Archives de l’auteur : Jean-Claude L. M.

Samedi 5 et dimanche 6 novembre 2022 – Buga di a Cutina, Ghiso 4 – Ghisoni

Spéléo, initiation grande verticale, désobstruction

Buga di a Cutina, Ghiso 4 – Ghisoni

Participants

  • ITP : Antoine B. (1) , Michèle Cl. (1), Wanda C. (2), Jean-Claude D. (2), Albert D. (1), Dominique D. (1), Amal D. (2), Jean-Noël D. (2), Michaël D. (2), Henri-Pierre F. (2), Jean-Claude L. (1), Nicolas M. (1), Benoit R. (2), Marie Pierre R. (1), Yorick S. (2)
  • Individuel : Jean-Yves C. (1)
  • Ex-topi : Corine B. (1), Lionel (1)

(1) : samedi et dimanche

(2) : dimanche

TPST : 4h00

Photos

Samedi

Quatrième descente de l’année à Ghisoni et quatrième descente dans le gouffre, A Buga est ainsi devenue la cavité la plus fréquentée en 2022 !

On peut passer les traditionnels préliminaires mais quelques faits sont à noter.

Tout d’abord un marseillais arrêté en bord de route peu après le tunnel nous fait signe. On s’arrête les uns après les autres et c’est ainsi que pas moins de 5 véhicules et 10 personnes se portent à son secours. Il a éclaté une roue en roulant sur un des nombreux cailloux qui ont dégringolé de la montagne, mais il n’arrive pas à démonter la roue avec la clé rikiki fournie avec le véhicule. Lionel sort sa croix de la voiture (qu’on ne se méprenne pas sur l’outil sorti 😉 et en quelques minutes le marseillais est tiré d’affaire.

Autre péripétie peu avant les bergeries de Gunzoli, l’Isuzu de Poulpy couine. Ouverture du capot, fumée et odeur de caoutchouc cramé. La courroie accessoire a voulu se faire la malle et frotte sur les flasques des poulies. Elle a bien chauffé et s’est déformée, mais elle n’a pas cassé. Lionel sort sa boite à outils (qu’on ne se méprenne pas… 😉 et en une petite heure la courroie est remise en place. Embouteillage sur la piste, un groupe en buggys est obligé d’attendre la fin de la réparation. On en profite pour leur demander s’ils n’ont pas eu vent de cavités lors de leurs balades pétaradantes, ce qui serait étonnant…

Redémarrage du convoi, enfin presque. Cette fois-ci c’est le Galloper de Dumè qui fait la tête et refuse de démarrer. Juste un problème de batterie vite réglé. Le week-end commence chaudement…

Pas d’autres mésaventures jusqu’à la casetta puis traditionnels va et vient pour acheminer les nécessités logistiques et alimentaires. C’est une première pour Coco et Lionel qui ne connaissaient pas « notre » refuge spéléo et semblent ravis de ce retour à la nature.

Premier apéro, premières grillades. Deux équipes se forment, les casettistes et les désobeurs. Les premiers se chargeront de divers bricolages de confort, dont le montage de la nouvelle table patiemment fabriquée par Dumè, une Dumette de plus ;-). On peut y manger confortablement à 10 mais en se serrant un peu on peut s’y attabler à 14, voire 16. Des bancs complètent également la table, mais aussi de vraies chaises avec dossier, le grand luxe pour les vieux spéléos courbaturés !

Michèle, Albert, Poulpy et JCL composeront l’équipe des désobeurs du samedi, départ tardif vers Ghiso 4. L’équipe de met rapidement à l’œuvre et 6 tirs de confort et de fond sont effectués. Les burins et massette ne sont pas oubliés et complètent les tirs.
Il est apéro moins le quart, il est temps de rejoindre la casetta, après avoir déblayer un maximum de gravats pour faire un point et laisser place nette à l’équipe des désobeurs du dimanche. L’objectif de la journée est atteint, on est au-dessus des pseudos puits. Contrairement à ce qui était imaginé, la suite semble plus prometteuse à gauche qu’à droite et on ressent un léger courant d’air. La terre s’insinue entre les cailloux laissant à penser qu’il y a du vide dessous…

Descente à la frontale en passant à côté du trou. JY y a pendu l’enregistreur coquin qui permettra d’espionner une éventuelle partouze de chiroptères (aucune activité chiro notable, juste quelques petits et grand Rhino en balade (1 ou 2 ?).

C’est MP qui a préparé le plat de consistance, un délicieux rôti à la crème, et comme le précise la cuisinière « il ne manque que les champignons qu’on aurait trouver sur place ! ». Mais pas de chance. Un rustique clôt le repas suivi par quelques pousse-rustique.

Coco et Lionel partent vers leur tente, Albert vers la sienne, Michèle vers son bout de chemin et les autres vers la mezzanine. Nuit tranquille même pas ponctuée par des bruits parasites.

Dimanche

Réveil à 7h00 non pétantes, petit déj, petits bricolages et voilà les dominicaux.

Quatre équipes se forment :

– Michèle et JY sont partis pour les mines de Paganello compter fleurette avec les chauves-souris

– Dumè, Coco et Lionel resteront à la casetta pour divers bricolages

– JN, JCD, Albert et HP constitueront l’équipe des désobeurs du dimanche

– Direction le trou pour les 9 autres

Les autres se divisent à leur tour en 2 sous-équipes :

– Anto, Wanda, HP, MP, Amal, Benoit et Yorick feront quelques manips sur une corde accrochée à une branche de châtaignier. Même Lionel a essayé, mais n’a pas approuvé !

– JCL et Micca iront équiper le trou

C’est ainsi que Micca se charge de l’équipement jusqu’au musée avec la C95 en utilisant les broches. JCL suit avec une C70 et utilisera les spits jusqu’à la lucarne, ces derniers sont toujours vaillants à nous soutenir. L’un des principaux objectifs est de faire découvrir une grande verticale aux nouveaux et à Amal. Micca, Anto, Poulpy et JCL se placent aux points stratégiques et conseillent au passage les 2 nouveaux.

Visite rapide du musée et retour en surface. Anto et Micca se chargent du déséquipement pendant que Poulpy et JCL vont jeter un œil à Ghiso 4. Les gravas des derniers tirs n’ayant pas été enlevés, une bonne ou une mauvaise surprise attendra les prochains fox-terriers.

Seuls Wanda et HP sont encore à la casetta lorsque le quatuor y arrive pour casser la croute.

Descente de nuit après avoir coupé l’eau et effectué les divers rangements et nettoyages de la procédure de départ.

JCL 

Samedi 29 octobre 2022 – Cast.1, Oletta

Spéléo, initiation spéciale « Mon cœur ♥ »

Cast 1, Oletta

Participants

  • ITP : Antoine B., Michaël D., Henri-Pierre F., Éric G., Jean-Claude L.
  • Initiées : Francesca A., Raphaelle M., Sophie M.

TPST : 3h00

Photos

« Mon cœur ♥ » avait tout préparé, il ne restait qu’à passer au local pour récupérer le matos. On en profite quand même pour boire un petit café, le paquet acheté par « Mon cœur ♥ » était sur le comptoir et n’attendait plus qu’à être utilisé.

On se répartit dans les voitures disponibles, à un individu près qui veut être sûr de rentrer car les autres chauffeurs deviendront peut-être des chauffards après le pique-nique, il prend donc son propre véhicule personnel à lui.

Micca se joint à la troupe juste avant la piste. La portion de cette dernière entre la ferme et la bifurcation vers Cast 2 mériterait une petite coupe d’entretien, ça commence à gratter sérieusement.

Pendant que « Mon cœur ♥ » habille les initiées, HP part comme d’hab équiper le puits artificiel, Éric et Micca se chargent du parcours classique par la vire de la Chèvre. Équipements facilités car « Mon cœur ♥ » avait tout préparé en laissant telles quelles les cordes de la dernière initiation. JC quand à lui se charge d’installer une voie à l’entrée de la cavité Que vous Savez, c’est son nouveau nom. C’est comme ça maintenant, pour avoir l’impression de faire de la première on change le nom des cavités.

Les initiées s’initient donc sur cette voie d’initiation qui présente en modèle réduit et condensé un équipement classique. Main courante, puits, fractionnement et déviation. Descente, montée, c’est fait.

Direction maintenant le vrai trou, « Mon cœur ♥ » mène la troupe. Circuit classique : puits d’entrée, Puits de la Chèvre, Salle de la Chèvre, Balcon de la Chèvre, Vire de la Chèvre, re-Salle de la Chèvre, raccourci de la Chèvre. Des « Mon cœur ♥ » résonnent dans la cavité tout le long du parcours.

Fait notable dans cette cavité habituellement non fréquentée par les chauves-souris, un petit rhino est venu s’accrocher au croisement des failles, peut-être en éclaireur pour en faire une éventuelle résidence d’hibernation. Á croire que si des humains y viennent, c’est que c’est ça doit également être bien pour les chauves-souris !

Sortie traditionnelle par le puits artificiel, les initiées sont ravies, les topi aussi.

Pique-nique froid sur l’esplanade « Dumè ». Pas de feu compte tenu de la sècheresse toujours en cours et du petit vent agréablement rafraichissant qui s’est levé.

Fin de cette initiation « Mon cœur ♥ » et retour au local pour ranger le matos.

Anne Honimus

Samedi 22 au dimanche 23 octobre 2022 – Buga di a Cutina, Ghiso 4 – Ghisoni

Spéléo, rééquipement et désobstruction

Buga di a Cutina, Ghiso 4 – Ghisoni

Participants

  • ITP : Antoine B. (1), Albert D. (2), Dominique D. (1), Jean-Noël D. (2), Éric G. (1), Jean-Claude L. (1)

(1) : samedi, dimanche

(2) : dimanche

TPST : 6h00

Photos

Troisième séjour de l’année à Ghisoni, ce sera déjà un bon millésime, avec une éventuelle quatrième montée envisagée. Peu de volontaires malgré l’alléchante perspective d’une cueillette de châtaignes, voire de champignons.

Départ à 7h30 du rond-point N°4, arrêt café au petit bar qui fait angle avec la RN200 à Aléria, visite du magasin de bricolage à côté. On espérait y trouver un T pour raccorder le réchaud et le tripatte, mais ça ne se fait plus, c’est interdit …

Nous voilà maintenant sur la piste, tiens un premier sanguin ! Un tu l’as vaut mieux que deux tu l’auras, partant de cet adage on le ramasse. D’ailleurs, Anto fait une partie de la montée à pieds avec déjà une belle cueillette en arrivant en haut, d’autant plus que 4 beaux rosés des prés nous attendent à côté des premières bergeries. D’autres giroles seront également cueillies aux alentours de la casetta.

Traditionnels va-et-vient entre les véhicules et la casetta, remise en service de l’alimentation en eau, la batterie de l’installation électrique est opérationnelle, nous voilà prêts pour le premier repas avec les premières grillades.

Après s’être rassasiés, Dumè continue l’étanchéification du conduit de la cheminée, Anto, Éric et JC partons pour le trou avec pour principal objectif de changer la corde en fixe du puits des Bosons. La corde neuve est enkitée de façon à pouvoir servir d’un bout à équiper une partie de la descente, l’autre bout de la corde étant accessible pour pouvoir la tirer jusqu’en haut des Bosons depuis le fond du puits d’entrée. La corde sera ainsi coupée à la bonne longueur, sans générer de chute.

C’est Anto qui se charge du rééquipement et nous nous retrouvons ensuite dans l’Alcôve suspendue. JC y retrouve sa clé perdue lors de la précédente visite, elle était à moitié engluée dans la boue du mini lac des Bosons. Anto et Éric tentent l’escalade au-dessus de l’alcôve mais blocage au même point.

Du rabe de corde est laissée au niveau de la main courante intermédiaire afin d’ajouter un fractio face à l’alcôve et supprimer ainsi la gestion délicate d’un frottement et aussi scinder le puits en 2 sections. Ceci pourra faire l’objet d’un prochain perfectionnement à l’équipement.

La corde est coupée en bas du puits, un chalumeau a été descendu pour ça. Elle est également identifiée par un marquage sur un ruban adhésif blanc, «  52 m / 2021 / ITP ». Marquage protégé par de la gaine thermo, comme à la maison !

Deuxième objectif de la visite, mettre en application les acquis du stage photo, dans un puits cette fois-ci. Nous restons ainsi pendus sur corde durant un très long moment avec le risque de faire tomber du matos photo, il faudra ajouter une dragonne à chaque flash. Résultats sur l’album photos.

Retour tardif à casetta où Dumè a préparé l’apéro. JC se charge des champignons et une bonne poêlée de giroles, rosés des prés, sanguins et pieds de mouton sera partagée. Un parpaing de soupe sera également décongelé et servira de plat de consistance.

Il n’est pas loin de une heure du matin lorsque Morphée nous prend dans ses bras.

Réveil à 6h10 pétante, le réveil intestinal du maitre du temps est déréglé ! Il fait encore nuit lorsque nous prenons le petit déjeuner. La météo est très clémente pour une fin de mois d’octobre, il fait plus chaud dehors que dans la casetta.

Dumè et Anto restent à la casetta pour préparer l’installation des stratifiés sur les murs de la mezzanine afin de réduire les courants d’air. Éric et JC montent vers Ghiso 4 pour continuer la désob (dernière séance en novembre 2014 !) et donner au TopiTir son baptême du feu ! Ils y seront rejoints par Albert et JN en fin de matinée.

Le TopiTir décroche ainsi avec brio son CPT (certificat de prédisposition au tir). Cinq tirs de confort sont d’abord effectués afin de pouvoir travailler plus facilement vers le fond. Le sixième pulvérisera littéralement la cloison centrale et les fissures engendrées permettront de doubler le nombre de seaux de déblai sortis. Encore une séance aussi efficace et on pourra peut-être voir s’il y a vraiment une suite.

La faim se fait maintenant trop sentir, nous plions bagages satisfaits du boulot accompli et descendons vers la piste par le flanc sud de la crête calcaire, au cas où …

Albert perd un seau lors de la descente, détail qui aura son importance par la suite …

Retour donc à la casetta pour un repas pantagruélique avec multiples grillades. Un Rustique à la braise clôt ce repas et, c’est nouveau, un petit Muster subira également le même sort en utilisant la boite de son grand cousin. C’est nouveau et c’est adopté !

Procédure de départ entamée, tout ce qui doit être rangé dans la casetta est rangé, tout ce qui doit être chargé dans les 4×4 est chargé.

Mais où est Albert ? JN pense qu’il a commencé la descente à pieds. Pause au col des chasseurs, toujours pas d’Albert, il est peut-être descendu plus vite ? Mais pas d’Albert non plus au départ de la piste, ça se complique. JN attendra un moment avant de voir arriver notre Albert national tranquilou-bilou avec un seau à la main ! Il est monté récupérer le seau perdu le matin sans avertir quiconque  …

Fin encore une fois heureuse d’un week-end ghisonesque.

JCL

Lundi 17 octobre 2022 – Grotte de Brando, Brando

Stage photo

Grotte de Brando, Brando

Participants

  • ITP : Albert D., Jean-Noël D., Henri-Pierre F., Jean-Claude L.
  • Formateurs : Philippe C., Annie G.

TPST : 3h00

Photos

Troisième journée de mise en application des enseignements du stage photo, c’est la grotte de Brando qui en servira de cadre cette fois-ci.

Moins de monde en ce jour de semaine, les travailleurs travaillent, les retraités retraitent. Il est près de 11 heures lorsque nous entrons dans la cavité. Des petits rhinos ont eu la même idée, ils sont 44 accrochés en plafond après les escaliers. Pas vérifié au-delà de la chatière.

Nous attaquons ensuite les premières prises de vues. Choix du site, du thème, ajout successif des différents éclairages avec les réglages qui vont bien. Nous sommes 4 photographes (en herbes), chacun s’y essaie à tour de rôle, d’où de multiples prises de vues. Patience exemplaire du modèle, on voit qu’elle a l’habitude.

Nous jetons l’éponge 3 heures après et nous dirigeons vers la sortie. Nous croisons alors 3 jeunes en quête d’aventures souterraines. Petite discussion avec eux, historique de la cavité et description plus complète, sensibilisation à la protection des cavités et à leur contenu avec notamment les risques liés au réveil des chauves souris en période d’hibernation, infos sur le club et invitation de venir lors d’une prochaine réunion du jeudi pour en apprendre plus sur la spéléo. Leur maman et un frère plus jeune et plus timoré attendent à la sortie, re-discussion …

C’est sur le belvédère que nous prendrons le pique-nique avec une partie des restes de la veille …

Traditionnel débriefing au local et séparation.

JCL

Vendredi 30 septembre 2022 – Traversée Hayau-Bouhadère, Saint-Pé-de-Bigorre (65)

Interclubs spéléo, visite

Traversée Hayau-Bouhadère, Saint-Pé-de-Bigorre (65)

Participants

  • ITP : Jean-Claude L.
  • Leize Mendi : Coraline F.

TPST : 3h00

Photos

Topo

« Ça t’intéresserait de faire un autre trou dans le coin ? »

Une telle proposition de la part de Coraline, honnête de surcroit, ne pouvait être refusée ! Une traversée en plus, à faire en technique canyon, ça change de la routine.

La traversée Hayau-Boulahère fait partie du sentier karstique de Saint-Pé-de-Bigorre réalisé par le CSR Midi-Pyrénées. Gâteau sous la cerise, un livret explicatif avec quelques topos de cavités est téléchargeable ici.

Départ du parking aménagé avec avoir laissé passer une dernière averse, 15 mn de marche plus tard à travers la jolie forêt de Très Crouts et voilà l’entrée. Une belle entrée où on devine qu’il y a un peu de gaz !

Petite main courante et c’est un beau plein pot de 30 m. Comme d’habitude maintenant, je laisse tomber du matos, le 8 de Coraline en l’occurrence. Qu’à cela ne tienne, retour dans l’antiquité pour un demi-cab/nœud de mule. Quelques minutes pour le ressortir des archives et c’est parti pour une belle descente joliment éclairée jusqu’à la base par la lumière du jour. En cour de descente une idée de recyclage des vieux 8, couper un morceau du gros trou et s’en servir de déviation facilement retirable.

Un P12 suit à la base duquel on voit encore l’entrée du gouffre, puis un boyau descendant assez confortable à équiper, il se termine par un beau P15. Une galerie, une petite escalade, un petit rhinolophe et voilà la vire menant au dernier puits, un beau P20 qui aboutit à la Salle Henri IV, à environ 90 mètres de profondeur, relativement bien concrétionnée et agrémentée d’une petite arrivée d’eau.

Le reste du cheminement est un peu plus chaotique avec des vires équipées en fixe, quelques ressauts, une chatière mouillante, un peu de boue (il en faut), une via souterrata remontante qui évite d’équiper le P12 de sortie, et enfin la sortie. Jolie cavité qui peut se faire tranquillement à la demi-journée.

Vingt minutes plus tard nous voilà déjà de retour à la voiture pour la petite bibine traditionnelle.

JCL