Archives de l’auteur : Jean-Noël D.

Vendredi 7 juin 2024 – Trous du Pémol 2 et 3 – Trassanel

Vendredi 7 juin 2024

Spéléo, désobstruction

Trous du Pémol 2 et 3, Trassanel

ITP, Spéléo Corbières Minervois et GPS : Jean-Noël D.

Spéléo Corbières Minervois : Jean-Luc C.

Gruissan Prospection Spéléo : Jean-Marie B., André M.

Gente canine : Bosco

TPSurface et sous terre (– 4 m…) : huit heures et une heure en TPST pour JN

Trou du Pémol, Épisode 9

Comme a dit Jean-Marie, rdv aux « Vendredis du Pémol ! ». Nouvelle séance de désob’ vendredi dernier mais je pédalais dans la Beauce….

Cette fois pour moi ce sera une demi-journée. Arrivée au ruisseau vers midi, la chaleur est là, la montée va être suante. Équipé de coupe-branches et de scie, ma tâche sera de nettoyer le chemin d’accès, beaucoup de branches basses se prenant dans les sacs. Ce n’est pas du maquis à salsepareille mais d’anciennes restanques envahies de chênes verts.

Un peu d’hésitation pour retrouver le départ de la grimpette mais Bosco est là pour me guider. Arrivée au Pémol 1 et la taille commence. Il me faudra bien trois quart d’heure pour accéder à la plateforme de Pémol 2. La famine a saisi mes compagnons et ils ont déjà avalé leurs sandwiches. Heureusement il reste un fond de rouge.

Je retrouve ma place de tireur de gamates. Le boyau d’accès a été élargi, un bloc au plafond un peu menaçant a été bloqué par un étai et le sol bien arasé. Avec deux personnes en front de taille et deux en surface le chantier avance bien.

Le matin Jean-Marie a repris l’entrée sup, Pémol 3. Mais ce n’est pas large. Jean Luc a essayé de passer mais sans succès. La voûte est percée et deux énormes blocs s’en détachent, se coincent et il sera impossible de les déloger. Il faudra faire de la place pour les atteindre et les réduire. La roche est partout fracturée, plusieurs trous simultanés seraient nécessaires et ça risque de faire beaucoup de bruit… On verra plus tard ; en période de chasse ça passera peut être mieux.

En fin de journée Jean Luc remonte tout émoustillé : « Ça y est j’ai vu la suite : un puits d’une quinzaine de mètres, pénétrable. Mais il faut se retourner pour le voir, il est sous le conduit d’accès, les blocs s’effondraient sous moi… »

André va faire une opération d’élargissement. Mais on ne voit rien qui ressemble à un puits. Jean Luc y revient et ressort furibard : « Vous l’avez bouché ! ! ». Et il n’en démordra pas. Est-ce une blague ou a-t-il vu réellement un puits ? C’est possible, l’accès, au sol bouché de terre et de blocs, est plus large que la suite vide que l’on travaille. Le CO parfois peut donner des hallucinations. Combien de maisons hantées étaient chauffées par un poêle qui tirait mal ? Bon, on verra la prochaine fois.

Décrassage à la rivière de Cabrespine, la Clamoux et bière ambrée à Villeneuve pour clôturer la journée.

JMB, JND

Vendredi 24 mai 2024 – Trous du Pémol 2 et 3 – Trassanel (11)

Vendredi 24 mai 2024

Spéléo, désobstruction

Trous du Pémol 2 et 3, Trassanel

Participants :

ITP, Spéléo Corbières Minervois et GPS : Jean-Noël D.

Spéléo Corbières Minervois : Jean-Luc C.

Gruissan Prospection Spéléo : Jean-Marie B., André M.

Gente canine : Bosco

TPSurface et sous terre (– 4 m…) : cinq heures

Jean-Marie est de retour de ses expés en Thaïlande et en Ouzbékistan, on se retrouve au Congrès de Sorèze où pris par des obligations administratives, il n’y a pas eu de place pour moi pour une sortie spéléo – hormis Cibelle au retour.

Donc au programme, de la désob ! Comme d’hab’. Cela me donne l’occasion de colliger des statistiques sur mon activité spéléo dans le Minervois depuis mon installation début 2023. En un an et demi, j’ai du effectuer une trentaine de sorties – moins qu’en Corse mais il y a eu l’installation dans la nouvelle maison, le vélo, la rando…). Sur ce total 70 % ont été consacrés à de la désob ! C’est vraiment dans l’ADN des clubs locaux.

On retourne aux trous du Pémol. Au pluriel car depuis notre dernière sortie en février, André et Jean-Luc y sont retournés et ont décidé d’élargir un trou souffleur situé une trentaine de mètres au-dessus du Pémol 1. Ce sera donc Pémol 2.

Rendez-vous au pont pour 9 heures. Le temps est menaçant ; quelques gouttes de pluie. Elle était prévue en fin d’après-midi, personne n’a pensé à la bâche, on verra. Finalement cela s’éclaircit quand on emprunte le lit du ruisseau. On passe devant Pémol 1, qui sera laissé en attente car le courant d’air est faible, inconstant et la suite pas évidente.

Le chemin d’accès à Pémol 2 est loin d’être évident, 30 m au-dessus mais il faut batailler dans le bartas dans une pente raide où les sacs s’accrochent. Il va falloir démaquiser un peu. L’aire autour du trou n’est pas bien large. Une belle bouche d’entrée de 2×1 m, une désescalade de 2,50 m et la suite est à gauche. Une fracture pas large mais qui souffle bien et laisse deviner du vide. Les séances de « parlementation » un peu bruyantes peuvent débuter. Il y en aura au moins six dans la matinée. On se relaie au fond, forage, gamates, sortie de gros blocs, le chantier avance vite et l’espoir augmente.

Vers 13 heures certains estomacs commencent à se contracter. Une bouteille et demie de Minervois plus tard, ainsi que quelques charcutailles, œufs locaux et fromages, on peut reprendre.

Pour se dégourdir Jean-Marie part en prospection et une dizaine de mètres au-dessus, tombe sur un trou qui souffle au milieu de blocs rocheux. Ce sera Pémol 3. On pense à une éventuelle connexion mais pas de jonction sonore lors des « parlementations ». Avec André, ils se lancent dans l’élargissement de l’entrée qui ne dépasse pas les 10 cm mais derrière c’est noir…

En bas Jean-Luc et Jean-Noël continuent à évacuer les gravats mais cela devient compliqué à deux. Il va falloir faire un élargissement de confort en bas du ressaut d’accès et en milieu de conduit pour faire passer les gamates plus facilement.

On se retrouve à quatre et cela avance vite. Encore une demi-douzaine de « parlementations ». Le boyau fait maintenant quelques mètres, toujours horizontal avec une section de 0.5×0.5 où l’on ne progresse qu’à peine à quatre pattes et on ne peut se retourner mais au fond il y a une suite ! Le départ d’un méandre de 3 m de long et qui semble profond de quelques mètres et parait s’élargir !

La journée est bien avancée, il est 16 heures, Jean-Luc et Jean-Noël doivent prendre le chemin du retour et laissent Jean-Marie et André finir l’aménagement de l’accès au fond du boyau pour le rendre plus confortable.

La prochaine fois il faut amener les baudriers !

Le retour dans le bartas est un peu galère, la matérialisation du chemin d’accès serait nécessaire. Finalement pas de pluie mais un ciel bien noir quand on arrive aux voitures.

JND

Lundi 20 mai 2024 -Grotte Cibelle – Villeneuve-Minervois (11)

Lundi 20 mai 2024

Spéléo, visite

Grotte de Cibelle , Villeneuve-Minervois (11)

Participants :

ITP et Spéléo Corbières Minervois : Jean-Noël D.

Spéléo Corbières Minervois : Christophe BE., Dominique B., Véronique M.

Société Cévenole de Spéléologie et de Préhistoire SCSP : Jean-Pierre B., Guy V.

Spéléo Club de l’Aude : Jean-Pierre P.

TPST : une heure et trente minutes

Profitant du Congrès/AG FFS à Sorèze, les amis de la CoMed ont souhaité visiter Cibelle. La CoMed avait tenu ses Journées annuelles dans la région en novembre 2013 mais Jean-Pierre et Guy ainsi que Dominique (qui n’avait pas intégré la CoMed à l’époque), n’avaient pu participer à la visite organisée par Jean-Marie la veille des Journées. Nous étions des topis Anne-Marie, Albert, Véronique et Jean-Noël (sortie du 8 novembre 2013).

Jean Pierre P. – l’inventeur et gestionnaire de la cavité – contacté par Dominique s’est gentiment proposé pour nous accompagner. Cela était nécessaire car d’une part la cavité est protégée par une double porte bien blindée et JN et Véronique auraient bien été incapables de retrouver l’entrée. Thérèse, la femme de Dominique, nous accompagnera dans cette visite plutôt touristique. Ainsi que Christophe, président du SCM, connaissant bien la cavité mais y retournant pour le plaisir des yeux.

Jean Pierre limite de façon assez drastique les visites de la cavité, quelques visites par an, ainsi que pour les JNSC et lors de demandes de scientifiques.

Une piste partant de Villeneuve-Minervois qui nous amène sur les hauteurs est de la vallée de la Clamoux – presqu’en face, un peu plus au nord, il y a le Gouffre de Cabrespine. Une marche d’approche pentue que nos visiteurs de 2013 ne reconnaissant absolument pas nous amène à l’entrée. Jean-Pierre nous explique alors l’historique de la cavité. Lors d’une partie de chasse il a repéré l’entrée de la cavité le 21 janvier 2007. Un trou fraichement creusé par un blaireau exhalait un violent courant d’air chaud. L’exploration s’est effectuée deux jours plus tard.

Le passage resserré de l’entrée – il faut se baisser sur 50 cm pour entrer… et la descente d’un éboulis équipé d’une main-courante d’une dizaine de mètres de long sont les seules difficultés de cette cavité qui développe plus d’une centaine de mètres de longueur. Là les souvenirs reviennent ! Elle se compose d’une grande galerie régulière et plate de quatre à huit mètres de large et autant de haut. Au bout d’une trentaine de mètres, les parois se couvrent de fines aiguilles d’aragonite qui forment des bouquets de plus en plus gros au fur et à mesure de l’avancement.

Sur la gauche Jean-Pierre a déposé un morceau de tissu sur lequel nous voyons évoluer quelques isopodes qui semblent être des Trichonoscidae oristonicus (ressemblant du moins à ceux observés en Corse) mais nous n’avions aucun moyen de prélèvement. À noter que nous n’avons pas fait d’autres observations dans la cavité.

Nous marchons sur d’anciens gourds recalcifiés où l’on trouve quelques coupelles. Les dépôts noirs, qui semblent être du manganèse, sont très abondants par endroits. Cela aurait coloré de manière spectaculaire l’aragonite massive, aciculaire ou coralloïde en noir. Dominique passionné de géologie envisage d’y revenir pour faire des prélèvements. Cerise sur le gâteau, dans l’alcôve située en fin de parcours, pendent du plafond de nombreuses stalactites couvertes de concrétions dites « en brosse à dents ».

Une galerie féérique et bien préservée.

Une photo de groupe et c’est le retour.

JND

Mercredi 8 mai 2024 – Trou du Cap Maurel – Bize-Minervois (11)

Mercredi 8 mai 2024

Spéléo, désobstruction

Trou du Cap Maurel, Bize-Minervois

Participants :

ITP, SCM et GPS : Jean-Noël D.

Spéléo Corbières Minervois : Thomas C., Michel G., Véronique M., Damien G., Annick et Arnaud S.

Gruissan Prospection Spéléo : André MO.

Gente canine : Bosco

TPSurface et sous terre (– 6 m…) : sept heures

Cap Maurel, Épisode 7

Cap Maurel avait été délaissé depuis le 13 mars dernier mais comme les chantiers ne manquent pas c’est normal… Lors du stage topo rdv est pris pour une séance à Bize. Beau temps un peu venté. Une bonne équipe de sept désobeurs c’est efficace.

La cavité est maintenant protégée par une palette installée par l’adjoint au maire. Le foyer et sa grille sont en place on peut se mettre au taf. En premier gamatter ce qui reste du dernier tir. L’espoir de suite est toujours présent. La fracture se poursuit sur la gauche et « semble » s’élargir. Les « parlementations » aux pailles sont efficaces, graviers et blocs s’accumulent sur le tas.

C’est l’heure des agapes, les victuailles ne manqueront pas – pâté de chevreuil d’André, saucisse, merguez, Rustique°, gâteaux, bières à la cerise et quelques bouteilles.

Retour au fond du trou. On n’est pas trop de cinq pour tirer les gamates. La jeune génération, Arnaud prend les choses en mains et manie avec force et dextérité massette et burin. La relève est là.

Pas un franc élargissement, plutôt très modeste mais une suite apparemment vers le bas et un courant d’air. De quoi y revenir.

JND

Samedi 4 et dimanche 5 mai 2024 – Stage topo – Trassanel (11)

Samedi 4 et dimanche 5 mai 2024

Spéléo, Stage topo du CDS11

Base spéléo, Trassanel (11)

Participants :

ITP et Spéléo Corbières Minervois : Jean-Noël D.

Une quinzaine de membres du CDS 11 issus des clubs locaux : Spéléo Corbières Minervois (SCM), Spéléo Club de l’Aude (SCA), Société Spéléologique du Plantaurel (SSP), Spéléo Club MJC Narbonne, Spéléo Club de la Serre de Roquefort-des-Corbières (SCSRC), Gruissan Prospection Spéléologie (GPS).

TPST : trois heures

TPESalle : douze heures

Bien qu’ayant largement pratiqué la topo depuis les années quatre-vingt-dix avec environ cent cinquante fiches topos de cavités corses j’ai trouvé nécessaire de mettre à jour mes connaissances d’autant plus que le stage prévoyait l’utilisation des nouveaux appareil de mesure le DistoX et la possibilité de recueillir les données sur smartphone.

Samedi matin neuf heures c’est parti, trois encadrants – Étienne, Stoche et Félix – pour une quinzaine de membres regroupés dans la grande salle de la base spéléo de Trassanel. Projecteur et très grand écran TV, les conditions sont idéales.

Présentation théorique, puis installation de Topodroid (application Android qui permet de calibrer le DistoX, et de récupérer les visées directement). Et appairage des DistoX aux téléphones. Rapide vérification des Disto présents : un seul de bien calibré (tous les autres ont au moins 10° d’erreur quand on les tourne [écran vers le haut, droite, bas,gauche et incliné à 45° – trois mesures dans chaque direction, cela prend un certain temps !], certains allant jusqu’à 40° d’erreur ! Test du matériel perso, afin de voir ce qui perturbe le champ magnétique, et à quelle distance, pour ma part ce fut le maillon rapide acier de ma pédale mais souvent il s’agit des lampes, des montres ou des téléphones…

Repas froid à la base préparé par Papy.

Le samedi après-midi est dédié à la calibration sous terre des Distos, puis à une petite séance topo. Félix et Étienne emmènent une bonne partie du groupe à Trassanel 2, pendant que Christophe nous emmène aux Cazals, cavité horizontale visitée en octobre 2023. Sur le terrain on s’aperçoit que la calibration du DistoX est très chronophage et nécessite un certain espace dans la cavité. Nous sommes quatre élèves et constituons deux groupes. La prise de mesures est un peu différente de nos habitudes corses, les points de stations sont en général pris en paroi sauf si impossibilité ou si présence d’éléments remarquables. Je manie le DistoX et Pierre note sur papier. On envisage parallèlement de transférer sur Topodroid mais c’est un échec. On apprendra ensuite qu’il faut prendre trois mesures de chaque point et qu’elles ne différent que de moins un degré… À faire avant le spuntinu et les bouteilles ! Finalement on arrivera au bout de la cavité, environ 200 m et en plus avec une boucle.

Retour en salle en fin d’après midi, export des données depuis Topodroid, et rapide présentation de ce qu’on peut en faire.

Puis un excellent diner préparé par Papy et retour à Canet à 40 km.

Dimanche matin, programme « à la carte » le matin : certains vont mettre au propres leurs données (surtout ceux ayant travaillé sur papier, c’est notre cas), pendant que d’autres font la vérification des calibrations, puis, selon les envies, soit une calibration en extérieur, soit un bout de topo en extérieur.

On en profite aussi pour améliorer la technique de calibration pour gagner en précision. Marquer les points qui serviront à la calibration.

La méthodologie, au cas où :

  • Créer une nouvelle calibration sur Topodroid, puis passer le Disto en mode calibration.
  • Faire les 16 visées horizontales : 2 directions perpendiculaires, avec à chaque fois aller puis retour, et dans chaque sens 4 visées. À noter que ces visées sont les plus importantes et il faut les soigner particulièrement. Ne pas hésiter à utiliser le timer.
  • Télécharger les 16 premières visées depuis Topodroïd.
  • Grouper les données (bouton 123).
  • Calculer la calibration (bouton roue dentée), même si on n’a pas fini la calibration. Vérifier s’il n’y a pas de lignes en rouge (données « aberrantes ») dans les données (sinon, il faut supprimer la série de 4 ou 8 et la refaire).
  • Faire les 8 visées verticales.
  • Télécharger les nouvelles visées, grouper, calculer la calibration. Si besoin, supprimer les données surlignées en rouge et reprendre la série.
  • Faire les 32 visées restantes (les 4 diagonales du cube, chacune dans les deux sens). Le plus simple est de refaire le téléchargement, grouper et calculer la calibration après chaque série de 8, de manière à pouvoir rapidement supprimer et refaire la série (ou la fin de celle-ci).
  • Grouper et calculer la calibration avec toutes les données. regarder l’erreur BH : une bonne calibration donne une valeur <0.5.
  • Si la calibration n’a pas la qualité souhaitée, alors regarder les erreurs associées à chaque visée (colonne de droite), et refaire les séries avec le plus d’erreur.
  • Une fois les résultats satisfaisants, on charge la calibration dans le Disto, et on le sort du mode calibration.
  • Vérifier la calibration (comme pour tout début de séance) : a minima dans une direction, viser 4 fois (avec les 4 orientations de l’écran), et vérifier que l’azimut est le même à une erreur acceptable près. Idéalement, faire au moins une visée dans le sens opposé (entre les même points), et répéter sur un axe le plus différent possible (azimut environ perpendiculaire, et avec un peu de pente).

C’est, comme dit précédemment, très chronophage mais une fois réalisé la calibration est valable un certain temps… À vérifier cependant avant chaque topo. L’avantage de ce type de matériel est de grouper les trois paramètres de mesure (distance, azimut et pente) et de pouvoir dessiner en direct la topo (galeries et décor souterrain) sur le téléphone. Mais il faut avoir un Disto et installer une carte spécifique.

Encore un bon repas froid préparé par Papy, puis introduction au dessin en salle. Christophe nous présente Illustrator, que j’utilise régulièrement mais j’ai appris quelques petits trucs qui m’avaient échappé. Très profitable.

Fin du stage et rangement en fin d’après midi.

JND