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Dimanche 16 avril 2023 – Aven des 34, Porcili 5 – Patrimonio

Dimanche 16 avril 2023
Spéléo, visite, première
Aven des 34, Porcili 5 – Patrimonio

Participants
ITP : Michèle C., Wanda C., Eric G., Jean-Claude L. M., Noël R., Marie Pierre R.
Individuel : Jean-Yves C.

TPST : 3h00 + 2h00
Photos

Une montre, un gobelet, un zoom 18-42, une cigarette électronique, quelque fois le chemin, beaucoup d’objets ont été perdus sur cette sortie, certains retrouvés mais pas tous mais c’est surtout par ce qu’on y a découvert que cette sortie fut mémorable. En fait la sortie elle-même a failli se perdre. C’est au détour d’une innocente question de Wanda vendredi : « pas de sortie ce week-end ? » que le club, aidé par JC, a retrouvé son allant d’antan. Notre stakhanoviste cycliste avait repéré son coup la semaine précédente, il suffisait de se bouger.

La saison, encore douce, permet des rendez-vous tardifs, 8h30 au club pour un départ rando vers 11h30, en été cela n’aurait pas pardonné.
La marche d’approche débute sur la piste d’une ancienne exploitation maraichère vaincue sans doute par la rareté de l’eau, on aura l’occasion de le vérifier.
Il ne m’est pas coutumier d’apprécier les chasseurs mais ce sont sans doute eux qui ont débroussaillé le sentier, pour dieu sait quel sombre dessein. Il faut reconnaitre que l’épopée maquisarde annoncée par JC n’a débuté qu’après l’épaulement final à quelques dizaines de mètres (verticaux) du but, qui furent quand même épiques et piquants.

Première perte : Eric manque de piétiner une montre connectée, JC n’a pas remarqué le gain de poids dans la montée. C’est à peu prés à ce moment que les chemins de chacun divergent, chacun ayant son idée du chemin, seuls les sangliers débroussaillent par ici.

11h40 c’est l’aven des 34 qui se révèle le premier, JC et Nono équipent, Jean-Yves commente, Eric prépare le matériel photo : on doit quand même rentabiliser la formation. Deuxième perte , mais il ne le sait pas encore, c’est à l’occasion du choix d’un grand angle que disparait sans doute le zoom.

L’explo débute par une petite antichambre où la lumière et les commentaires de JY diffusent, le terrain est composé de blocs empilés, puis c’est le seul puits de la cavité, un P13 aux amarrages naturels. JC s’y colle, Nono second assure le transfert du protège-corde, faute de pouvoir poser une dev propre. Nous sommes au milieu d’une grande fracture, au bas du puits on part sur un long plan incliné qui glisse sous les pas. Les parois sont effectivement d’un bel ocre-rouge, pas de concrétion. Le sol est lui d’un gris-vert qui contraste. Eric qui pense que la couleur n’est qu’une pellicule de dégradation, recouvrant la pierre, tente de casser un des gros blocs est vite réfréné par Marie Pierre, que les veines blanches dans la serpentinite inquiètent. Le plan incliné remonte ensuite par une série de blocs coincés qui donnent l’occasion de quelques contorsions suivant que l’on passe dessus ou dessous. En fin de cavité Wanda toujours à la recherche de faune cavernicole découvre dans un minuscule écoulement un microscopique point blanc mobile, un arachnide. Elle est la seule à voir ses pattes. A la remonté, tentative de photos au flash, hélas les quelques tentatives auront raison des piles des appareils, toutefois la perte de patience des modèles était proche. Remontées sous le puits on repart rapidement vers l’autre branche de la fracture qui nous mène à un amoncellement d’os. La grosse question de la rando restera mais que sont-elles aller faire ici. on trouve quand même une stalactite (5 cm), dont la blancheur contraste.

Au sortir de la cavité, Jean-Yves qui a n’a pas trainé dans la grotte revient annoncer la découverte d’une autre entrée qui ne semble pas être une de celles connues, malgré la faim qui commence à tenailler, il est 16 h, direction l’inconnu. 

C’est effectivement une nouvelle cavité, pour le nom rien d’original ce sera Porcili 5. Un ilot de pierres émergeant de la végétation touffue, plusieurs entrées donnent sur ce qui pourrait presque être un abri néolithique, au fond de celle-ci un espace entre blocs donne accès à un nouveau réseau, Michèle qui a déjà exploré elle aussi nous indique qu’un autre accès ouvre sur un grand vide.

L’exaltation des premières gagne le groupe, on s’assure plus ou moins sur des AN, qui restent ce qu’ils sont et l’on descend une série de ressauts entre plans inclinés plus ou moins stables. Le groupe descendra sur une trentaine de mètres, c’est ce que l’on m’a raconté car vaincu par une fringale et une pile moribonde je rejoins l’équipe qui n’a pas poursuivi. Une heure plus tard l’équipe remonte avec le visage des grandes premières, c’est un nouveau trou…

On profitera de la descente pour retrouver Porcili 1 ou JC nostalgique s’assoit là où il fut il y a quelques années. Nostalgie, car ce qui était dans ses souvenirs un belle entrée verticale semble être maintenant comblée.

Arrivée aux voitures, il est un peu tard pour les grillades 19 h mais pas pour un casse-croute et un vin d’honneur de la découverte. Retour assez tardif au club. Il faut y retourner, pas pour le zoom, une seconde visite express mercredi ne permettra pas de le retrouver mais il Y a des topos à faire.

Eric G. 

Dimanche 12 février 2023 – Mines de Capanule – Biguglia

Dimanche 12 février 2023
Spéléo, exploration
Mines de Capanule – Biguglia

Participants
ITP : Michèle Cl., Wanda C., Albert D., Jean-Claude D. B., Michaël D., Henri-Pierre F., Jean-Claude L., M., Rémi R., Franck Z.
Individuel : Jean-Yves C.
Double casquette ITP et GRIMP : Alain T.
GRIMP : Yvan C.
Invitée : Michèle Cs.

TPST : 3h00

Photos

La dernière visite de ces mines de magnésite (1) remonte au Dimanche 14 octobre 2018, elle nous avait laissé un gout de reviens-y du fait de la présence de 2 puits qui n’avaient pu être explorés par manque de matériel. Cette fois-ci, l’objectif principal étant la descente de ces puits nous prenons le matériel en conséquence.

Après un petit café à Casatorra nous garons les véhicules le long de la D62. Le maquis est épineux mais la trace laissée par Michèle peu de temps avant est encore visible.
On démarre par le puits interne de la 1ère galerie. De grosses tiges métalliques plantées en paroi et ayant probablement servi de consoles permettent d’amarrer la corde sur 4 points. Deux côté gauche et deux côté droit avec un nœud intermédiaire d’où partira la corde de descente. Une ancienne banderole posée à terre servira de protège corde.
Purgeage de quelques gros blocs instables puis descente sur environ 6 mètres. Une galerie de 3 mètres d’un côté, une autre de 4 mètres à l’opposé et c’est la fin. Une lampe made in china traine à terre ainsi qu’un morceau de corde et divers débris. Chacun descend à tour de rôle, un petit rhino en plafond finit par se réveiller et s’envoler.

Retour dans le maquis et direction le 2ème puits d’une belle section carrée de 4 x 4 mètres. Il est à l’air libre et il est plus impressionnant. Amarrage sur un arbre, déviation sur maquis, banderole-protège-corde au sol et atterrissage au bout d’environ 7 mètres sur la margelle d’une lucarne intermédiaire, le puits queutant 3 mètres plus bas.
Une galerie d’une trentaine de mètres, 1,5 mètres de large par 2 mètres de hauteur, aboutit après un plan incliné à une première bifurcation. A droite la galerie se poursuit sur une quarantaine de mètres avec 1 grand rhino à son entrée et 2 petits plus loin. Des débris de végétation accrochés au plafond témoignent d’ennoiements complets intermittents. Retour en arrière, la galerie continue jusqu’à une nouvelle bifurcation 30 mètres et 2 petits rhinos plus loin. Elle se poursuit à gauche sur une quarantaine de mètres avec un plafond qui impose parfois de se pencher. En face un plan incliné avec 2 ressauts permet de rejoindre la surface et à droite un laminoir d’une quarantaine de mètres où il faut parfois s’aplatir sérieusement. Cette galerie était probablement aussi haute que les précédentes mais un effet fontis l’a probablement comblé en partie, pas très rassurant. Ou alors comme le pense HP, la galerie a été comblée par les alluvions apportés lors des mises en charge du réseau. Pourquoi cette galerie et pas les autres ? Il y a peut-être une continuité qui permet à l’eau de se vider par là ? En tout cas, une paire de lunettes et une lampe ont été égarées par Michelle et JY qui sont descendus précédemment par le plan incliné.
Retour en surface, qui par le puits de 10 mètres, qui par le plan incliné rejoignant la surface.
Visite d’une dernière galerie d’une trentaine de mètres sur le versant opposé de la colline et retour aux véhicules. Ceux-ci sont chargés des 300 kg de roches extraites des mines :-). On y retrouve Albert et Michèle Cs.

Après une présentation du matériel Grimp, bien rangé dans un beau DEF aménagé, nous nous installons pour le pique-nique dans une carrière à proximité. Du traditionnel, avec grillades et bouteilles diverses.
Visite d’un bunker en guise de balade digestive et retour de bonne heure à Casatorra.

JCL


(1) Extrait de Mines et mineurs de Corse – Alain Gauthier – éditions Albiana :
« Le seul indice connu de magnésite ou giobertite est situé dans le petit massif ophiolitique de Biguglia.
Quelques travaux de recherche en tranchées et en galeries furent entrepris de 1925 à 1927, puis entre 1938 et 1942. La production peut être estimée à 800 t.
La giobertite se rencontre en filons plus ou moins continus, d’épaisseur variable, dans des zones particulièrement fracturées d’une serpentinite très altérée.
Les gites de Biguglia ont peu d’intérêt à cause de l’hétérogénéité des filons, leur allure lenticulaire, et une minéralisation assez irrégulière ». (Extrait de ressources du sous-sol des départements de Haute-Corse et de Corse-du-Sud. Rapport BRGM, 1977).

 

Samedi 4 février 2023 – Grotte de Carpinetto, Lano – Mesures hydrogéologiques et contrôle chiro

Samedi 4 février 2023
Grotte de Carpinetto, Lano
Spéléo, mesures hydrogéologiques et contrôle chiro

Participants
ITP : Antoine B., Michèle CL., Jean-Claude D. B., Jean-Noël D., Jean-Claude L. M., Alix S., Franck Z.
Initié : Enzo Z.
Individuel : Jean-Yves C.
Invités : François D., Marie G.

TPST : 3h00
Photos

En attendant le compte-rendu, belle et intense journée à Lano. Nous avons suivi le parcours de l’eau depuis la cascade-perte de Cuppa jusqu’à la résurgence de Grotta, en passant bien sûr par ses différentes apparitions dans la grotte de Carpinetto (Rivière principale, Salle Rombo, Rivière de la Chèvre), le tout ponctué par des mesures de température et de conductivité.

Dimanche 29 janvier 2023 – Cast 3 – Oletta

Dimanche 29 janvier 2023
Cast 3, Oletta
Spéléo, visite classique, initiation, chiro

TPST : 3 heures
Photos

Participants
ITP : Michèle C., Albert D., Jean Claude D., Alix D., Jean Noël D., Michaël D., Henri-Pierre F., Marie-Pierre R., Franck Z.
Individuel : Jean-Yves C.

Bien que cette sortie est été  proposée tardivement, une dizaine de spéléos ont répondu présents.  Nous pénétrons dans la cavité aux alentours de 10h30. J’équipe le P16, un AF + AN  sont déjà en place, il ne manque que les mousquetons suivis de deux broches et deux déviations (les sangles sont installées). Pour information les autres ressauts, vires et escalades sont équipés en fixe et n’ont pas souffert depuis la dernière visite et remplacement des cordes.  Jean-Yves et Michèle passent par la salle jumelle et la mezzanine tandis que le reste du groupe passe par le P16. Nous constatons la présence d’un petit rhino en bas du P16. Je n’en verrai que 3 autres dans toute la cavité. Avec Micca et Alix,  descendons le R3 afin de visiter la salle des fouilles puis rejoignons JY et PHP à hauteur de la salle concrétionnée, Alix est enthousiaste.  Quatre euryales hibernent paisiblement. Nous sommes rejoints par le « couple » Albert, Marie-Pierre qui animent la quiétude des lieux…

Notre visite se poursuit par la vire à la fin de laquelle nous regagnons PHP  et JCD. Ces derniers, en perditions, cherchent leur chemin.  Un coup d’œil à la topo, l’étroiture est retrouvée. Nous  visitons quelques galeries annexes lors de la remontée vers la mezzanine, la salle jumelle. Jean-Noël nous attend. Nous atteignons la sortie aux alentours de 13h30.

Arrivées à l’air de « pique-nique » de Cast1 , le feu est déjà allumé. Cette fois-ci c’est JCD le maitre de la cuisson. Les agapes sont dans la tradition des topi et  après quelques verres, JY et MPR égayent le repas. Nous quitterons les lieux vers 15h30.

Franck Z.

Dimanche 15 janvier 2023 – Grotte d’Olmeta di Tuda, Grotte du Calvaire – Oletta

Dimanche 15 janvier 2023
Spéléologie, prospection
Grotte d’Olmeta di Tuda – Grotte du Calvaire, Oletta

Participants
ITP : Michèle C., Wanda C., Michaël D., Henri Pierre F., Jean-Claude L.M., Marie Pierre R.

TPST : 1h00
Photos

Lors de la visite de la Grotte du Calvaire le 22 Janvier 2022, un promeneur avait indiqué la présence d’une autre grotte au voisinage mais non située. Jean-Yves se souvenait y être allé avec Gilles F, un compère GCCéen, de nombreuses années auparavant mais pas de son emplacement. Micca avait téléphoné à Gilles qui lui avait indiqué les coordonnées dans une falaise à l’OSO du Monte di Tuda.

La grotte était citée dans 3 articles d’Histoire Naturelle *1. Elle aurait été découverte en 1988. Son comblement sédimentaire épais de 2 mètres avait été étudié de 1988 à1992 et on avait pu retracer les activités agro-pastorales du Nebbio sur 2500 ans ainsi que l’évolution des micrommamiféres rongeurs (mulot, musaraigne, rat noir) et chiroptères grâce aux milliers d’ossements contenues dans des pelotes de réjections et des déjections de chouette-effraie (tyto Alba) et à des analyses polliniques et sédimentaires. Aucun témoin d’occupation humaine n’avait été retrouvé.

La localisation vague « falaise en bordure du vallon de Vitti » et une topographie rudimentaire de la grotte se trouvait dans ces articles. La salle du fond avait été désobstruée par un spéléologue spécialiste de ce type d’opération.

La prospection des alentours n’avait pas retrouvé d’autres cavités karstiques.

Gilles F. avait participé aux fouilles et avait établit la liste des oiseaux nicheurs dans le Vallon de Vitti.

Lors de l’étude, le pied de la falaise était accessible par une piste carrossable en 4×4 mais l’accès, à partir de la route du lac de Padule, en est maintenant fermé. On part donc du lieu-dit Pietralbuccio pour couper à travers le maquis sur 300 mètres et rejoindre la piste.

Après avoir erré un peu dans le maquis et suivi un sentier incertain, on aboutit à une porte en bois dans une clôture qui donne sur la piste, que l’on remonte sur 500 mètres. La grotte est bien visible du chemin. Elle s’inscrit en ocre dans la falaise calcaire à son extrémité ouest. On rejoint le pied de falaise en suivant des marques rouges, surement apposées par des grimpeurs ; une voie d’escalade sera retrouvée sur la paroi voisine de la grotte avec des plaquettes.

Une partie du toit du porche de la grotte s’est éboulée en contrebas et les fractures importantes de certaines parties de la falaise laissent augurer d’éboulements à venir.

Au niveau du porche se trouvent un poteau en bois témoin d’une fermeture de l’entrée, 1 poteau métallique scellé dans un rocher, un autre coincé entre 2 blocs peut être par effondrement récent de la voute, des planches en bois vermoulues, une palette. Tout cela n’est pas très écolo. Manifestement le site n’a pas été réhabilité après les recherches. Une petite escalade de 2 mètres ; on retrouve la zone de fouille. Le sol est jonché de pelotes de réjections et de déjections fraiches. Puis on pénètre dans une deuxième petite salle avec des conduites débouchant du plafond. Probablement un déversoir du massif calcaire. Un petit rhino y dort à côté d’une toile d’araignée sans se douter probablement qu’il est lui-même dans l’antre d’une chouette. Pas d’insecte visible.

Au-dessus de la grotte se trouve une fracture qui n’aboutit à rien mais d’où s’échappe une chouette blanche dérangée par Jean-Claude.  A quelques mètres vers l’est un autre abri sous roche contient un foyer récemment utilisé. JC et Micca font la topo de la grotte. On hésite à chercher un passage pour rejoindre le sommet de la falaise et redescendre par le chemin partant de Pietralbuccio vers la croix du Monte di Tuda dont on avait vu un panneau indicateur à l’endroit où l’on avait garé les 4×4. On décide finalement de reprendre le même chemin qu’à l’aller. On reviendra ultérieurement pour une prospection plus complète. Le retour se fait en 30 minutes avec la trace du GPS. Dans le maquis il suffit de suivre un tuyau d’alimentation en eau qui aboutit dans le jardin d’une maison en construction.

Direction le lac de Padule au bord duquel on fait griller quelques chipolatas et l’on tire les rois.

Deuxième objectif de la journée : la grotte du Calvaire. Visitée récemment, Micca et JC voudrait en désober le fond, obstrué par 2 gros blocs, derrière lesquels on aperçoit quelques mètres de galerie. Micca a fabriqué à cet effet un désobeur à main comportant 2 griffes genre arme moyenâgeuse. Un bloc est enlevé mais le second résiste. Pendant ce temps, Wanda et HP repèrent quelques rares insectes cavernicoles (méta bourneti, cloportes, dolichopodes) et 2 petits rhinos. La cavité est bien sèche pour un mois de Janvier.

Il est 16 heures, les jours s’allongent ; on en profite pour descendre au couvent Saint François d’Oletta. Daté du 13e siècle, il a été le siège d’une imprimerie nationale, la stampiera della verita, créée par Pascal Paoli et de la « conspiration d’Oletta » contre les troupes françaises en 1769, déjouée sur dénonciations et dont une plaque apposée sur l’église rappelle le martyr des 5 hommes pendus à cette occasion. Le couvent est maintenant la propriété d’une artiste peintre/actrice Candida Romero qui a créé un parfum « l’eau de Couvent » (cf site Instagram) et y organise des manifestations culturelles. Un marché fermier se tient 2 fois par semaine l’été sur le parking devant le couvent. On longe la discothèque de la Conca d’Oro et on atteint l’aqueduc qui alimente le couvent et la fontaine de Mersolaccia (Merlu ?).

Reste donc à prospecter le Monte di Tuda, les environs de la falaise, la carrière dans laquelle un départ est connu et non exploré. 

PHP

*1 :
https://journals.openedition.org/adlfi/23022
https://journals.openedition.org/adlfi/18893
https://hal.science/hal-03036092/document