peu en utilisant des allume-feu.

La météo du samedi est clémente et l’apéro sera pris en terrasse. Quelques bonnes pâtes à la sauce tomate pour prendre des forces, arrosées au jaja traditionnel. Une poubelle « spécial verre » est mise en place.

Fromage, dessert, fruits pour finir nos premières agapes. Nous avions venté aux nouveaux membres du club le confort de la Casetta surtout en insistant que depuis le mois de juillet nous avions de « l’eau chaude ». Mais QUID pour l’allumage du chauffe-eau. Nous essayons en vain plusieurs fois, mais celui-ci refuse de s’allumer. Nous vérifions le mode d’emploi pour être sûr du coup. Mais après réflexion, il semblerait que les piles soient HS. Ça commence mal, du coup nous appelons Noël et Alexia qui doivent nous rejoindre dans l’après-midi pour leur demander de prendre des piles « AA ».

Avant le repas, JCL et Christophe reconvertis en techniciens en solaire terminent le remplacement des anciens panneaux solaires par des modèles plus performants.

L’après-midi est bien avancé quand une équipe composée de : JC, Anto, Eric, Franck, Christophe, Laureen, Antonio, Adriana, prennent le chemin du trou. Le but étant dans un premier temps de montrer l’entrée de l’ogre de Ghisoni aux nouveaux membres du club de façon à savoir ce qui les attend le lendemain. Puis équiper le puits jusqu’au dernier puits du circuit classique.

Pendant ce temps Albert va nettoyer les branches se trouvant sur le chemin du captage, et Dumè va rentrer du bois auprès de la cheminée.

Il fait déjà nuit quand arrivent Nono et Alexia. Ils ont porté les nouvelles piles AA pour le chauffe-eau, mais ce ne sont pas les bonnes : en fait il y a eu confusion et le bon modèle était LR 20.

Tant pis on sera obligé de se passer de l’eau chaude. On fera l’impasse pour prendre une douche. Par contre pour la vaisselle on reprendra les habitudes à « l’antigua » en chauffant de l’eau dans la marmite.

Lorsque l’équipe revient du trou on relance l’apéro du soir et on met à réchauffer la « petite » gamelle de lentilles saucisses concoctées par Franck (quelqu’un lui a dit de faire 2 kg de lentilles pour 12 personnes). Ça sent bon dans notre petite chaumière. Comme d’habitude on ne va pas mourir de faim ni de …. soif !!!! Et pour digérer ce frugal dîner on va goûter à quelques produits locaux et extra locaux : châtaignes grillées accompagnées de chartreuse, myrte, limoncello et aquavita. Puis petit à petit on ressent que le marchand de sable s’approche de nous. C’est l’heure de se coucher : vu le nombre de participants il va y avoir plusieurs options : Franck et Albert regagnent leur tentes respectives. 9 topi sur la mezzanine. Et Dumè qui, attaqué par un gros rhube, va dormir en bas sur le lit de camp pour essayer de ne pas trop contaminer ses voisins. Il va également se prendre pour une vestale* et au fur et mesure de la nuit, il va alimenter l’âtre en bûches. La nuit est assez calme (avec cependant quelques inévitables bruits suspects). Sur le coup de 4 h du mat on entend « toc toc toc » sur la toiture de la Casetta. En fait la pluie s’est invitée pour nous tenir compagnie.

Vers 7 h / 7 h 30 la bonne odeur du café est la bienvenue pour le réveil de la troupe. Il est environ 8 h 30 lorsque « Bon maintenant il faut y aller » lance JC. Il est vrai que le crachin du matin n’est pas des plus encourageant pour aller faire le trou. Mais l’optimisme gagne sur le pessimisme et voici que l’équipe du trou quitte le havre de paix. A signaler que vers 9 h 30 la pluie a fait place au beau temps et à des bourrasques de vent

Deux équipes dans le trou, Anto et Franck encadreront les 4 nouveaux membres de l’association jusqu’au Musée, à la moitié du trou. Les nouveaux se débrouillent déjà comme des anciens et font un rapide aller-retour ! Pendant ce temps, JC et Eric se chargeront de terminer le brochage du circuit classique. Une broche de fractionnement en plafond avant le P16, plus deux en tête de puits. Descente au fond du trou qu’Éric n’avait jamais visité.

Repérage effectué lors la remontée pour l’installation du futur limnigraphe. Une lunule dans une draperie à environ 5 mètres de la tête de puits fera l’affaire pour accrocher la corde, elle sera lestée par un gros caillou qu’on pourra récupérer en bas du P51.
Coup de main d’Anto qui vient récupérer les deux kits de brochage, Eric et JC se chargent de déséquiper le trou.

Du côté de la Casetta, Noël, Alexia, Albert et Dumè vont finir le rangement de la mezzanine et poursuivre la mise en place du plafond de propreté au-dessus de la cuisine pour éviter la chute de poussière sur le coin cuisine et au-dessus de la table. Après quelques coups de scie, de marteau et de noms d’oiseaux le rustique travail est terminé.

L’après-midi est bien entamée et l’équipe du trou n’est toujours pas de retour. Nous continuons le rangement et commençons les rotations vers les véhicules. Il est quasiment 16 h 00 lorsque les explorateurs reviennent à la Casetta. Après l’effort, il leur faut du réconfort, donc : apéro, grillades, lentilles saucisses et pour finir un petit rustique à la braise, tout cela accompagné de jus de raisin et de houblon.

Il ne faut pas trop traîner si on veut faire la piste de jour. Malgré tout nous quittons le parking vers 17 h 15 et ferons la dernière partie de la piste en mode éclairage nuit. Nous retrouvons le goudron, vidons les poubelles et nous donnons rendez-vous au local pour y déposer le matériel vers 20 h 00.

*Les vestales (virgines Vestales) sont les prêtresses de Vesta, la déesse du feu et du foyer à Rome. Cette divinité est représentée par le feu qui brûle de manière permanente dans son sanctuaire du Forum (Aedes Vestae). Ce feu est entretenu et surveillé par les vestales qui se relaient jour et nuit pour mener à bien cette mission.

Dumè, JC

 

Vendredi 14 et samedi 15 juillet 2023 – Travaux casetta de Ghisoni

Vendredi 14 et samedi 15 juillet 2023
Travaux casetta de Ghisoni

Participants
ITP : Antoine B., Wanda C., Dominique D., Michaël D., Eric G., Jean-Claude L. M., Marie Pierre R., Yorick S., Franck Z.
Invités : Raymond C., Antony et Carine D.
Toutounette : Naïca

Photos

Le week-end « Casetta » qui avait été programmé au printemps avait finalement été reporté en raison d’un manque de participants.

L’objectif de ces 2 jours est le suivant : poursuivre l’amélioration et le confort de la Casetta et peut-être de faire le trou. Ci-dessous une liste non exhaustive des petits travaux prévus :

– Monter les 14 chaises écolières pour remplacer les chaises pliantes (qui sont un peu plus volumineuses)
– Crépir l’intérieur du mur de la cheminée coté sentier
– Installer le chauffe-eau afin d’avoir un peu plus de confort pour faire la vaisselle et prendre une douche digne de ce nom
– Installer le nouveau détendeur à 3 sorties et y raccorder le tripatte et le chauffe-eau
– Commencer la mise en place du parquet mural de la mezzanine
– Tester les 2 garde-mangers
– Raccordement de l’indicateur de charge de la batterie solaire
– Et éventuellement en fonction de l’état de fraîcheur des troupes de faire le trou. En principe cela permettrait à Micca d’équiper et de s’entraîner pour le camp spéléo du mois de septembre
– Et + si affinités.

Donc nous voilà le vendredi 14 juillet avec un premier RDV à 7 h 00 au PN n° 4 pour JCL, Anto, Eric, Wanda et Franck. Dumè va récupérer directement MPR au carrefour de Lucciana (pas à un croisement de routes, mais au centre commercial).

Notre convoi va prendre la RT 10 jusqu’à Aléria pour prendre une « prima colazione », du pain et également attendre la smala Durastanti qui en fait va prendre un peu de retard. Ils nous rejoindront directement sur la piste. Il est environ 9 h 15 lorsque nous attaquons la montée. Dès le départ de la piste, juste avant l’aire de covoiturage, nous devons jouer de la tronçonneuse pour dégager un pin qui obstrue le passage. L’état de la piste ne s’est pas amélioré depuis notre dernier séjour des 5 et 6 novembre 2022. La montée va alterner entre roulage et arrêts fréquents pour « dégagements d’arbres au sol ». Certainement que les coups de vent de cet hiver ont eu raison de plusieurs pins à moitié secs et parfois morts.

Enfin il est 11 h 30 quand nous atteignons le terminus. Juste une cinquantaine de mètres avant celui-ci, une grosse branche d’un châtaignier s’est cassée, elle est restée en équilibre instable sur le haut du tronc. Donc JCL fait faire un 180 degrés à son land pour venir en marche arrière y accrocher la dite branche et la tirer pour la sortir du milieu.

Une fois au terminus, la première opération consiste à faire un demi-tour à tous les véhicules pour être prêts à repartir.
Nous attaquons comme d’habitude les norias entre les 4×4 et la Casetta pour y amener le matériel et les courses.

Il est un peu plus de midi, et les gosiers et estomacs commencent à réclamer leur pitance.

Comme d’habitude « on va manquer » de quoi boire et manger. L’apéro est sur la table et le BBQ est allumé. La température bien que chaude est assez agréable pour nous permettre de nous sustenter (on passera sur le sempiternel déroulé du repas).

Voilà, le repas est terminé. On se décide à attaquer le premier chantier qui est certainement le plus délicat. La pose du chauffe-eau (dénommé CE).

Entre-temps Yorick et Naïca viennent de nous rejoindre ….à pied. Chapeau avec la chaleur qu’il fait, ils ont du mérite.

Concernant le CE, tout d’abord rechercher le meilleur emplacement, c’est fait, il sera à droite de la porte d’entrée à environ 1, 50 m du sol. Ensuite il faut percer le mur derrière la bouteille de gaz pour y faire passer un tube métallique qui servira de gaine au tuyau de gaz qui va alimenter le CE, là aussi c’est fait. Ensuite trouver un moyen de fixer le caisson du chauffe-eau sur le mur ; Petite astuce, le haut du caisson sera fixé sur la poutre linteau de la porte et le bas sera fixé sur une pierre. Jusque-là tout va bien, pourvu que ça dure !
Ensuite il faudra poser et fixer le tuyau d’alimentation du CE. Puis pose d’un Y qui servira à alimenter en eau froide d’une part l’évier et d’autre part l’arrivée au CE. Puis un autre Y qui partira du CE pour alimenter en eau chaude l’évier et la douche. Évidemment ces 2 Y seront reliés entre eux par des tuyaux également fixés sur l’armature de la véranda et au mur.

Il faut également préciser que pendant ce premier atelier des volontaires désignés d’office, se sont occupé de nettoyer l’intérieur du logement et des placards de la cuisine.

L’installation du CE est TERMINÉE. Nous procédons à divers essais et réglages du CE afin de trouver la bonne température et le bon débit. Ça s’arrose !! Maintenant il faut un volontaire pour tester la douche. JC se lance à l’eau (c’est le cas de le dire, enfin sous l’eau). Son contentement se lit sur nos oreilles, car il a entamé la chansonnette « La LaLa La LaLa ». Cela va faire des émules, et au fil de l’eau (!!!) tout le monde va prendre sa douche. Espérons qu’il soit fini le temps des douches solaires pas trop chaudes, ou des douches où l’on faisait chauffer un peu d’eau dans une casserole.

La vaisselle et la douche à l’eau chaude : quel plaisir !!!! on adopte !!!!!!!!!.

L’heure de l’apéro du soir approche à grands pas. On se réinstalle autour de la table extérieure, on papote, on boit et on ………remange. A nouveau le BBQ est rallumé, les bouteilles débouchées et leurs contenus ingurgités. Le seul bémol est la présence des moustiques qui viennent malicieusement se délecter sur nos chevilles.

En fin de repas nous sortons de derrière les fagots des bouteilles au contenu quelque peu ressemblant à de l’eau, mais dont le goût n’est pas celui de l’eau. En effet la maman de Philippe notre voisin du local nous avait offert un très bon nectar « nustrale ». Et bien sûr nous allons lui faire honneur (peut-être un peu trop!!), tout cela en compagnie de la boite musicale du DJ Yorick.

Bien qu’il ne soit pas trop tard, les bras de Morphée commencent à nous faire signe.
Nous décidons de regagner nos couches (à qui sous tente, à qui à l’extérieur, à qui sur la mezzanine….).

A ce propos, et comme à chaque sortie à la Casetta, il y a toujours une anecdote à relater : Anto a oublié sa frontale, mais qu’à cela ne tienne, il a son casque spéléo. Donc, son casque à demi vissé sur la tête, Anto entame une périlleuse ascension pour rejoindre son duvet. Il se prépare, puis rentre dans son duvet et par une inadvertance position devinez quoi !!! il fait tomber son casque qui se retrouve dans un méli-mélo sous la mezzanine (Les paroles, propos et nom d’oiseaux d’Anto ont été censurés). Assisté par la frontale de Franck, il tente tant bien que mal la redescente pour récupérer son couvre-chef. Et maintenant rebelote, il faut remonter à l’étage et rejoindre son lit, ce qui ne va pas être une mince affaire avec tous ces corps allongés en vrac au milieu de la mezzanine avec certainement un taux dépassant les 0,25 mg/l réglementaires.

Bref la nuit Ghisonesque sera constellée comme d’habitude par des ron……ts et des bruits suspects. La visite d’un renard en milieu de nuit a également mis en alerte Naïca, étonnant la puissance des aboiements d’un si petit animal !
Concernant la nuit, celle-ci a connu davantage de descentes-montées nocturnes que d’habitude (le fameux contenu transparent de certaines bouteilles y serait-il pour quelque chose ???)

Le lendemain, on ne peut plus dire à « 7 heures pétantes » car cela s’est produit un peu à toutes les heures et que peut-être les agapes, le dérèglement climatique et les particules fines de pollution y sont aussi pour quelque chose.

Samedi 15 juillet :

Traditionnel petit déj et nous voici à un moment critique : il faut faire le choix des activités du jour.

Dumè et Anto ont opté pour le crépi de la cheminée. Quant au reste de la troupe, l’engouement de la veille pour équiper le trou et s’entraîner pour le camp a quelque peu baissé. Il y a de fortes chances que les séquelles de la nuit y soient aussi pour quelque chose. Après moult discussions et tâtonnements l’option trou est abandonnée et transformée en aménagement Casetta. Pendant que Dumè et Anto crépissent, Franck et Yorick scient et vissent le parquet mural de la mezzanine sur le mur côté rivière. Les pauvres, ils vont avoir très chaud. Il est vrai que travailler sous la toiture noire et pratiquement accroupis tout le temps va les faire quelque peu transpirer. Cette atmosphère de Sauna va peut-être leur permettre d’évacuer les petits excès de la veille.

Le reste de l’équipe va procéder à une modification des marches d’arrivée sur la terrasse. En effet cette proposition avait été évoquée lors de la réfection de la toiture en 2020. Après quelques hésitations sur la réelle nécessité de cette opération, le premier coup de pioche est donné. Après quelques heures de coup de pioche, de burinage, de perçage, de portage, d’empilage, de nivelage, de concassage, d’essayage, 3 nouvelles marches ont ainsi été créées afin de modifier l’arrivée pédestre sur la terrasse. Celles-ci ont été faites en bordure de l’angle du grillage de la véranda. Le rendu final est très apprécié.
La lumière du plan cuisine est également réparée, un fil s’était coupé dans le boitier de commande.

Ah ! au fait c’est l’heure de remanger. Il est environ 13 h 30 quand nous allons essayer de finir le maximum de restes de la veille. Et comme d’habitude nous allons faire plaisir aux renards.
Après le repas, la famille de Micca et Yorick redescendent, car ils sont invités à devinez quoi ??, Hé oui, à un repas !!!

Pour info : Concernant la fuite d’évacuation sous l’évier, Anto et JC ont soulevé celui-ci pour y jeter un coup d’œil. Après visualisation de l’évacuation, il semblerait que les souris aient grignoté le tuyau d’évacuation annelé au niveau de son insertion dans le tuyau d’évacuation principal. JC rebouche artisanalement le trou et refait un essai qui semble concluant puisque apparemment il n’y aurait plus de fuite.

Maintenant, c’est l’heure de refaire les allers-retours dans l’autre sens. Rapatriement de chaises à récupérer ou à jeter, des poubelles, du matériel de bricolage et des outils.
Nous quittons le terminus vers 16 h 15.
Nous allons faire également 2 petits arrêts pour enlever quelques branches. Nous jetons les poubelles dans les containers en bord de route et retour au local pour la dépose du matériel et prenons une petite collation pour fêter la bonne fin d’un week-end ou on a bien avancé sur la Casetta.

Encore un week-end bien chargé et de bonnes réalisations, évidemment il y aura toujours quelque chose à faire, à améliorer…..

Après discussion et propositions diverses, il se peut que le week-end après la Fête du Sport soit une très bonne option pour remonter à Ghisoni pour l’entraînement en prévision du camp du mois d’octobre (c’est juste le WE avant le camp) avec ce coup-ci uniquement l’option cavité.

A prévoir pour la prochaine fois : café, prolongateur avec douchette flexible pour le robinet de l’évier en 20/27.

Dumè

Samedi 3 juin 2023 – Travaux – Porche de la Caunhà, Belvis (11)

Samedi 3 juin 2023
Spéléo, travaux de remise en état de cavité
Porche de la Caunhà, Belvis (11)

Participants
ITP, Spéléo Corbières Minervois, Gruissan Spéléo Project : Jean-Noël D.
Gente canine : Bosco et deux autres copains
Clubs présents : Spéléo Corbières Minervois (SCM), Spéléo Club de l’Aude (SCA), Société Spéléologique du Plantaurel (SSP), Spéléo Club MJC Narbonne, Spéléo Club de la Serre de Roquefort-des-Corbières (SCSRC), Gruissan Prospection Spéléologie (GPS).

TPST : 0h15
Photos

Cette fois le CDS 11 mobilise ses forces pour la remise en état du porche de la Caunhà de Belvis. Presque deux heures de route pour environ 120 km, Belvis se situe à la limite de l’Aude et de l’Ariège, à 700 m d’altitude sur le plateau de Sault, riche en cavités dont certaines ont été parcourues en 1995 par un trio de topis (F. Maraval, JND et Bernard Bonnet [non pas le préfet !]).

La grotte de la Caunhà est une grotte préhistorique de premier plan fouillée de 1969 à 1979 par Dominique Sacchi et ses équipes. On y a découvert des vestiges du Magdalénien supérieur et du Châtelperronien (35 000 ans), l’art mobilier y est représenté par une énigmatique gravure d’oiseau sur une côte osseuse. La cavité est inscrite au titre des Monuments historiques depuis 1989.

Défigurée par une construction disgracieuse censée protéger les fouilles préhistoriques, une imposante structure composée de charpente en bois, d’une protection métallique supérieure et de bardages en tôles et en plastique qui avait été construite dans le porche d’entrée. Laissé sans entretien, cet ouvrage menaçait de s’effondrer et constituait un danger, de plus il dégradait l’aspect du site.

Cette opération a été initiée il y deux ans environ par le CDS 11 et avec le soutien et l’adhésion totale de la municipalité du village de Belvis. Les villageois souhaitent mettre en valeur leur village et ses particularités. Le karst en est une et il va être valorisée par la création d’un sentier karstique en plusieurs boucles qui fera découvrir les spécificités du milieu calcaire.

Après plusieurs visites de reconnaissance et d’évaluation du chantier avec la DRAC (un certain Philippe Galant qui est sur tous les fronts de l’archéologie souterraine), le CDS a reçu, en plus du feu vert pour l’exécution, une aide financière importante.

Forte participation et mobilisation du CDS 11, 28 spéléos venus de tout le département se sont donc retrouvés à Belvis. Les spécialistes SSF et les pros cordistes ont fait merveille et en une journée tout était démonté, nettoyé et les déblais stockés au bas de la pente en attendant leur traitement. La municipalité de Belvis nous a chaleureusement accueillis et nous a offert le repas de midi, ainsi que la possibilité d’utiliser la salle le soir pour le repas.

Une fois le chantier terminé, on part visiter avec Jean-Marie le méandre de quelques dizaines de mètres qui se poursuit après le porche. La progression est stoppée par l’effondrement d’une trémie mais aux dires d’anciens il ressortait de l’autre côté du piton calcaire.

Dimanche matin, Philippe Galant est venu se rendre compte du travail effectué et s’est montré très satisfait du résultat et du rendu obtenu. L’étape suivante sera le comblement de la fouille par 30 m3 de gravette, l’étude des moyens les mieux adaptés pour y parvenir est en cours.

La grotte a retrouvé son aspect originel et fera une belle halte et une belle découverte sur le parcours du sentier karstique en cours de création. Les villageois présents sont également très satisfaits de revoir la grotte dans son écrin de verdure.

JND/Chr. Amiel (CDS 11)

Vendredi 26 au dimanche 28 aout 2022 – Buga di a Cutina et casetta, Ghisoni

Spéléo et travaux

Buga di a Cutina et casetta, Ghisoni

Participants

  • ITP : Antoine B. (1), , Dominique D. (2), Michaël D. (3), Jean-Claude L. (1)
  • Invité : Raymond C. (3)

(1) : samedi, dimanche

(2) : vendredi, samedi, dimanche

(3) : vendredi, samedi

TPST : 4h15

Photos

Travaux casetta suite

La dernière visite à la casetta et au gouffre s’était conclue sur la nécessité de changer le tuyau d’alimentation en eau d’une part et l’envie de visiter le réseau des Bosons en récupérant par la même occasion le matos qui s’était subrepticement échappé du kit lors du déséquipement du réseau supérieur par JC.

Dumè, Micca et Raymond sont déjà d’attaque le vendredi et posent le nouveau tuyau, un PEHD alimentaire d’un diamètre de 25 mm extérieur et 19 mm intérieur. Voilà, on sait tout de ce tuyau. On présume également qu’il sera assez costaud pour supporter le piétinement des sangliers et vaches de passage, il sera donc posé directement à terre. Les raccords sont faits provisoirement mais un bon débit arrive déjà à la casetta. Peu avant cette dernière, un T permet d’alimenter une grande poubelle de jardin qui servira à tenir au frais ce qui doit l’être.

Anto et JC arrivent le samedi matin. Ils sont vite mis à contribution pour créer une zone de croisement peu après la zone calcaire.

Après ce rapide échauffement direction le trou pour Anto, Micca, JC et … Francis qui cherche son idole, un certain Bernard T…

Après discussion c’est finalement JC qui équipera jusqu’au fond du puits d’entrée, pour gagner du temps…

JC récupère son matos au passage et tout le monde se retrouve à la base du puits des Bosons, là où on a le moins de (mal)chance de se prendre un parpaing voltigeur sur la tronche.

Pendant que Francis et Micca montent directement vers les Bosons sur cette corde de 1997 qui devrait tenir, Anto et JC remontent vers la sortie et bifurquent à la lucarne vers la vire des Bosons. Cette fois-ci c’est Anto qui équipe. Tout le monde se retrouve sous la dernière tirée du puits des Bosons. Francis et Micca ont déjà visité le terminus supérieur du puits, la corde de 1997 a bien tenu et en plus elle est fixée sur des maillons et plaquettes inox, celui qui en a fait la pose était prévoyant ! Maintenant c’est Anto qui se charge d’y monter avec pour mission de changer la corde de 1997 qui devrait encore tenir et poser une nouvelle corde de 2012 qui devrait tenir encore quelques temps… Finalement elle tient et c’est au tour de JC de monter pour finir le boulot et décrocher cette corde de 1997 qui a merveilleusement bien tenu.

Visite de l’alcôve mais JC ne parvient pas à dépasser la trace d’acéto déposée dans les années 2000, y’a pas de raison …

Déséquipement général et tout le monde se retrouve à la casetta. Francis, Micca et Raymond partent après un rapide gouter/casse-croute. Une chienne égarée et craintive (on apprendra plus tard qu’elle s’appelle Nono) vient timidement quémander quelques restes. Micca a appelé le numéro noté sur son collier pour informer son maitre de l’endroit où se trouve Nono. Elle passera le plus clair de son temps près de l’ancien chenil.

Divers petits bricolages pour les 3 restants jusqu’au repas du soir, avec notamment la recherche de la charogne qui empeste par moment les alentours. Celle-ci est finalement retrouvée grâce à l’odeur et au vrombissement des mouches à une trentaine de mètres en contrebas et vers l’amont de la casetta. Elle est enterrée du mieux possible, l’air redevient plus respirable.

Nuit calme et réveil à 7h pétante, sachant que le réveil a eu la délicatesse de sonner à l’extérieur. Les relents de charogne reviennent, Nono a dû y farfouillé cette nuit !

Reprise des travaux :

Dumè se lance dans la pose de briquettes à l’intérieur du conduit de cheminée afin de limiter les fuites de fumée à travers les murs.

Anto se charge de poser les raccords définitifs sur le tuyau d’eau. Un T avec une vanne de test pour chacun des 3 raccords, le 4ème T au niveau de la poubelle-frigo.

Les tuyaux sont métrés, on peut ainsi repérer facilement un éventuel problème.

En partant de la prise d’eau :

– 1ère section 4865 à 4816 soit 49 mètres (50 m en fait)

– 2ème section 5091 à 5042 soit 49 mètres (50 m en fait)

– 3ème section 5241 à 5192 soit 49 mètres (50 m en fait)

– 4ème section 4916 à 4866 soit 50 mètres

– 5ème section 5042 à 5029 soit 13 mètres

Longueur totale : 210 mètres (213 m en fait)

La prise d’eau est désactivée à chaque départ. Pour remettre en fonction, enlever le raccord bouchon et y raccorder le tuyau de prise d’eau. Si problème, partir de la casetta après avoir fermer les 2 vannes du bas, puis ouvrir les vannes en remontant jusqu’à ce que l’eau coule, le problème se situe dans la section précédente.

L’ancienne grille triangulaire de la cheminée a été posée en protection de la crépine, calée par des cailloux.

JC s’occupe du câblage électrique. Réfection des circuits d’éclairage avec ajout d’un 2ème groupe de leds au-dessus du réchaud à gaz et ajout de leds au niveau de l’ancien coin cuisine. Faute d’interrupteur prévu à la conception du boitier, ce dernier est commandé par le bouton « Mezzanine 1 », les 2 groupes de leds de la mezzanine étant dorénavent commandés par l’interrupteur « Mezzanine 2 ». La nouvelle batterie a l’air de tenir.

Pour terminer, pose de rubans aluminium sur les raccords du tuyau de cheminée.

Casse-croute, rangement, tri. Les véhicules sont en cour de chargement lorsque le maitre de Nono vient récupérer sa chienne, elle reste très craintive même envers lui.

C’est le départ, un gros orage s’abat sur le secteur durant la descente, la piste devient une rivière.

JCL

Vendredi 5 au lundi 8 aout 2022 – Buga di a Cutina et casetta, Ghisoni

Spéléo et travaux

Buga di a Cutina et casetta, Ghisoni

Participants

  • ITP : Antoine B. (1), Wanda C. (2), Dominique D. (3), Jean-Noël D. (1), Michaël D. (2), Éric G. (1), Jean-Claude L. (1), Noël R. (3), Alexia S. B. (3), Franck Z. (1)
  • Invités : Alexandre C. (1), Raymond C. (2), Amélie D. (1)

(1) : samedi, dimanche

(2) : vendredi, samedi, dimanche

(3) : vendredi, samedi, dimanche, lundi

TPST : 4h30

Photos

Les topi en estive

Ce weekend à Ghisoni avait été programmé suite à la prise de contact d’un couple de spéléos américains, de passage en Corse, et qui souhaitaient également en découvrir les dessous. L’idée était de faire d’une pierre 2 coups, faire découvrir LE trou corse, et en profiter pour restaurer la cheminée et finir la fixation de la couverture de la casetta. Mais plus aucune nouvelle malgré les relances, c’est ce qu’on pourrait appeler un american rabbit !

Une partie des topi est sur place dés le vendredi pour préparer la casetta, l’emplacement des tentes et le chantier cheminée. La remise en service de l’alimentation en eau pose problème, elle fonctionnera par intermittence tout le week-end malgré plusieurs tentatives de réparation. Le remplacement du tuyau d’arrosage par un PEHD de plus gros diamètre va devenir une nécessité …

Jeudi

Rendez-vous à Leroy Merlin pour Jean-Claude, Dumè, Éric, Micca et Alex, qui faisait déjà des achats sur Bastia et qui était en camion. Après nos achats, nous nous retrouvons tous au local, on a encore du boulot, il faut encore tout préparer : le matériel pour l’aménagement de la casetta et l’équipement pour la cavité. Les 4×4 seront bien chargés pour l’expédition Ghisoni.

Vendredi

Dumè, Micca et Raymond se sont donnés rendez-vous à 8h30 à la boulangerie d’Alistro. Finalement ils arriveront plus tôt et démarreront à 8h15. Arrivée au départ de la piste aux environs de 9h10. Belle surprise, elle sera faite quasiment tout d’un trait, il n’y aura pas beaucoup de branches à évacuer sur le chemin. Nous voilà au parking, il est 10h10. On commence par transporter une partie des briques à la casetta, et nous nous dirigeons immédiatement vers le ruisseau car sans eau nous devrions mettre un terme au week-end bricolage. En quelques minutes, après avoir les mains bien gelées, le captage est nettoyé et l’eau se remet à couler. Hourra ! Un message est vite envoyé pour prévenir les autres. Dans l’après-midi Micca et Dumè démontent la cheminée. En fin d’après-midi Nono, Alexia et Wanda les rejoignent. Durant la nuit un renard a tourné autour de la casetta et s’est même frotté aux tentes.

Samedi

« Il faudrait 6 briques de 40 x 20 x 5 ! ». Ce message arrivé en fin d’après-midi du vendredi n’a pu être satisfait, on verra donc sur la route. Arrêt à une briconnerie d’Alistro, juste avant l’ouverture. On patiente une vingtaine de minutes, 3 véhicules se garent et 3 employés en sortent, le compte y est. L’accueil par ce qui semble être un chef fait du bien en cette période de grosse chaleur, ça rafraichit ! Un employé nous donne quand même l’information essentielle, ils n’en ont pas.

Arrêt traditionnel au bar-boulangerie d’Aléria pour le café. C’est bizarre cette sensation d’être transparent. Malgré plusieurs regards dans notre direction aucune attention à notre présence. Nous nous levons au bout d’un quart d’heure d’attente, direction le bar du croisement où nous sommes rapidement servis et avec le sourire. Ça tient à pas grand chose la réputation d’un commerce !

Route de Maison Pieraggi, « Tient, si on appelait le Bigmat de Ghiso ? ». Bingo, ils en ont (des briques) ! On n’est pas à un détour de 20 km près. Accueil qu’on peut qualifier de normal, les briques sont rapidement chargées dans le Def et nous voilà enfin en direction de la casetta.

Nouveau message « Il faudrait 4 sacs de mortier et de béton en plus ! ». C’est bizarre, d’un coup il fait terriblement chaud dans ce Def, pourtant il n’y a pas de chauffage.
La demande est finalement transmise à JN qui se trouve plus en amont sur la route, il les prendra à Moriani.

Voilà ENFIN la casetta !

Pendant que les cheministes cheminent, les toitistes toitent. Lors du remplacement de la charpente et la pose des bandes de caoutchouc de couverture il avait manqué des vis de fixation pour ces dernières. Cette fois-ci, armés d’une boite de 500 vis terrasse inox tête fraisée, nous complétons la fixation des bandes. Plus d’une centaine sont posées, ça ne devrait plus bouger, poil au nez !

Sur ce toit se prélassent au soleil quelques poches de douches solaires, un coin douche est créé à l’aplomb côté rivière, il était auparavant à côté du chenil.

Les tôles ondulées transparentes de l’avancée sont également déposées et retournées afin de positionner les trous de fixation en haut des ondulations. Il pleuvra moins dessous !

Repas avec les restes de la veille (bonnes lentilles) et quelques grillades.

Pendant que les cheministes continuent à cheminer, un quatuor se décide à faire quelques exercices de musculation des bras. Le parking des châtaigniers étant un peu embouteillé, un nouveau emplacement est dégagé après tronçonnage de quelques branches. Le Def vient à la rescousse pour arracher une grosse branche de châtaignier prête à tomber et un sapin. Entre 2 et 3 véhicules pourront ainsi s’y garer. Ça tombe bien puisque Micca doit descendre récupérer Alex dont la moto fait un refus pour continuer la montée.

La piste est également râtelée sur 150 mètres.

Au menu du soir diverses charcutailles, grillades et salade de patates !

Deux renards sont aux aguets dans la nuit, ils attendent les restes. Chacun retrouve sa couche, qui dans la casetta, qui sous tente, Alex à la belle étoile et JC dans le Def.

Dimanche

Pendant que les cheministes cheminent encore, les trouistes montent au trou. On n’a pas apporter tout le matos pour rien !

Après discussion c’est finalement JC qui équipera jusqu’au musée, pour gagner du temps…

Atterrissage sur la première margelle, gros purgage. Certains doivent s’amuser à jeter des cailloux dans le trou, on peut le comprendre, c’est tentant quand on voit une ouverture comme ça. Tient, un mousqueton ! Hibou !, non, Chouette !, c’est celui qui manquait après la dernière visite en mai 2021 !

Arrivée sur la deuxième margelle, pose des mousquetons. Tient, un kit qui se fait la malle, quelle idée ! Un mousqueton de retrouvé, une quinzaine de perdus ! Un geste malheureux et la longe du kit a lâchement lâché son mousqueton. JC en est quitte pour équiper le reste du puits d’entrée avec ce qu’il a pu récupérer en mousquetons et plaquettes (ça sert d’en avoir toujours sur soi…). Le kit épris de liberté s’est arrêté après l’étroiture sur le plan incliné pierreux. Remontée, puis fin de l’équipement pour JC sans autre mésaventure. On peut pas dire que perdre sa bouteille dans un trou du musée en soit une…

Franck prend la relève. Équipement sans souci, à un amarrage prés, celui qui débute la vire intermédiaire et qui est équipé. Pas grave mais le mousqueton manquera pour la suite. Franck sera ravitaillé en vol, plus 2 autres mouskifs pour équiper les nouveaux spits plantés. Il faut maintenant 11 amarrages dont 8 avec plaquettes depuis les 2 en plafond pour tout équiper.

Visite rapide de ce fond, c’est une première pour Wanda, Éric et Micca. Photos souvenirs et remontée. Franck commence, suivi par Wanda, Alexia, Éric et ?

« Tu déséquipes ? »

« A choisir je préfère récupérer le kit au musée et le remonter »

JC fera donc la voiture balai. Arrivée au musée sans perte de matos, bizarre.

On reste dans le même ordre jusqu’à la sortie mais ça ne va quand même pas finir aussi tranquillement ?

JC est à la margelle maudite, il enkite le mou de corde, fait un peu de ménage dans son matos qu’il croit avoir accroché au kit, ce dernier bascule et …
Eh oui, le matos non accroché se fait lui aussi la malle et part visiter le fond du puits d’entrée.

Rééquiper et redescendre ? Là-haut le tonnerre gronde et résonne dans le puits d’entrée, Franck et Micca attendent sous l’averse. Le matos patientera et ce sera l’occasion d’y descendre la prochaine fois et faire découvrir le réseau des Bosons à ceux qui ne connaissent pas cette partie de la cavité.

Retour à la casetta, les cheministes cheminent toujours mais ça prend de la gueule. La hotte est crépie au mortier, la chauve-souris en métal découpé a retrouvé sa place et les poutres du linteau sont en cours de pose. Côté toit la calandrite est posée autour du conduit de sortie. Il ne reste plus qu’à essayer la cheminée…

Pas de vrai repas, c’est plutôt plusieurs apéros qui se succèdent avec au final le cuissot de marcassin apporté par Alex, il sera découpé et grillé.

Le séjour alpestre prend fin pour presque tous, Alexia, Nono et Dumè descendront le lundi.

JCL, Micca