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Mercredi 9 juin 2021 – Spéléo-VTT, repérage prospection – Funtanetta-Brietta-Natio, Barbaggio

Mercredi 9 juin 2021

Spéléo-VTT, repérage prospection

Funtanetta-Brietta-Natio, Barbaggio

Participants

  • ITP : Jean-Claude L.

Photos

Trace

Premier objectif de la sortie, emprunter la piste qui mène à la prise d’eau notée « la Fontenette » sur la carte IGN, mais Funtanetta pour les intimes. Cette dernière est atteinte en moins de 40 mn, avec quelques sévères rapaillons qui ont nécessité de poser pieds à terre et d’accompagner le vélo. Cette prise d’eau avait déjà été atteinte lors d’une précédente et épique prospection en partant du haut, prospection qui avait permis la découverte de la grotte Ducati (Dimanche 21 mars 2010). La petite bâtisse a été restaurée, probablement grâce au prolongement et à la réfection de la piste. Un cadenas en ferme maintenant la trappe d’accès. Une belle stratte de calcaire se voit entre la source et la grotte de Suterratta. Le fond de cette dernière ne doit pas en être loin, ce qui devrait motiver tout bons désobeurs qui se respectent. La vue sur les Sei Monti et la plaine du Nebbiu est magnifique.

Deuxième objectif, rejoindre les moulins de Brietta par un sentier repéré sur la vue satellite. Entre la vue satellite et le terrain il y a souvent des différences, notamment dues à la pousse du maquis. Le début de chemin est toutefois bien visible, mais une reconnaissance à pieds est préférable. Le vélo est laissé en bord de piste, descente à pieds de quelques dizaines de mètres, ça a l’air de passer. Récupération du VTT et c’est parti pour une descente, le plus souvent à côté du vélo, avec la hantise d’un éventuel demi-tour obligé. Le moulin supérieur est en vue, c’est une grande bâtisse bien dégradée qui devait être impressionnante à l’époque où le blé de la fertile plaine du Nebbio y était apporté à dos d’ânes. Une épaisse végétation en empêche l’accès, une tenue « maquis » est nécessaire pour s’en approcher. A envisager lors d’une période plus fraiche. Le chemin est un peu moins marqué maintenant, mais la plaine est atteinte sans perdition dans le maquis. Le moulin inférieur est atteint, il est plus modeste, mais son accès est également protégé par la végétation. La rivière ne coule pas mais le chant des grenouilles laisse imaginer quelques laisses d’eau. La grotte du moulin de Brietta gardera encore son mystère.
Retour vers la route en longeant les champs de vigne. Un éventuel retour peut s’envisager par ce côté-là.

Troisième objectif, s’approcher de 2 mamelons calcaires situés au nord du ruisseau de Natio et ressemblant à ceux de Canta-Furmicula. La piste d’accès la plus directe est rejointe mais 2 panneaux « Propriété privée » et « Défense d’entrer » n’incitent pas à l’emprunter. Qu’à cela ne tienne, si on ne peut pas passer par devant, on essaie par derrière. Les mamelons sont contournés par la route et une piste sans panneau permet de s’en approcher. Le calcaire semble là aussi de bonne qualité, bien que datant semble-t-il du jurassique inférieur. Mais pas le temps ni l’équipement pour en faire une prospection, il faudra revenir à pieds. La piste continue à travers les champs de vignes et rejoint la route au niveau des 2 … panneaux d’interdiction.

Retour au point de départ de cette virée spéléo-vététesque par cette sympathique petite route déjà plusieurs fois empruntée en VTT.

JCL

Dimanche 23 mai 2021 – Spéléo, prospection, première, exploration – Faille de Lainosa, Olcani

Dimanche 23 mai 2021

Spéléo, prospection, première, exploration

Faille de Lainosa, Olcani

Participants

  • ITP : Michèle C., Amal D., Jean-Noël D., Jean-Claude L., Marie-Pierre R., Jean-Luc S., Jean-Louis V., Franck Z.
  • Individuel : Jean-Yves C.

TPST : 1h30

Photos

Un jour, Jean-Claude m’a dit : « Les sorties dont on se souvient sont celles durant lesquelles nous avons eu des galères, des péripéties, et autres imprévus. C’est ça l’aventure. ». Cette journée fera sûrement partie de ces souvenirs que l’on se racontera lors de nos soirées tardives près du feu…

Franck

Revenons sur cette journée qui avait pourtant bien commencé. Le point de rendez-vous au local est ponctué par un petit café et quelques viennoiseries qui régalent le groupe des topi et ex-GCC. Répartissons le matériel et participants dans les différents 4×4 et autres véhicules puis partons en direction du Cap Corse. Olcani, ce n’est pas à coté et nous rejoignons notre destination après plus d’une heure de route.

Le point d’accès de la faille se situe à environ une heure de marche en empruntant une sente plus ou moins bien marquée à travers le maquis et les rochers. La petite randonnée se passe plutôt bien jusqu’à ce que Jean-Noël pose son pied entre deux rochers sur une touffe d’herbe, son pied se dérobe, et Jean-Noël s’écrase de toute sa hauteur sur le rocher. La chute semble avoir réveillé une vieille blessure au tendon d’Achille et est sérieuse. En tant que médecin il s’auto-diagnostique et nous avise qu’il ne pourra pas continuer mais devrait pouvoir revenir au véhicule par ses propres moyens (son retour sera épique). C’est le départ d’une sortie pas comme les autres….

Jean-Noël ne souhaite pas notre assistance (ils sont un peu têtus ces médecins !!, voir CR de LA CIOTAT avec Wanda qui souhaitait marcher malgré une fracture). Le reste du groupe poursuit son ascension jusqu’au départ de la main courante, la vue sur le golf de Saint Florent, les Agriates est magnifique. Mais pas le temps de rêver, toutes et tous s’équipent. JCL propose à Franck d’équiper comme pour une première… À première vue rien de compliqué : une main courante de 10 mètres et puits de 40 mètres. L’installation de la main courante commence par une séance d’élagage pour accéder aux amarrages naturels. Dans un excès de précipitation ou de confiance Franck accroche la corde de 45 mètres, lovée, à son baudrier et décide de ne pas utiliser de kit. Après tout il n’y a que 10 mètres de MC jusqu’à la tête de puits et la vire est relativement large. Après une erreur d’aiguillage, Franck arrive à la tête de puits, qui n’est autre qu’une branche « branlante ». Il se retrouve à ce moment-là au-dessus de 40 mètres plein pot, la manœuvre est délicate. Franck souhaitant doubler l’amarrage, tente d’escalader pour passer une sangle sur une autre branche située au-dessus. Et là c’est le DRAME, la corde de 45 mètres, initialement accrochée au baudrier par un mousqueton, se détricote et tombe, elle finit sa course 40 mètres plus bas. Après la blessure de Jean-Noël, maintenant la corde, la galère continue….

La première idée qui traverse notre esprit est de rabouter les deux cordes restantes 25 et 23 mètres afin de récupérer celle de 45, mais c’était se passer de la main courante. L’arrivée sur la tête de puits est bien trop exposée et nous avons déjà eu trop d’imprévus aujourd’hui. Il faut savoir renoncer : la déception est grande.

Il ne reste plus qu’à prospecter autour de la faille, deux groupes se forment Jean-Claude, Franck, suivis de Jean-Luc, MP et Michèle, descendent sur la partie Sud. En désescaladant dans la faille au milieu des blocs de rochers ils trouveront un puits d’environ 10 mètres, ce dernier manque de prises pour espérer descendre. Faute de cordes et de temps il ne sera pas visité et fera sûrement l’objet d’une prochaine exploration.

Nous rejoignons le groupe et décidons de retrouver une cavité évoquée dans le compte-rendu datant de 2016. La petite randonnée se transforme alors en prospection en plein maquis, dans la pure tradition des topi, maquis, ronces etc. On jardine, cherche à droite, à gauche, en mode sanglier. Franck avait promis du sport !!!! On entendra râler Marie-Pierre jusqu’à ce que Jean-Yves trouve les deux entrées d’une belle salle. La journée n’est pas perdue. Jean-Claude équipe la première entrée et Franck la seconde.

Découvrons des cranes d’animaux, Michèle trouve un petit rhino. Au fond de la salle, au bout d’un plan incliné, Amal arrive à pénétrer dans une minuscule chatière et nous incite à la rejoindre. Élargissons l’accès en dégageant les pierres et la terre accumulées. L’ensemble du groupe se retrouve dans cette nouvelle salle. Celle-ci rejoint un puits de plus d’une vingtaine de mètres dont nous ne voyons pas le fond. C’est en levant la tête que l’on comprend que nous sommes sous la tête de puits du P40 de la faille de Lainosa. La jonction est faite. Énorme !!!!! Considérant que l’on part de plus haut, le développement et la hauteur de la faille seront à modifier. L’envie de planter deux « spits » est tentante mais nous avons utilisé les deux dernières cordes, et le respect de l’impératif horaire nous obligent à remonter. Le retour vers les véhicules est un peu hasardeux, heureusement la trace GPS et les cairns, intelligemment construits par JC à l’aller, nous permettent de retrouver notre chemin sans nous égarer. Nous arrivons à la piste aux alentours de 17h00, il est trop tard pour le barbecue mais la collation distribuée autour du réservoir d’eau est salvatrice. Cette journée aura donc pris une tournure inattendue, et « mémorable » pour reprendre les mots de JCL.

Franck

Samedi 15 mai 2021 – Spéléo interclubs, visite Buga di a Cutina, Ghisoni

Samedi 15 mai 2021

Spéléo interclubs, visite

Buga di a Cutina, Ghisoni

Participants

  • ITP : Amal D. (logistique), Jean-Claude L., Francis M., Noël R. (logistique), Alexia S. B.
  • SSF 34 : Olivier A., Franck B., Jérôme B., Didier G., Olivier G., Aude H., Franck M., Denis P., Laurence et Jean-Michel S, Claudie S.

TPST : 4h00

Photos

Après la cavité au plus grand développement c’est le trou le plus profond de Corse qui est mis au programme du SSF 34. La cavité devait faire l’objet d’un exercice spéléo-secours interdépartemental, mais celui-ci a finalement été annulé en raison des aléas sanitaires.

Compte-tenu du couvre-feu encore en vigueur à 19h, il fallait jouer serré afin que chacun regagne ses pénates avant l’heure fatidique.

Un calcul à rebours détermine avec une certaine marge de sécurité un départ de Bastia à 7h00.

– 2 fois 1h30 de trajet entre Bastia et la piste
– 2 fois 45mn de piste
– 5 h pour la cavité

Ce qui fait déjà 9h30 pratiquement incompressibles. Il reste donc 2h30 pour le graillou, les au-revoir et les … aléas. Ces fameux aléas, ces grains de sables qui se glissent dans toutes les organisations. 10 mn de retard d’un côté, 1/4 d’heure de l’autre, un achat de dernière minute, un imprévu, un soupçon de nonchalance, un quiproquo, ces petits rien qui, cumulés, font un gros tout.

Une fois n’est pas coutume, la tribu des aléas a été mâtée et les bastiais ont pu rentrer à temps.

Les 8h30 prévues à la piste se sont transformées en 9h00 suite à un aléa qui attendait le SSF 34 à la sortie de leur camping, le portail était fermé ! Mais sitôt arrivés, ils gavent le vaillant Vitara d’une partie de leurs kits et sacs. JC et Aude (BE lozérienne) partent aussitôt pour équiper la cavité au plus vite.

Pas d’aléa sur la piste, aucun arbre en travers, aucune nouvelle ornière. Les retards du matin sont rattrapés puisqu’à 10h00 pétantes Aude et JC sont pendus en tête du puits d’entrée. JC équipera jusqu’au musée, puis jusqu’au fond par les puits jumeaux, Aude se chargera du P51 et de la jonction (la nouvelle C75 arrive pile-poil en bas).

A 11h15 Didier rejoint Aude et JC au fond le cavité. Les arrivées se succèdent, qui par le P51, qui par les puits jumeaux. Alexia et Francis se sont insérés dans le flot de spéléos, on dirait une migration, une migration vers La Mecque de la spéléo insulaire.

La pelle est toujours là au fond du trou, les héraultais ne peuvent s’empêcher de creuser pour tenter de battre le record de profondeur :-). Discussions sur les éventuelles possibilités de continuation du réseau.

Les règles de distanciation deviennent difficiles à tenir, des photos de groupe presque complètes sont prises dans la trop petite salle du fond et c’est parti pour les remontées en permutant les parcours. Franck B. se charge de déséquiper le côté P51, Olivier déséquipe le reste.

14h, les 14 visiteurs sont dehors et le trou déséquipé, une affaire rondement menée ! Une heure a été gagnée sur le prévisionnel de TPST, celle-ci n’est pas perdue puisqu’on pourra ainsi consacrer une heure de plus au graillou. Celui-ci se fait devant la casetta autour d’une table bien garnie et les grillades se succèdent …

A noter, l’éclairage de la casetta ne fonctionne plus, il semblerait que le panneau solaire soit HS, mais à vérifier la prochaine fois avec les outils de mesures adéquats. Quelques difficultés également pour rétablir l’eau, un triton coincé dans le tuyau a eu le privilège d’être libéré par les équipes des SSF 2B et 34 réunies avec le renfort d’une lozérienne et d’un ariégeois !

Il est temps maintenant de redescendre, certains en 4×4 et les autres pédibus jambus.

Séparation et au revoir général en bas de la piste. Les héraultais semblent satisfaits d’avoir pu visiter les 2 cavités majeures de Corse, bien qu’elles soient mineures par rapport à celles du continent. Par contre, le local et la casetta ont fait des envieux 😉

JCL

Vendredi 14 mai 2021 – Spéléo, exploration, initiation – Grotte de Carpinetto, Lano

Vendredi 14 mai 2021

Spéléo, exploration, initiation

Grotte de Carpinetto, Lano

Participants

  • ITP : Amal D., Jean-Noël D., Francis M., Noël R., Alexia S. B., Franck Z.
  • SSF34 : Olivier A., Franck B., Marie B., Jérôme B., Didier G., Olivier G., Suzanne J., Aude H., Stéphane M., Franck M., Denis P., Dominique R., Laurence et Jean-Michel S, Claudie S.
  • Initiée : Anémone G.J. (1 an et des brouettes)

TPST : 3h00

Photos

La dernière visite de Carpinetto remonte au 19 février 2019, profitons de la visite du SSF 34 pour explorer la cavité la plus grande de Corse avec, rappelons-le, ses près de 900 mètres de développement.

Pour cette petite ballade, nous retrouvons au pont du Golo aux alentours de 9h, et rejoignons Jean-Noël au départ de la piste. Quelques un préfèrent la petite virée en 4×4 tandis que d’autres la randonnée pédestre pour s’échauffer.

Conformément aux prévisions météo, il pleuviote un peu et nous nous activons pour nous préparer. Arrivons à l’entrée de la grotte vers 11h00. C’est une première pour Anémone qui du haut de ses 1 an, pénètre pour la première fois dans une cavité, bien encadrée par ses parents.

On s’approche des records puisque 22 spéléos explorent les lieux !!!! Dans un premier temps tout le groupe se suit, puis ce dernier se divise en deux groupes. Tout y passe : lacs jumeaux, salle des rhomboédriques, lac des italiens, etc… C’est un véritable labyrinthe on s’y perdrait presque.

Alexia et Franck en profitent pour emprunter le boyau Silvain, c’est du sport !!! La séance de « ramping » laisse des traces sur l’organisme et la combi : la fin du boyau est obstruée par du sable, il ne reste qu’à creuser…. À suivre lors d’une prochaine expédition.

Et pendant ce temps-là, Amal découvre une nouvelle jonction inconnue à ce jour.

Les séances photos se succèdent, nos invités ont l’air de s’amuser dans cette cavité. Mais l’appel du ventre se fait ressentir et retrouvons la lueur du jour vers 14h.

Pour la suite, le barbecue sera installé sur la place du village à côté d’un nouveau four à pain couvert. Nous redescendrons après quelques grillades, bières, et autres boissons.

La journée aura donc été marquée par 3 premières :

  • La première fois sous terre pour Anémone
  • La première fois dans le boyau Silvain pour Franck
  • La découverte d’une jonction pour Amal

Bref une bonne journée

Franck

Dimanche 9 mai 2021 – Spéléo, initiation, reportage Corse Matin – Cast 1, Oletta

Dimanche 9 mai 2021

Spéléo, initiation, reportage Corse Matin

Cast 1, Oletta

Participants

  • ITP :Wanda C., Albert D., Dominique D., Jean-Noël D., Henri-Pierre F., Jean-Claude L., Francis M., Noël R., Rémi R., Alexia S. B., Jean-Louis V, Franck Z.
  • Initiées : Myriam L. et ses 2 filles Camille et Claire
  • Corse Matin : Angèle R., Nicolas W.
  • La toutounette : Nala

TPST : 4h30

Photos

Article et vidéo Corse Matin

Après de multiples reports liés aux mesures sanitaires, Jean-Noël confirme la venue de journalistes de Corse Matin et la programmation d’un reportage immersif en milieu souterrain.

C’est un peu étrange tous ces reportages sur la spéléologie alors que nous sommes confinés depuis presque un an, bref…

Pour l’occasion nous avons fait venir trois initiées afin d’agrémenter la sortie.

Faisons un petit détour par le local pour récupérer le matériel manquant et rejoignons le reste du groupe, les journalistes et initiées, au départ du chemin aux alentours de 10h00.

Premier contact avec nos initiées du jour et journalistes : côté initiées, on sent un peu l’inquiétude sur les visages, côté journalistes, Nicolas, cadreur, semble sportif et serein, et enfin Angèle, photographe, que dire, elle est branchée sur 100 000volts (ça promet on ne va pas s’ennuyer).

Chargeons les 4×4 et nous prenons la direction du pylône. À peine arrivés, Jean-Noël répond aux sollicitations des journalistes tandis que le reste du groupe prépare le matériel et équipe le pylône (Jean-Yves si tu lis ces lignes nous avons suivis les recommandations !!!!!!!).

Franck présente le matériel utilisé en spéléologie, JCL fait la démonstration. Chaque initié, équipé de tout le barda, s’essaye avec plus ou moins de facilité à monter et descendre sur corde sous l’œil vigilant de PHP.

À 12h30 nous nous engageons dans la cavité. Dans la salle du Veau regroupons tous les initiés pour une première photo et vidéo de groupe. Puis nous nous répartissons sur le P13 afin d’assurer la descente jusqu’à la salle de la Chèvre.

JCL, Alexia, Albert, Angèle et Nicolas poursuivent l’exploration et reportage en passant par la vire. Vu l’heure avancée le reste du groupe se dirige vers le P9 et le plateau aux Escargots. PHP à la manœuvre, assure le passage des initiés sur cette dernière. Puis PHP, Jean-Noël, Noël, Dumè se répartissent sur le P17 pour faciliter la remonter tandis que Franck muni de la corde d’assistance (au cas où) gère la sortie du groupe. Nono, Alexia et Francis déséquiperont la totalité de la cavité. Aujourd’hui tous ressortiront de la cavité (vivants) et pour certaines, heureuses de leur expériences, elles apprécient surtout de retrouver l’air libre après tant d’émotions. Quant à Angèle, après plus de 4h sous terre, nous pensions l’avoir un peu calmée et bien non !!!!, elle est toujours à fond…

Après cette petite balade, cette journée ne serait pas complète et digne des topi sans une petite collation, arrosée d’un peu de jus de raisin fermenté.

Puis retour au local, matériel déposé, le couvre-feu est presque respecté….

Franck