Archives mensuelles : mars 2025

Dimanche 16 mars 2025 – Cast 1 et 11 – Oletta

Dimanche 16 mars 2025
Spéléo, initiation, perfectionnement, visite
Cast 1 et 11, Oletta

Participants
ITP : Cathy et Jean-François B., Antoine B., Arnaud B., Henri-Pierre F., Jean-Claude D., Jean-Claude L. M., Nicolas M., Laureen N., Béatrice R., Franck Z.

TPST : 4h00

A l’initiative d’ Anto et Pulpy, une sortie vers Cast 1 sur la commune Oletta est programmée ce week-end. C’est pendant nos réunions le Jeudi soir que tout se décide car initialement une sortie canyon était prévue.

Une fois sur le site du pylône, Franck, équipe le puits d’entrée et le P13 de la salle de la chèvre suivi de Laureen et Arnaud. Dans la diaclase, le trio retrouve Anto qui a équipé le grand réseau . Laureen à la manœuvre, se lance dans l’équipement de la diaclase de gauche, main courante et P9 sous la surveillance de Franck et Arnaud. Laureen apprend à installer la main courante et un nouveau nœud: le nœud papillon. En bas du P9, Cathy rejoint le groupe. L’exploration se poursuit dans la salle du chien puis par la désescalade des ressauts de 2 et 3 mètres jusqu’au fond de la cavité, et enfin remonter par la salle des marches. Arnaud ne connaissant pas toute la cavité, le petit groupe décide d’effectuer la vire de la salle de la chèvre. Les spéléos se croisent, une file d’attente se crée en bas du plateau des escargots, entre ceux qui veulent descendre et ceux qui souhaitent remonter.

Le trio se retrouvent dans la salle de la chèvre suivi par Henri-Pierre, Ils  évoluent rapidement sur la vire. Arnaud, Laureen et Henri-Pierre repartent vers l’entrée 2. Franck regagnera la surface par le grand réseau.

Après la pause méridienne, Franck effectue à nouveau la traversée pour déséquiper le puits de l’entrée 2.

Franck


Pendant que Laureen assisté de Franck équipe le puits d’entrée ave Arnaud, je m’occupe d’équiper celui de sortie sous l’œil avisé d’Henri-Pierre. C’est pour la sortie et il y a peu de monde donc cela me permet de prendre le temps.

En bas du puits, et en attendant que Laureen, Franck et Arnaud nous rejoignent, Henri-Pierre part explorer la salle du Chien. Il y a un ressaut à passer, de mémoire j’avais bien galéré pour le remonter avec Christophe lors d’un précédent passage donc je préfère attendre qu’on place une corde. Chose faite avec l’arrivée de Laureen, Franck et Arnaud. Nous voilà donc tous les 4 à poursuivre l’exploration avec la salle du Chien et le fond de la cavité. La remontée se fera par le P13, une première pour moi car c’est un passage rarement équipé.

Une petite pause déjeuner s’impose. Anto propose à Laureen d’équiper le reste de la cavité, mais elle doit repartir tôt avec Arnaud, résultat deuxième séance d’apprentissage pour moi. Pendant que certains s’installent confortablement pour la sieste, je descends, suivi d’Anto, Jef et Franck. En haut du P15, j’attaque l’équipement avec mise en place de la main courante. Cela prend un certain temps….mais je suis super bien conseillée par Anto et Franck (ce qui d’ailleurs est très intéressant car chacun sa technique). Après la main courante, équipement du puits. Il doit y avoir une déviation, mais en descendant je ne l’ai pas vu. Anto suit et ne la voit pas non plus…finalement il trouve l’emplacement, mais il faut une plaquette pour placer la dév, ce que l’on n’avait pas prévu. A noter pour la prochaine fois. Equipement du dernier puits, et on se retrouve à nouveau dans la salle du Chien. Pour le retour, Anto repasse par le P15 pour déséquiper et avec Jef je m’occupe de l’autre côté. Finalement on ne ressort pas si tard que cela. Tout est déjà rangé, donc il n’y a plus qu’à repartir. Rare de finir aussi tôt.

Cathy


Après avoir accompagné Béa jusqu’à la salle de la Chèvre les 2 JC se consacrent à quelques essais photo. Le but est de pouvoir utiliser un simple appareil photo numérique pour commander à distance jusqu’à 4 flashs auxiliaires. Après de multiples essais et réglages il s’avère que la configuration suivante fonctionne.

  • APN (Olympus TG4) en mode manuel. Flash activé mais caché en grande partie par le doigt. ISO au minimum, 100 en l’occurrence
  • Un déclencheur SwitssFlash raccordé au contrôleur de flash Yongnuo
  • 1 à 4 flashs Yongnuo déportés

Tout ça pour arriver à quelques photos qu’on pourrait qualifier de potables. D’autres séances seront nécessaires …

Température de la salle de la Chèvre : 15,7°
Humidité : 83%
Déséquipement du puits de la Chèvre par JCL

Après les agapes HP propose aux 2 autres vétérans d’aller visiter une des multiples cavités « oubliées » du secteur. C’est Cast 11 qui permettra d’assouvir la curiosité des 3 retraités. Retraités qui seront peut-être bientôt la catégorie la plus représentée, des inactifs très actifs 🙂
Les coordonnées de la topo sont erronées, l’entrée est quand même rapidement retrouvée au flair, JCL étant bien équipé à ce niveau 😀 . Située à une cinquantaine de mètres de Cast 1, elle se trouve sur l’axe Cast 1-Cast 5.
Une corde est amarrée à l’olivier de service, un kit servira de protège-corde et c’est parti pour une descente de quelques mètres. En baudard de fortune pour JCL (le bout de la corde) et demi-cab, flegme d’aller chercher son matos 😯 . Atterrissage en haut d’un pierrier, quelques os jonchent le sol, dont un crâne de canidé. La descente se poursuit sur quelques mètres et c’est la fin sur trémie. Les parois concrétionnées agrémentent cette jolie galerie. La température semble bien haute.
Visite de la galerie perpendiculaire, la chatière sous la coulée de calcite blanche n’est visitée qu’à tâtons avec les pieds, c’est le genre de passage à ne pas faire après les agapes. Une chauve-souris s’échappe de l’alcôve supérieure en bas du puits d’entrée, un grand rhino ou un euryale.
Remontée en privilégiant l’escalade, surtout pour JCL qui n’a pas le choix :mrgreen:
Retour à Cast 1 d’où sortent peu à peu les topi.

Comme le matin, c’est en petit comité que le matos sera rangé au local.

JCL

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Dimanche 9 mars 2025 – I Luminelli, Morosaglia

Dimanche 9 mars 2025
Spéléo, visite, équipement
Gouffre I Luminelli, Morosaglia

Participants
ITP : Cathy B., Michèle C., Wanda C., Albert D., Adriana D. C., Antonio E. G., Henri-Pierre F., Jean-Claude D., Éric G., Jean-Claude L. M., Louis-Mathis et Vanessa S., Franck Z.
Individuel : Jean-Yves C.

TPST : 4h00

Journée multifacettes, 14 topis et associé se sont lancés à l’assaut de la crête de Quercetta Tonda. Pleins de bonnes volontés et équipés de quelques sécateurs nous attaquons la montée avec la mission de rafraichir le chemin. Mais comme d’habitude nous perdons les marques jaunes au bout de quelques dizaines de mètres et continuons la montée au juger, jusqu’à retrouver ces marques là où c’est de nouveau dégarni, c’est-à-dire non loin de la crête. A renouveler mais en prenant le temps, il faut y consacrer une journée avec de la prospection ou désob en complément.

La météo annonçant de la pluie dans l’après-midi nous installons dès l’arrivée une bâche dans le sous-bois. C’est un peu pour conjurer le sort, et ça a marché, on a eu la pluie qu’une fois de retour aux véhicules.

Antonio et Franck se chargent de l’équipement de la cavité, ils trouveront d’ailleurs 2 mousquetons oubliés lors d’un précédent déséquipement (c’est qui ?). Pendant ce temps nous scions quelques branches afin de renforcer la protection du trou, pas facile avec une scie à main. Nous aménageons également ce nouveau coin grillades.

14 personnes à descendre dans la cavité ça prend du temps, ce n’est que 2 heures plus tard que tout le monde se retrouve devant la glace au café.
Coup de fatigue pour Albert, probablement hypoglycémique. Pendant qu’il reprend des forces et du sucre, tranquillement installé sous une couverture de survie, JC pose une broche de déviation dans le P8 et d’autres visitent les failles terminales.

Il est temps maintenant de remonter, il fait faim et soif. Certains par la corde, d’autres par les escalades.
Éric est remonté récupérer le kit OKZOU, un palan est installé par anticipation, ce qui permettra de gagner un certain temps pour la remontée de notre patriarche du jour, et permettra un petit entrainement pour Franck, Éric et JCL.
Les puits sont ainsi assez facilement remontés.

Il était prévu de brocher le dernier fractio du P12, ce sont finalement un AN (amarrage naturel) et un AF (amarrage foré) qui seront testés et approuvés. A ce propos, dire qu’une cavité est entièrement brochée ne veut pas dire que tous les amarrages sont réalisés avec des broches. Il est possible d’utiliser des amarrages naturels, c’est même recommandé afin de dégrader le moins possible ce milieu qu’on veut le plus naturel possible. Il en est ainsi de la déviation du P12, la petite colonne qui le permet est certes un peu cachée mais la déviation est indispensable si on veut éviter les frottements. A noter également qu’il faut tendre au maximum le nœud en Y de tête de puits de ce P12 afin d’éviter le petit frottement de droite.

Déséquipement du P8 par Éric, des P12 et P9 par JCL.

A noter, on est passé près d’un vrai accident, un gros bloc rocheux s’est détaché de l’entrée de la cavité, a roulé sur le plan incliné avant d’atterrir à côté de JY en bas du P9 !
Conclusion : éviter de stationner en bas des puits !

Le nouveau coin grillades est inauguré et approuvé, il permet entre autres d’être à l’abri du vent.
La bâche est démontée, elle n’aura finalement pas servi. La grille est remise à sa place, dans un renfoncement rocheux près de la cavité.

Le retour aux véhicules se fera de jour et plus ou moins rapidement, agrémenté par quelques gouttes de pluie, surtout pour les derniers …

C’est autour d’une table au Carré d’As que nous terminerons cette agréable journée.

JCL


« de 24 »

Samedi 8 mars 2025 – Canyon, ruisseau de CIPPETTO – Volpajola

Samedi 8 mars 2025
Canyon, descente de classique
CIPPETTO – Volpajola

Participants :
ITP: Christophe C., Adriana D. C., Antonio E. G.

TPEC : 3H20
Niveau : V4/A2/II

Bien que le week-end s’annonce mauvais, une journée spéléo est programmée le dimanche.
Samedi semble être plus clément.

Christophe indiquant être absent le dimanche et pas de cadre canyon disponible, Antonio propose que Adriana, Christophe et lui refassent à nouveau le Cippetto.
Benoit, parti la veille, suivra nos aventures à distance… Hein, ça fait quoi, hein !!

Nous nous retrouvons à 8H au local et récupérons deux cordes de 60 et une de 20 pour Adriana (Journée de la femme oblige, on va être galants)

Un petit café au point chaud du Golo, et nous voici partis tous les trois.

Nous n’avons aucun mal à retrouver la sente menant au départ du canyon, déjà emprunté le mois dernier, si bien que nous commençons déjà notre descente à 10H.

Nous nous étions donnés une consigne: pratiquer le débrayable, du haut, du bas, mais nous allons y revenir…

Petit toboggan de départ, et Antonio équipe la première C22 en nœud patate sur laquelle Christophe descend, suivi de Adriana une fois la corde ajustée.
La sangle posée sur le relais de l’autre côté de la main courante n’a pas bougé.

Le premier débrayable du bas est un petit peu un échec, il va falloir relire le manuel technique.
Sans vraiment d’entente, Christophe lesté d’Adriana, voulait débrayer du bas Antonio, à partir du brin côté sac contenant encore près de 40m de corde.
Antonio est dubitatif et nous traînons, sans réussir à se comprendre avec le bruit de l’eau.
Le débit semble relativement identique au mois dernier.

Nous poursuivons notre descente jusqu’à la C55 équipée par Christophe.
Antonio descend le premier pour ajuster la corde suivi de Adriana puis des sacs et Tyrolienne.
Le dernier sac, contenant la corde raboutée pour le rappel, restera planté sur la première plateforme que Christophe récupèrera lors de sa descente.
Là, nous n’avons pas joué le débrayable du bas.

Ça descend, nous prenons chaque toboggan, d’ailleurs il y en a un où la hanche vient un petit peu taper à droite…

Adriana équipe la C12 qu’elle descendra juste après Christophe.
Mission: essayer de reproduire le débrayable du bas que voulait faire Christophe.
Mais, pensant finalement que c’était une mauvaise technique, la corde est bouclée d’un nœud en 9 + mousqueton. Adriana dit le nœud à gauche, on croit entendre Antonio dire le nœud à droite car il est équipé sur l’autre brin, bref, c’est le brin !!
Finalement le nœud est monté en buté et Antonio s’installe en dessous, à un détail près: la corde est très courte et sans manque de recul pour le débrayable du bas qui se fera quand même…

La dernière C6 avant le pont sera sautée par Christophe de 4 m, puis, après avoir sondé un petit peu la vasque, sauté par Antonio des 6 mètres.
Adriana contournera.

Retour vers 13h20 à la voiture, après être passés sous le pont.

Le repas sera pris au bord du Golo, hélas, quelle ne fut pas notre surprise en voyant le petit chemin y conduisant encombré de déchets d’entreprise (ah, ces touristes…) et le rendant impraticable.

Les cordes seront gérées au local par Adriana et Antonio qui font retour sur Bastia après avoir récupéré leur voiture à Lucciana.

Christophe C


Dimanche 2 mars 2025 – Faille Léonardi – Canelle, Centuri

Dimanche 2 mars 2025
Spéléo, exploration
Faille Léonardi – Canelle, Canari

Participants
ITP-CISM : Alain et Léo T.

TPST : 1h00

Prévoir masques :

  • Zone potentiellement amiantifère,
  • Restes d’ovins et bovins.

Contexte : la faille LEONARDI

L’entrée par E1 nécessite une corde de 20 m, sangles 2 ml.
Les entrées E2 et E3 peuvent s’affranchir de corde, mais pas des casques : risques permanent d’éboulement.

En revenant d’une randonnée sur Canari, en passant par la RD 33, il a été aperçu (par Pierre-Antoine LEONARDI) une faille en bord de route, une première reconnaissance rapide est effectuée : l’entrée évidente (E1), les autres n’ont pas été vues sur le moment, nécessite une corde de progression et une profondeur d’au moins 6 m est estimée … Si ce n’est pas connu ça vaudrait le coup d’explorer !

Un p’tit message sur le groupe spéléo, seul Jean-Claude en a attendu parlé par un collègue de travail il y quelques années : go !!

Une semaine après, Léo et moi, entre deux prévisions de pluie, on effectue le voyage, le Cap c’est beau mais c’est loin …enfin ça tourne beaucoup !
Arrivée sur place, profitant d’une lunule géante dans l’axe de faille, une corde est installée à double pour descendre ensemble au fond.
Evidemment, en bord de route on y trouve des carcasses plus ou moins fraîches et quelques déchets divers.
Il est à noter qu’une canalisation en PEHD d’eau potable passe dans la longueur de la faille et même une prise terre pour le pylône aux abords (à ne pas toucher, risque possible de choc électrique).
Il s’agit de failles, il n’y est pas observé de marque d’activité passée ou récente d’eau => aucune draperie, stalactite/mite etc.
Dans une faille parallèle, présence de trois grands rhinolophes « ? ».
L’ensemble est globalement assez, voire très instable !
Il reste bien quelques parties à explorer mais au vu de la nature générale du site il est bien peu probable qu’il y ait de réelles suites intéressantes.

Alain T.

2025-03-02-Leonardo-Canelle AT 001
« de 8 »

Samedi 1er mars 2025 – Trou du Feu – Caunes-Minervois (11)

Samedi 1er mars 2025
Spéléo, désob’
Trou du feu, Caunes – Minervois

Participants
ITP / Spéléo Corbières Minervois : Jean Noël D.
Spéléo Corbières Minervois : Christophe B. (Stoche), Jean Michel E., Guillaume T.
Autonome : Daniel M. (Masdan)
Gent canine : Bosco, Paty

TPST : trois heures

Direction le Trou du Feu, le trou gazé. Pour rappel, presque 3 % de CO2 à l’entrée et 5 % en bas du ressaut d’entrée. Le projet, outre la ventilation forcée par un groupe, est d’équiper les désobeurs de pointe d’un système ARI. Le plongeur du club Guillaume va tenter l’expérience.
La main d’œuvre est là et heureusement car la sortie commence par un portage d’un matériel de campagne considérable :le groupe avec 10 l de carburant,

  • deux ventilos en 220 et un à batterie, une douzaine d’accus, plus de 100 m de fil,
  • deux bouteilles gonflées à 200 bars à l’O2, les détendeurs, masques, etc.
  • tout le matos désob et explo laissé aux voitures avec force provisions de bouche pour le banquet de la victoire supputée !

Après d’âpres discussions techniques un consensus s’est dégagé dans la douleur, le temps de ventiler la partie connue et d’équiper de tuyaux aérauliques. Guillaume et Jean-Michel descendront jusqu’au terminus et les trois autres compères assureront l’intendance de surface (surveiller le groupe et préparer le feu du spuntinu).

Guillaume se lance dans la suite en respirant l’oxygène et en tirant le troisième tuyau de 25 m. Jean-Michel reste en arrière pour détorsader ce tuyau semi-rigide. Au bout de 20 m environ il bat en retraite, ayant pompé la moitié de l’oxygène et avec le petit tube qui alimente le masque qui s’est débranché deux fois ! Le système fonctionne mais il faut améliorer des détails.
Ils ressortent après avoir fait arrêter la ventilation, raccorder le troisième tuyau et désober le passage boueux. Une fois dehors le groupe est relancé pour ventiler jusqu’au nouveau terminus le temps du repas. Lequel sera suffisamment abondant et prolongé autant que nécessaire et même un peu plus, les audois apprécient les spuntini.

Retour à l’entrée du trou et subitement le groupe s’arrête et refuse d’obtempérer dans la durée ; il reste le souffleur à batteries mais il faut aller vite. Redescente de Jean-Michel et Guillaume dans la cavité, où ils feront quelques mètres de plus pour constater que la galerie s’amenuise en s’horizontalisant : arrêt sur un méandre en trou de serrure inversé haut d’1,50m, large de 15 cm, 60 cm en bas environ. Suite visible sur 4 m, c’est en pleine roche et serait désobable s’il n’y avait pas de CO2 ! !

Très grosse déception, il reste la topo avant de tout déséquiper. Par contre les bouteilles d’oxygènes revues et améliorées pourront servir au Trou Mille feuilles.

JND/JME