Archives de catégorie : Spéléo

Sortie spéléo

Samedi 6 et dimanche 7 décembre 2025 – JNSC spéléo, initiation Cast 1, Oletta

Participants samedi
ITP : Cathy B, Jeff B., Antoine B., Michèle C., Dominique D., Adriana D. C., Henri-Pierre F., Antonio E. G., Eric G., Jean-Claude L. M., Pierre L., Nicolas M., Benoit R., Franck Z.
Initiés : Manon A-C., Santu F., Nathan G.,  Julie L.,  Gaia M., Pierre P., Nathalie S.,

TPST : 02h00

Participants dimanche
ITP : Cathy B, Jeff B., Antoine B., Arnaud B., Michèle C., Wanda C., Jean-Claude D.,, Albert D., Adriana D. C., Antonio E. G., Henri-pierre F., Jean-Claude L. M., Pierre L., Laureen N., Noël R., Benoit R., Antoine R., Alexia S.B., Franck Z.

ITP initié : Quentin D.

Initiés : Claire D., Micka F., Dumé F., Steven R., Robin S.,

TPST :  01h30


Samedi : JNS

Suite à l’incendie sur la plaine d’Oletta, lors des JNS d’octobre, nous avions quitté le site précipitamment, laissant les initiés sur leur faim. Nous avions à cœur de réorganiser une journée avec eux. Quelques un ont répondu présent. La météo est clémente avec nous: le ciel est dégagé et le soleil brille.

Une présentation rapide de la journée est réalisée sur le parking. Puis encadrants et initiés se dispatchent dans les 4×4  pour prendre la piste qui mène au gouffre du pylône. Nos initiés du jour sont enthousiastes. Sur place le matos est installé. Franck et  Pierre présentent le matériel puis  équipent, avec l’aide de Cathy, nos impétrants. Quand aux autres, ils équipent la cavité.

Pour l’occasion, le porche d’entrée de Cast3 est équipé pour un essai réel du matériel. Pierre, Pulpy et Franck se chargent de présenter l’installation, l’utilisation du descendeur, et des bloqueurs.

Le parcours est classique mais raccourci : la vire de la salle de la chèvre est shuntée. L’entrée 1, le P13 du réseau de la chèvre, la tyrolienne jusqu’au plateau à escargots et pour finir la remontée vers l’entrée 2.

La remontée, parlons en, elle laissera des traces chez certaines candidates. Julie, au bout de sa vie, se fera assister, voir tracter, pour la remontée du P8 par Jean-Claude  puis par Franck  et Anto pour le P7.  Julie gardera tout de même son sourire et sa bonne humeur jusqu’à la sortie. Tous semblent heureux d’avoir effectué cette traversée. Pendant ce temps là, Dumé est partie faire de la désob quelque part sur le massif. Mais il sera à l’heure pour l’apéro et l’allumage du barbecue.

Cette belle journée s’achève dans la tradition des Topis par un un banquet sur notre aire de ripailles.

 

Dimanche : Initiation

Nous profitons de la cavité équipée pour faire découvrir la spéléo aux amis ce dimanche. La météo est également bonne ce jour.

Comme la veille, le café est pris au point chaud face au « Leclerc » d’Oletta puis nous regagnons nos initiés, vers 09h00.

Arrivé au pied du pylône, Franck présente le déroulement de la journée, le parcours. Puis Nono, en bon narrateur, explique  le matériel utilisé en spéléo.

Anto B., Pierre, et  Franck prodiguent la bonne parole autour du porche de Cast3, les initiés sont attentifs.

Le parcours reste identique à la veille.

Concernant la remonté tous sortent de la cavité s’en trop de soucis cette fois-ci. La cavité est déséquipée dans la foulée.

Par ailleurs J.C.L à mise en place trois A.F (amarrage foré) à hauteur du petit plan incliné en haut du P8, permettant à l’encadrant d’installer une corde  et se longer afin de ne pas gêner la progression de l’initié. La nouvelle tête de puits permet dorénavant d’installer une corde  pour porter assistance lors de la  remontée d’un initié par exemple. Un autre AF a été percé  dans ce puits pour installer une déviation.

De même suite, un A.F a été percé dans la salle du veau afin de créer un départ de main courante.

Le nombre conséquent de topis présent ce jour a permis de créer un autre groupe, constitué de JCD, Albert et  Arnaud, qui le temps de l’initiation ont effectué de la désob. Au programme : purge du plafond de l’entrée qui était instable et agrandissement de l’entrée.

Après un bon repas méridien et de longues palabres,  nous regagnons le local vers 17 h00 pour ranger le matos d’initiation ainsi que celui utilisé vendredi pour la JIBV.

Bilan de ces 2 journées :

  • 12 Initiés.
  • 20 Topis.

Impression d’une initiée :

Message écrit par Julie à Alexia :

« Coucou Alexia, comment te dire …c’était …super dur! J’ai fini hissé jusqu’au sommet par un gars en haut qui me tirait, z’ont sorti le matos d’extraction exprès pour moi😅.Vas y pousse qui disaient mais moi suis pas très costaud des jambes, bref une galère. La journée a été somme toute très agréable, c’est joli a l’intérieur…. »

Franck

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« de 56 »

Samedi 22 Novembre : Travaux Utilité Collective au Local

Participants : Christophe C., Antoine B., Benoit R., Adriana D.C., Laureen N., Antonio E.G.

On découvre ce matin au réveil Bastia sous la neige. On se donne RDV au local a 8h30 pour une
journée nettoyage, rangement et préparation de l’inventaire de la semaine qui suis.
Seulement 6 adhérents répondent a l’appelle.

On fait des équipes pour travailler plus efficacement :
Antho et Christophe s’occupent du nouveau tableau pour le matériel Canyon.
Laureen s’occupe du ménage : Salle de bain, sol, cuisine au complet, serpillère, aspirateur…. La
totale.

Antonio et Adriana s’occupent du rangement
Benoit commence à répertorier le matériel du club sur l’application Verkore.

Nous avons même sorti un rat qui logé sous le frigo depuis de temps incertains. On a failli la
mettre au musée mais finalement on l’a envoyé à L’INRAP

Nous avons aussi trouvé et gonflé une embarcation que nous avons trouvé dans un coin du
local et qui doit dater a peu près de la même ère que notre petit rongeur préhistorique.

Départ à 18h30 juste après d’un dernier coup de serpillère passé par Laureen.

Antonio E.G

Vendredi 21 Novembre 2025 – Travaux Casetta – Ghisoni.

Participants : Adriana D.C., Antoine B., Micka D., Christophe C., Antonio E.G.

La Casetta est un endroit plein de charme. Plus on y va plus on veut y aller. L’été ne suffit pas, on veut aussi y aller l’hiver. Pouvoir explorer chaque coin de la grotte la plus profonde de cette île. Essayer de l’élargir si possible. Trouver des champignons et des châtaignes quand c’est la saison, voir les feuilles jaunir puis tomber… mais surtout partager des beaux moments et des expériences.

Tout cela nous motive encore une fois à nous lever de bonne heure, pour aller dans cet endroit idyllique, certes, mais aussi éloigné afin d’essayer de trouver une solution au fameux problème de la cheminée ; un insert cette fois ci.

Ce n’est peut-être pas la solution idéale. Ce n’était certainement pas la première option, cependant il semble atténuer le problème au moins de façon provisoire (il reste encore à essayer sur une nuit).

On espère que, en attendant une autre solution, tout l’effort, le temps et le soin qu’on a mis pour essayer de régler cette problématique, puisse nous permettre de continuer à créer des beaux souvenirs.

Sinon :
Départ 7h de Bastia pour rejoindre Micka puis monter avec son 4×4 et celui de Christophe a Ghisoni.
Arrivé au parking aux alentours de 11h puis nettoyage du parking y compris une grosse branche de châtaigner qui était tombé.

Transport et nettoyage de l’insert et dégagement de l’emplacement prévu puis installation.

Allumage réussi sans fumée.
Vers 14h on mange des pâtes et un gâteau courtoisie de Mme Casale

Départ a 16h30 puis arrivés à Bastia vers 20h. Sous les grêlons d’ailleurs.

Samedi 15 novembre 2025 – Exercice secours Cast 1 – Oletta

Samedi 15 novembre 2025
Spéléo, exercice secours
Cast. 1, Oletta

Participants
ITP : Cathy et Jean-François B., Antoine B., Arnaud B., Christophe C., Albert D., Dominique D., Amal D., Eric G., Jean-Claude L. M., Pierre L., Nicolas M., Laureen N., Noël R., Benoit R., Vanessa S., Alexia S. B., Franck Z.

TPST : 6h00
Évacuation victime : 1h08

Sommaire


Introduction
Pour les équipes spéléo-secours le mois de novembre est habituellement un moment fort de l’année. Le programme annuel est généralement composé de 3 temps forts, un entrainement en falaise au printemps, suivi par un exercice souterrain quelques semaines plus tard,  et enfin le grand barnum automnal. Ce dernier voit également l’implication des pompiers, de l’ADRASEC et des autres forces constituées si besoin.

Pour cette année 2025 nous avons effectué 2 entrainements à l’air libre, un le matin de l’AG LISC et un autre en falaise au mois de mai. Le barnum est oublié et c’est finalement un exercice souterrain qui le remplacera.

Grande mobilisation des topi puisque 17 membres se sont impliqués dans cet exercice et se retrouvent sur site. Ce dernier devait se dérouler dans Cast 2 mais les chauves-souris en ont décidé autrement puisqu’elles sont obligées de prolonger leur activité, travailler plus pour gagner plus ... De toutes façons elles ne feront comme d’habitude qu’une seule portée cette année, mais dame Nature a décidé de rentabiliser ses investissements.

C’est donc finalement Cast 1 qui sera le cadre de nos exploits de secouristes.

Un parcours inédit est défini, un malheureux spéléo fait une chute de 8 mètres dans le puits Nala, et par chance ne souffre que d’une fracture à la cheville. Un point chaud sera installé in situ en haut du plateau à Escargots. Portage descendant jusqu’à la base du P9, tyrolienne jusqu’en haut du P8 de la chute, reprise en contrepoids dans le puits artificiel, puis reprise de charge extérieure. L’étroitesse du puits artificiel oblige d’innover et de tester l’usage de 2 contrepoids successifs, 1 au-dessus dans un premier temps, puis un 2ème qui reprend la charge en-dessous.

Préliminaires
Benoit et Christophe se chargent d’équiper la cavité, parcours traditionnel pour le premier, puits artificiel pour le second.
Mise en place du scénario :
Albert est envoyé seul sur la scène théâtrale. Seul ??? Que nenni, je m’y colle en l’absence de volontaire pour assurer cette fonction annexe, et pour ne pas descendre les mains vides je prends massette, burin, trousse à spits et perfo. Quelques acrobaties plus tard le blessé est en place au bon endroit (ce coquin voulait pimenter le scénario en descendant en bas du plan incliné …).

Le puits est maintenant occupé par les membres de l’équipe ASV. J’en profite pour vérifier les anciens spits tête de puits et échelle, un seul est utilisable. Redescente vers la base du P9, l’installation d’une tyro s’avère plus compliquée qu’envisagé, elle aurait nécessité la pose d’au moins une déviation sur cette dernière. Finalement c’est le plan B qui sera proposé avec un atelier contrepoids sur le P9, translation en reprise de charge jusqu’en haut du P8 de la chute, puis reprise de charge comme prévue au scénario original.

Retour en haut du P8 en m’insérant entre les équipes ASV et transmission. Trois amarrages naturels proposent gentiment leur service pour l’atelier contrepoids. Ils sont un peu bas mais ça devrait le faire avec un accompagnement de la civière. Un 4ème amarrage foré est ajouté afin de mieux centrer le répartiteur dans le puits.
JCL

Compte-rendu de l’équipe 1
Composition de l’équipe ASV : Equipe 1
C/E : Alexia
EQ : Amal, Cathy, Vanessa (Equipe exclusivement féminine)

Mission : Se rendre au contact de la victime, installer un point chaud, réaliser un bilan secouriste, assurer un brancardage assuré par un frein de charge, accrocher la civière à l’atelier suivant, rendre compte des mesures prises.

Déroulement chronologique : Présentation du rôle de l’équipe ASV et du contenu des malles dédiées à destination des nouvelles recrues ASV (Cathy et Vanessa)

Préparation des kits : Point chaud, soins, nourriture.

Engagement sous terre 12 h 00.

Contact victime à 12h 20 environ.

Réalisation du premier bilan : lésion cheville droite. Aide au déplacement pour une mise en sécurité de la victime au niveau du plateau à escargots. Réalisation d’un point chaud à l’aide de couvertures de survie. Mise en place d’une attelle « boston ». Une découverte pour Vanessa qui s’est vite familiarisée avec ce nouveau dispositif d’immobilisation.

Dès la mise en place du SPL, transmission du 1er bilan, puis surveillance de l’aggravation de l’état de santé de la victime.

Dès l’arrivée de la civière, et avec l’accord de la victime nous avons procédé à sa mise en place nous en avons profité pour former Vanessa et Cathy à l’installation d’une personne dans la civière spéléo. Transmission du bilan N °2.

Arrivée du renfort assuré par le trinôme « transmission et apport de civière » pour assurer la partie brancardage. L’arrivée d’un autre binôme chargé d’améliorer le cheminement a été grandement apprécié.

Dès le top départ de la civière annoncé, accrochage de la civière sur un frein de charge guidé par Benoit, puis brancardage dans la descente vers le bas du P9. Accrochage sur la corde de traction au contrepoids de l’atelier suivant. Demande d’aide par Jean-Claude, pour assurer le bon fonctionnement de l’atelier contrepoids en ajoutant des kilos par traction sur la corde.

L’opération s’est renouvelée au bas du P7 sur une demande d’Antoine, Benoit s’est chargé de cette nouvelle mission. Une fois la civière reprise par l’atelier extérieur, nous avons démonté le point chaud reconditionné les kits et entamé la remontée par le cheminement habituel.
Alexia

Compte-rendu de l’équipe 2
Composition de l’équipe transmissions : Équipe 2
C/E Eric
AQ Jean François

Mission : assurer les communication entre tous les ateliers

Engagement sous terre : de 12h15 à 18h15

S’il est une aventure encore plus collective que les autres en spéléo c’est bien l’exercice secours. Aussi me faut-il apporter ma pièce à celle du CR, puisque j’en fus.

1er retour sur site depuis quelques semaines où le départ fut précipité, poussé par un souffle chaud. On n’avait pas le feu au cul mais ce n’était pas loin.

Comme toujours, en ces cas, triste spectacle, que la découverte des meubles intacts n’adoucit vraiment pas.

Faut y aller… Distribution des équipes par Nono et Pierre.

Bien que n’étant pas un novice il me faut quand même un rôle pas trop engagé, surtout éviter le suraccident. On cherche des volontaires pour les trans.

Terme qui m’a toujours paru chargé de mystère, aucunement lié à une quelconque transformation mais plutôt à la magie qui s’attache à ces communications souterraines. Pour Jef c’est plutôt le côté technique qui l’attire sur ce poste. Nous voila donc de l’équipe 2

Explication méthodique du fonctionnement des SPL … des émetteurs récepteurs.  Pour l’instant la technologie sans fils est toujours dans les limbes, ce qui pour un monde de la terre n’est pas l’idéal.

Les fils ont une couleur à respecter semble-t-il. Sous peine d’électrocution de l’ensemble du groupe ? Prudence. Nous prévoyons large : un kilomètre de câble, on devrait pouvoir arriver à faire la jonction, Jeff s’occupera des connexions, pour ma part je m’occuperai du cheminement du câble, dont on nous a bien précisé qui ne fallait retenir qu’une chose : ne pas entraver la progression de la civière.

C’est l’attente au pied du PiCi, on serait bien descendu plus tôt pour anticiper mais le principe reste : c’est l’ASV qui arrive la première au contact de la victime. En patientant on retourne dans notre tête les ateliers prévus, mais avec ou sans tyrolienne ? On avisera en fonction des choix des chefs d’ateliers.

Ca y est la dernière tête de l’ASV a disparu, départ. “Un kilomeeeetre à pied, c’est long”, mais 1 kilomètre de câble c’est lourd, pendu entre les jambes, le touret balotte mais laisse les mains libres, cela peut-être utile sur corde.

Faut se jeter, on connaît heureusement le trou et l’on sait que cela passera, dans un autre contexte cela aurait été à réfléchir, on se repartit finalement les SPL pour aller plus vite. Je dois installer le quatrième, celui du premier contact, Jeff se chargera de celui du ressaut, enfin c’est c’est ce que je pense avoir dit mais pas forcément verbalisé.

La suite est une progression en terrain connu mais où il faut visualiser le passage de la civière et des équipes afin d’éviter un arrachage de câble ou mieux  un équipier pendu au câble se serait délicat. Contact ! Albert bien entouré semble s’être consolé de ne pouvoir participer aux ateliers, Branchement des derniers connecteurs récalcitrants, Jeff arrive, rapidement on s’aperçoit qu’une mauvaise communication sur la couche applicative (la couche physique a été parfaitement installée) a induit un oubli de poste en haut du P9. Jeff remonte faire l’installation. Dans une cavité plus importante cela aurait été problématique, la manip prend quinze minutes mais c’est une erreur qui doit servir : bien vérifier la réception des messages verbaux même sans fil.

Mission pratiquement terminée, nous sommes à disposition de l’équipe, pour moi affectation à la taille des escaliers sur le plateau des escargots où  il est finalement décidé de faire partir la civière. Jeff aide aux ateliers.

Guide à la remontée de la civière où Albert voit la paroi se rapprocher dangereusement, on lui évite un bisou paro. Le touret qu’on ne surveillait plus, en profite pour poursuivre la visite et descend dans les tréfonds de la cavité, heureusement on n’est pas sur Ghisoni. La recherche côté salles des escaliers est rapidement fructueuse. De de son côté Jeff est avec Antoine sur le ressaut, entre la civière et le rocher il aide à la difficile verticalisation où second bisous paroi pour Albert. Je suis, de mon côté, remonté à la base du puits pour le second passage qui coince, la baïonnette, Albert frotte un peu, se plaint modérément, mais ça passe, c’est vrai que les parois grattent un peu

Redescente rapide pour déposer le câble, où l’on s’aperçoit que Jeff est d’une rare méticulosité. Dans la remontée du poulailler, la jarretière est attachée tous les cinquante centimètres, le démontage s’avérera aussi long que la mise en place. Sans doute pourquoi, si le bilan loue la qualité des communications haut fort et clair, le temps passé s’est avéré un peu long, l’oubli du poste 2 y est sans doute pour un peu.

Maintenir la qualité mais accélérer la mise en place et bien échanger au sein de l’équipe. Conclusion de l’équipe 2

Compte-rendu de l’équipe 3
Composition : JCL (CE), Anto, Christophe, Laureen
Renforts : équipe ASV pour le contrepoids, Benoit pour le contrepoids du P8, JF pour le guidage de la corde de reprise vers le P7 de sortie.

Mission modifiée : évacuation de la base du P9 jusqu’en haut du P8 avec translation entre les 2 puits.

Installation de l’atelier contrepoids du P9 : la corde de progression est transférée sur les anciens amarrages, libérant ainsi 2 broches pour le répartiteur. Une pulse est ajoutée en face, le répartiteur est installé. Longueur limite de ce dernier, on aurait pu (dû) demander l’envoi d’une corde supplémentaire pour le rallonger, ou poser un mousqueton supplémentaire sur la pulse (le mouskif était dispo …). Là-aussi un accompagnateur sera nécessaire pour guider la civière sur la paroi. Anto termine la pose du répartiteur du P8.

Évacuation
L’évacuation démarre, Christophe régulateur, Laureen … contrepoids (faut bien pimenter la sauce 😀 ). Comme prévu elle sera un peu légère pour faire monter la civière, demande d’aide à l’équipe ASV qui ajoutera les kilos nécessaires au fonctionnement du contrepoids.

Reprise de charge par l’atelier suivant composé d’Anto régulateur, en position pas très confortable, et Benoit contrepoids. La poulie du P9 se met un peu en travers, un émerillon aurait été utile. La translation se déroule correctement, reprise de charge par le contrepoids du P7 d’entrée. Anto assure maintenant le rôle d’accompagnateur pour faciliter le passage de la civière vers le balcon, il sera aidé par JF qui guidera la corde sur le rebord du balcon. L’idéal aurait été de placer le répartiteur plus haut, mais les spits existants n’était pas utilisables et on ne savait pas où étaient les mousquetons avec plaquettes. La présence d’amarrages naturels a finalement permis d’installer le répartiteur. Un 4ème amarrage en mode foré a complété cette installation afin de centrer la corde et éloigner ainsi la civière de la paroi.

Les ateliers sont démontés en suivant.

En conclusion partielle, ces 2 ateliers contrepoids avec translation se sont bien déroulés et les membres de l’équipe se sont bien adaptés à la configuration des lieux et aux imprévus.
JCL

Compte-rendu de l’équipe 4
Composition : Franck Z (CE), Dumè
Renforts : Anto, Jeff, Éric

Mission : Prise en compte de la civière du haut du P8 et évacuation vers le haut du P7 (sortie).

Installation de l’atelier contre poids en haut du P7, ajout d’une déviation largable à hauteur de la base du ressaut et d’une déviation largable à la base du P7.

Évacuation : Reprise de charge de la civière en haut du P8, Franck est régulateur en régulateur et Dumè en contrepoids. Le frottement engendré par les deux poulies largables demande un effort de traction considérable pour faire passer le ressaut. Éric et Jeff gèrent les poulies largables. Lorsque la civière est verticalisée dans le P7. Anto assure le rôle du 2ème contrepoids, et prend la relève de Dumè qui sort de la cavité pour donner un coup de main à l’équipe 5. La civière arrive en butée et repris en charge par l’atelier de l’équipe 5. Anto effectue sa conversion. Ajout d’une poulie largable au portique de l’entrée deux afin d’annihiler le frottement de la corde de traction de sortie.

Remarques :

  • Le répartiteur du haut du P8 a été placé bien trop bas. Nous avons su après que les « spits » positionnés au-dessus étaient foirés.
  • Une déviation avec une poulie aurait dû être mise en place pour le deuxième contrepoids.
  • La chèvre de sortie est trop basse : même si le répartiteur a été placé au plus haut de la chèvre, l’encombrement créée par le répartiteur, le mousqueton et la poulie n’a pas permis de tracter la civière jusqu’à la sortie de la cavité comme c’était initialement prévu. Nous avons donc ajouté une poulie largable et utiliser l’atelier de l’équipe 5 comme un véritable palan et non plus comme simple assistance.

Franck

Compte-rendu du CTDSA
Postes occupés : conseiller technique : Noël. Assistant de gestion : Grand Pierre.

Déroulement chronologique :
Installation d’un PC allégé, une simple table et 2 chaises suffiront. Nous avons pris la décision de ne pas monter le barnum ce coup-ci.
Enregistrement des intervenant sur les fiches d’inscription, rédaction des fiches de missions. Suivi des personnes engagées sur le planning et renseignement du diagramme au fur et à mesure que les informations parviennent au PC via les SPL 05. Rédaction de la main courante.
Bref, un travail normal gestion d’une intervention souterraine.

Ressenti : Globalement l’exercice s’est bien déroulé, chacun des intervenants s’est investi avec sérieux et détermination.

L’équipe 1 ASV : exclusivement féminine composée de 2 ASV confirmées, en ont profité pour initier 2 novices. Le point chaud a été monté avec ingéniosité à l’aide de couvertures de survie et de ficelles. La mise en civière a été réalisée confortablement d’après le ressenti de la victime. La partie brancardage s’est également bien déroulée.
C’est un bon point qui, je l’espère, suscitera des volontés pour participer à un stage national.

L’équipe 2 transmission : elle aussi composée de 2 apprentis en la matière à réalisé un travail remarquable. Visiblement le fil des SPL a été placé de façon à ne jamais entraver le passage des équipiers ni celui de la civière. Attention cependant, bien lire les consignes du CT et ne pas hésiter si besoin à réaliser un croquis au dos de la fiche de mission.

L’équipe 3 évacuation : on y avait également intégré 2 nouveaux. L’équipe a su s’adapter en modifiant l’idée de base qui était d’installer une tyrolienne, par 2 contrepoids. Contrepoids suivi d’une longue translation, reprise par un autre contrepoids.
Attention à faire remonter les infos au PC si vous décidez de vous faire aider par les équipiers de l’ASV – brancardage.

L’équipe 4 évacuation : assuré par 2 vieux brisquards du SSF, le balancier a permis la remontée de la civière dans le puits grillagé sans trop d’encombres. Le passage est étroit et il a fallu innover en installant un contre poids sur le plan incliné entre les 2 puits pour permettre au balancier du puits de sortie de s’extraire et laisser ainsi la place à la civière.

L’équipe 5 évacuation : un palan installé loin de la sortie a permis sans difficultés de sortir la victime du puits.

Difficultés rencontrées : pour le PC, le fait de ne pas installer de barnum nous expose aux caprices de la météo. Pour exemple lors de l’exercice (télévisé) sur la cavité de Pietralbello une tente s’était envolée et s’était abimée sur une clôture. Ce coup ci Eole s’est mis à souffler et les documents se sont éparpillés dans la nature.
Un détail encore ; penser à bien faire remonter les informations au PC ce qui permettra à l’équipe de surface d’avoir une « vision-interprétation » de la réalité souterraine

Merci à tous les participants.

Si l’aspect secours en spéléologie vous a plu et que vous souhaitez vous investir davantage dans ce domaine, sachez que des stages existent au niveau du SSF national. J’émets le souhait d’organiser sur notre territoire un stage ASV (si toutes les conditions sont réunies bien entendu).
Encore merci à tous.
Noël

Topo de l’exercice

Equipes et diagramme

Planning

Conclusions générales
L’exercice s’est déroulé correctement, 1h08 pour évacuer la victime par un itinéraire inédit et volontairement allongé, c’est bien.

L’installation du PC est bien rodée maintenant et elle s’est déroulée rapidement. Lors d’un barnum ou d’un secours réel il faudrait y ajouter l’installation des barnums ainsi qu’un magasin matériel et son gestionnaire.

On n’a pas pu gérer la nourriture, heureusement chacun était autonome à ce niveau. Si ce cas se représente on peut imaginer une organisation simplifiée type « camp », avec préparation du traditionnel et franchouillard sandwich « jambon-beurre-cornichons ». Ce dernier présente l’avantage d’offrir des sucres lents, des protéines, du gras, du sel et du … légume 🙂 . Si on y associe une pâte de fruit on a alors un repas complet !

Le planning a reflété la réalité terrain, hormis pour le gus qui a accompagné la future victime, il n’était pas disponible mais utilisé dans une fonction annexe, indispensable quand on connait le contexte. A ce propos on pouvait se permettre de décaler l’entrée de la victime dans ce cas d’exercice.
Cette dernière a été installée dans un beau point chaud par une équipe ASV au top. Le portage s’est bien déroulé également, presque dans le silence, on a bien progressé à ce niveau 🙂 .

Pour une première, l’équipe transmission improvisée s’est bien débrouillée. Elle a su trouver un cheminement du câble SPL ne gênant pas la progression des équipiers et les postes ont bien fonctionné. Il faut quand même trouver une solution pour éviter de trimbaler le rouleau d’un kilomètre de fils téléphonique. Préparer des bobineaux en fonction de la cavité, 50 m, 100 m ?
Il faudra également être vigilent sur l’état des piles SPL, plusieurs avaient coulé, heureusement qu’elles n’étaient pas dans les appareils. Pour en faciliter le contrôle périodique il faudrait entreposer la mallette SPL dans un endroit plus facilement accessible. Etudier éventuellement la possibilité d’alimenter les SPL avec une petite batterie externe.

Les ateliers techniques se sont bien déroulés également, il n’y a pratiquement pas eu d’arrêt de la civière, hormis lors des reprises de charge. A propos d’équipement, comme lors des explorations, il est préférable de privilégier dans la mesure du possible les amarrages existants ou naturels, pas la peine de planter des spits qui ne serviront peut-être qu’une fois alors que l’équipement en place ou la nature nous proposent des points d’ancrage. Dans cette optique on aurait pu s’orienter vers une utilisation des ancrages temporaires Pulse, mais ils sont proscrits par le SSF pour un usage sur des ateliers spéléo-secours.

Au final, un exercice qui donne un goût de reviens-y, on n’est pas obligé d’attendre le printemps pour s’entrainer de nouveau en falaise.
JCL

Dimanche 9 novembre 2025 – Galerie San Quilico-Gregogna, Monte Sant’Angelo

Dimanche 9 novembre 2025
Spéléo – désobstruction, prospection
Galerie de San Quilico-Gregogna, Poggio d’Oletta
Monte Sant’Angelo, Saint Florent

Participants
ITP : Wanda C., Henri-Pierre F., Éric G., Jean-Claude L. M., Vanessa et Louis-Mathis S.
Individuel : Jean-Yves C.

TPST : 0h15

On pourrait classer les sorties spéléo en 2 grandes catégories, les visites de classiques et les autres. Les premières sont pépères, on connait la cavité ou on a la topo. Si la cavité est brochée on n’a même plus à réfléchir, on clipse un mouskif, on fait un nœud et on descend. Quelques photos plus tard on remonte pour le traditionnel graillou.
Et il y a les autres, parmi lesquelles les prospections, désob, explorations, avec une part d’aventure et d’inconnue qui peut pimenter la sortie.
C’est le cas de celle-ci, une galerie disparue à retrouver et éventuellement visiter. Précédemment deux sorties vélo ont permis d’affiner la zone de recherche et d’avoir la quasi-certitude que l’entrée de la galerie a été obturée par un éboulement.

Nous voilà sur la Strada di i Vignaghjoli, la bien nommée route des vignerons.
Elle serait donc là, en bord de route, face à un bassin de rétention. D’abord connue comme mine de Gregogna, d’où a été extrait du minerai de fer, ayant notamment servi à la fabrication de boulets de canon, elle a été transformée après l’arrêt de l’exploitation minière en galerie de captage d’eau. Lors de la topographie de septembre 2003 les éléments confirmant cette hypothèse étaient encore visibles, avec notamment le canal collecteur et le départ d’une conduite vers le bassin.
Elle serait donc là, avec juste une petite ouverture en haut de l’éboulis, trou où seule une main peut passer.

On savait le propriétaire récitent aux visites, sa maison est en face, mais pas de sonnette. On klaxonne mais aucun signe de vie, c’est dimanche matin, jour de grasse matinée.

Le piochon et la pelle trépignent d’impatience, il faut les calmer. Quelques grattages plus tard on aperçoit la paroi appareillée de gauche. Encore quelques pelletées et c’est celle de droite qui s’offre aux yeux excités de Louis-Mathis. La tentation est trop grande, encore quelques racines à enlever et le voilà qui disparait dans la petite ouverture. Ne pouvant le laisser seul JC se dévoue pour le suivre 🙂 .
La galerie est moins large que dans les souvenirs de ce dernier, mais ça passe tranquille. Des racines chevelues pendent du plafond et agrémentent la première partie du parcours. Le sol est recouvert d’une couche d’argile et de sable probablement infiltrée à travers l’appareillage en moellons de pierre. Cette accumulation est peut-être la conséquence de l’obturation de la cavité qui empêche son curage. Elle doit même s’ennoyer partiellement lors des fortes périodes de pluies. La couche d’argile se transforme en dune par endroit, jusqu’au bouchon final qui obture complètement la galerie jusqu’au plafond. Nous ne sommes qu’au tiers du parcours, à une cinquantaine de mètres de l’entrée, la suite n’est plus appareillée (de souvenir) et c’est la roche mère qui aurait pu nous apparaitre.

Retour vers la route, la fille de la propriétaire est là, alertée par ses enfants. Elle n’est pas favorable à notre visite. Contact par téléphone avec la maman, cette dernière est encore moins favorable. La discussion peut se résumer à un « je ne suis pas contente ! », malgré les explications de notre démarche. Les arguments scientifiques n’ont pas suffi à la convaincre et son passé de spéléo (elle en a fait notamment dans le Marguareis) n’a même pas pesé en notre faveur. Il est donc convenu de refermer l’entrée à notre départ. La galerie ne pourra pas être de nouveau ouverte avant un certain temps …
Cependant, une petite graine a peut-être été plantée dans l’esprit de l’ainée des petits-fils de la propriétaire, sa mère n’a pu l’empêcher d’aller voir, tout excité, l’entrée de la galerie …
Pendant ces « négociations » une bonne partie de l’équipe a pu visiter la galerie …

Nous continuons maintenant sur la Strada di i Vignaghjoli et nous faisons un petit arrêt culturel pour visiter la chapelle San Quilico, datée du XIème siècle et bâtie en grande partie en pierres calcaires.
Le déchiffrage d’un tag rouge nous occupe un moment « A VOLPE PERDE LU PELU, VIZIU MAÏ ! », qui pourrait se traduire par « LE RENARD PERD LE POIL, LE VICE JAMAIS ! ». A méditer 😀
D’autres tags incongrus dénotent sur cet édifice ancestral et classé monument historique.

Nous repartons et laissons maintenant les véhicules sur un champ à proximité d’une colonie de vacances. La randonnée vers le Monte Sant’Angelo débute après avoir opté pour le sens horaire, histoire de changer les habitudes.

Agréable montée par la face ouest, le chemin est bien tracé et louvoie entre « tululus », paghjaddi et oléastres. Il domine un moment un beau canyon sec. Avec cette roche calcaire on se croirait dans la Sierra de Guara !
Le soleil est de la partie, le magnifique paysage de la baie de Saint Florent s’offre peu à peu à nos yeux.
Nous arrivons ainsi près du sommet, en partie brulé par les derniers incendies. Des piaillements se font entendre, nous ne serons donc pas seuls dans ce lieu où la tranquillité est recherchée.
Un groupe d’une dizaine de randonneuses s’est installé dans un coin des ruines. Ces balanines et cortenaises sont venues fêter en cet endroit aérien l’anniversaire de l’une d’entre elles. Elles entament même quelques pas de danse au son d’une petite sono !
Ce groupe féminin excité réveille le tempérament de mâle alpha de JY, il essaiera d’obtenir d’éventuelles infos sur des cavités dont elles auraient eu vent vers chez elles …
Heureusement nos quelques « appréciations » lancées sur la tranquillité des lieux inciteront l’arrêt de la sono et nous pourrons ainsi casser la croûte dans un calme relatif, à un mètre du précipice dominant la plaine d’Oletta.

Quelques accents hispaniques dans les victuailles avec de la soubressade à tartiner (sobrassada), un genre de chorizo tendre en barquette, et des roïcos en dessert (recette familiale manuscrite). Ce sont des gâteaux secs d’origine oranaise confectionnés par Marie-Françoise, la tendre de JC. On peut les classer dans la grande famille des gâteaux secs populaires, dont les canistrelli font également parti.

Il est temps de partir, la descente vers le petit col d’où part la vire de retour est retrouvée après quelques tâtonnements, plus impressionnante dans le sens descente que montée.

La vue sur la plaine d’Oletta est magnifique. Nous descendons ainsi au milieu des strates calcaires jusqu’à l’endroit où des fouilles archéologiques se sont déroulées. On peut y voir en coupe des traces d’incendies ou de foyers anciens mais peu de vestiges découverts (dixit le proprio vu plus bas). C’est à cet endroit qu’il aurait fallu descendre d’un étage côté vide, mais nous avons continué au plus évident, ce qui nous a valu quelques égarements. D’ailleurs, il vaut mieux parcourir la vire dans le sens montée, plus évident et plus aisé ainsi.

Nous arrivons avec un peu de retard près des bergeries des Stretti di Poggio, où le fils des propriétaires nous accueille. Très sympathique et prolixe, nous avons un peu de mal à nous en séparer et reprendre la direction des véhicules. D’abord par les champs, puis par la route, un troupeau de vaches nous l’ayant gentiment conseillé. Bien nous en a pris de suivre ce conseil, peu après se trouvait le mâle, alpha lui aussi, à l’air beaucoup moins conciliant. C’est au tour du tonton de s’arrêter près de nous, bavard lui aussi, c’est donc de famille 🙂 .

Retour aux véhicules, puis vers le Lancone avec un arrêt au bar du col San Stefanu pour arroser cette sympathique journée.
JCL


L’étude de textes datés des 16e et 17e siècles*, de la bibliographie, de la microtoponymie ainsi que la présence locale de minerai de fer (hématite et limonite) et de scories à proximité des galeries, permettent de relier ces vestiges souterrains aux anciennes mines de fer de Gregogna, probablement exploitées entre les années 1520 et 1698. Le minerai aurait servi à fabriquer des boulets pour l’artillerie.
Le plan Terrier du Nebbio, rédigé durant les années 1770 ne mentionne aucune activité extractive, ancienne ou en cours. Cependant, le plan joint au texte fait état d’un lieu-dit « alle cave » (à traduire par « les galeries ») correspondant à l’emplacement actuel du site de Gregonia.
En outre le lieu-dit Gregogna porte aussi le nom de Ferinello.
Les mines ont été par la suite réutilisées, allongées et réaménagées en « mine d’eau », au début du 19e siècle.
Gregogna 1 comportent un parement latéral de moellons calco-schistiques sur les quarante-cinq premiers mètres et un toit en pierre de schiste.
PHP

* Pierre Joseph Comiti. Mines et métallurgie du fer en Corse du XVème au XVIIIème siècle. éditions Alain Piazzola 2011


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