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Dimanche 17 mars 2024 – Grottes San Michele-Oubliée-Steph, Sisco

Dimanche 17 mars 2024
Spéléo, visites
Grottes San Michele-Oubliée-Steph, Sisco

Participants
ITP : Christophe C., Wanda C., Adriana D., Antonio E. G., Henri-Pierre F., Jean-Claude L. M., Laureen N., Benoit R., Vanessa S., Franck Z.
Initié : Louis-Mathis S.

TPST : 2h00

Il est des cavités que l’on peut visiter en tenue du dimanche comme Brando, d’autres avec de grands volumes comme Cast 2, des vertigineuses avec de grands puits comme Ghisoni, et puis il y a les délaissées, les petites, les ignorées, celles dont l’accès est parfois épique et piquant, celles où il faut être un peu maso ou spéléo pour daigner leur rendre honneur. C’est donc une sortie « grottes oubliées » qui est improvisée pour ce beau dimanche de mars, et c’est avec un panier de 5 cavités que nous nous dirigeons vers le Cap.

Première étape, la grotte San Michele. C’est une cavité sépulcrale, joliment concrétionnée, qui a abrité une sépulture collective secondaire attribuable au Chalcolithique ou au Bronze ancien.
Compléments d’infos :
https://journals.openedition.org/adlfi/23349
https://journals.openedition.org/adlfi/23037

Le mur de ronce de la dernière visite s’est éboulé, l’accès ne pose aucun problème, d’autant plus qu’Alain et Léo y sont passés la veille.
Antonio entame l’escalade du ressaut d’accès à la cavité de face, JC préfère la voie gauche. Une corde d’assurance est installée sur le houx dont le tronc principal est maintenant sec. Tout le monde se retrouve en haut, qui en libre, qui par la corde. La visite est rapide, y compris celle du réseau supérieur. Examen de la zone de fouilles, photo de groupe et c’est la descente. Là encore qui en libre, qui par la corde.

Deuxième étape, la grotte Oubliée. Pourquoi « oubliée » ? Tout simplement parce qu’on avait oublié d’en faire la topo et qu’on n’avait pas beaucoup d’idée pour lui donner un nom 🙂

HP avait tenté d’y accéder quelques semaines auparavant mais n’avait pu y descendre. Une bonne surprise nous attend cette fois-ci, un passage a été découpé dans les salsepareilles, presque un tunnel de verdure. Une corde, non indispensable, est installée pour descendre un petit ressaut puis on remonte la petite anse par une vire naturelle, le porche s’ouvrant en haut d’un éboulis joliment décoré par les giroflées en fleur.
La visite est rapide là-aussi puisque la cavité se résume à une petite galerie d’entrée, suivie par une chatière en pente, puis une « grande » salle où trône en son milieu l’Esprit des lieux, posé sur son menhir. Encore une galerie dans le prolongement et c’est la fin.
Deux grands rhinos accompagnent l’Esprit, un nid vide est perché dans la galerie d’entrée.
Visite rapide de la 2ème cavité qui s’ouvre en bas de l’éboulis, de la 3ème de l’autre côté de l’anse et une partie du groupe retourne vers route par le sud en explorant une autre fracture.

Troisième étape, la grotte Steph. Pourquoi Steph, là-aussi manque d’inspiration, c’est le diminutif de l’ancienne membre des topi qui l’avait découverte.

Mais c’est d’abord l’estomac qui impose sa priorité, manger !
C’est le même endroit que lors de la dernière visite en 2014 qui est choisi. Le feu est allumé à côté du muret qui longe le parking et les saucisses apportées par Christophe s’y font dorer la pilule.
Après les agapes l’envie de siester est grande, les topi font preuve d’un grand courage pour se lancer dans la recherche de la grotte Steph.

Même si la position de la cavité est à peu près repérée, la descente directe n’est pas très engageante, d’autant plus que le trou dans le muret qui avait servi de 1er amarrage en 2014 n’est pas retrouvé. Il est donc décidé de tenter une approche par le bas en profitant d’un chemin découpé dans le maquis et qui permet de rejoindre le littoral.
On passera sur les tentatives de green-varappe qui ont ponctuées le parcours et la disparition de Loulou dans un trou caché par le maquis, le point positif étant la découverte par Franck et Christophe d’une fracture permettant une traversée après un peu de désob.

Vue d’en-dessous une base de cairn est repérée devant un amas de gros bloc rocheux qui réveillent les neurones de JC et c’est finalement Laureen qui s’en approche en bataillant avec le maquis. Une corde d’assistance est installée depuis un double amarrage constitué de 2 câbles téléphoniques trainant dans le maquis 😯 et tout le monde se retrouve devant l’entrée pas très engageante. C’est en effet une chatière où ça frotte sévère pour certains …

Visite plus ou moins complète, suivant affinité avec les étroitures. Deux petits rhinos occupent les lieux. Découverte d’ossements de chèvre après le 2ème ressaut par Wanda. Au milieu de ces restes une cloche probablement en bronze avec son collier d’attache. On se pose la question du comment la chèvre a bien pu se trainer jusqu’à cet endroit !

Sortie plus ou moins aisée, Christophe la trouvant trop facile se permet de sortir les pieds en avant et sur le dos, pas facile quand ça monte !

Retour au local avec un goût de reviens-y dans le secteur pour rendre visite à l’aven du Sémaphore, à la traversée de Cap Sagro et à la grotte de Standarone …

JCL

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« de 89 »

Mercredi 13 mars 2024 – Trou du Cap Maurel – Bize Minervois

Mercredi 13 mars 2024

Spéléo, désobstruction

Trou du Cap Maurel, Bize-Minervois (11)

ITP et Spéléo Corbières Minervois : Jean-Noël D.

Spéléo Corbières Minervois : Christian A., Jean-Michel E., Michel G., Véronique M.

Gente canine : Bosco

TPSurface et sous terre (– 6 m…) : sept heures

Cap Maurel, Épisode 6

Les désob’ se suivent et se ressemblent. Reconnaissons qu’ils ont de la constance, car l’espoir est faible, une fracture de 10 cm qui souffle par intermittence ! Mais l’accès est facile, les conditions de piquenique super et un potentiel de -100 m.

Nous commençons par vider tous les déblais de la sortie précédente en commençant par les gravettes et les fines, ce qui nous permet d’extraire les lames et les gros blocs sous-jacents. Une fois tout nettoyé, une demi-géode apparait en partie basse, fortement concrétionnée se prolongeant à l’horizontale au pied de la fissure.

Une « parlementation »* est faite avant le repas. Une fois ressorti, la braise étant à point, Jean-Michel cherche le paquet de merguez qu’il avait laissé en hauteur dans un arbuste à l’abri des prédateurs à poils ou à plumes. Horreur, malheur, il a disparu ! ! L’équipe de surface qui en avait la garde n’a rien vu… Mais Bosco est bien trop tranquille pour être honnête, il semble particulièrement repu ! Une recherche circonvolutive de Jean-Noël permet de retrouver l’emballage défoncé… Bref ce sera la demi-disette avec seulement 4 litres de minestrone, de la saucisse sèche, des rillettes, un Rustique à la braise avec mouillettes, biscuits fourrés, chocolat le tout poussé par un cubi de rouge, quelle misère !

Gamattage le reste de l’après-midi, pour finir sur une nouvelle « parlementation » particulièrement foudroyante. Bravant les effluves de CO2, Jean-Michel descend se rendre compte et remonte avec un grand sourire : cela continue et s élargit, 1 m ! On n’y croit pas plus que cela, il est un peu de Tarascon, mais cela motive l’équipe pour l’épisode 7.

*Note : en langage local, une « parlementation » est ce que nous avons appelé par euphémisme les c…..s ou pailles voire c…..u

JM/JND

Samedi 9 mars 2024 – Cast 3, Oletta

Samedi 9 mars 2024
Spéléo, visite
Cast 3, Oletta

Participants
ITP : Catherine B., Wanda C., Adriana D., Antonio E. G., Henri-Pierre F., Éric G., Jean-Claude L. M., Benoit R., Marie Pierre R., Vanessa S., Franck Z.
Initié : Louis-Mathis S.

TPST : 4h30

Les Topi se retrouvent pour vivre encore une aventure devant l’entrée de Cast 3. Une découverte pour certains d’entre nous. Dès la première descente, j’ai voulu tester l’efficacité et les compétences des secours. Mes cheveux s’étaient malencontreusement coincés dans le descendeur, ma tête en hyper-extension donc bloquée. Et là un sauveur est arrivé, muni d’un couteau, de son courage et de sa force. Vous devinez qui ? Notre président… (forte heureusement il n’a pas eu besoin de me couper les cheveux). Nous avons pu continuer notre progression à la découverte de fossiles, d’ossements, de belles salles avec la présence de petits Rhinos accrochés aux parois (évidemment en faisant attention à ne pas les déranger). Une fois sortie de Cast 3, nous avons passé un bon moment de convivialité tous ensemble. Avant le retour, certains d’entre nous sommes partis dans le maquis à la recherche de différentes entrées de cavités Cast 12, 4, 5, 13, 20.

Vanessa


Changement de programme en raison des incertitudes météo, Carpinetto est abandonnée au profit de Cast 3 où il n’y a pratiquement pas de marche d’approche et où la période de tolérance pour les visites spéléo touche à sa fin.

11 topi + 1 initié, 3 tout-terrains avec 11 places dispo, on se serre. Malgré les dernières pluies le gué de l’Aliso est à un niveau facilement franchissable, une vingtaine de cm.

Circuit classique, le P16  (1er équipement spéléo pour Antonio), le P10 remontant, le point haut du réseau, la salle des fouilles avec un rappel du déroulé de ces dernières et bien sûr la recherche de l’os fossilisé du Megaloceros et ceux des Prolagus. Seulement 5 chiros dans la salle concrétionnée, peut-être des Euryales, 2 rhinos( ?) dans le puits d’entrée, 2 petits rhinos et un grand dans la mezzanine, 1 petit rhino à la sortie du shunt.

Retour par les ressauts après un franchissement sans trop de problème du passage un peu technique de la vire de transition.

Un plus cette année avec la visite du shunt dont l’entrée et la sortie sont assez sélectives, seuls Wanda, Éric et JC s’y sont aventurés :-). Gros doute sur la réalité d’un foyer médiéval, il n’y a presque plus de charbon.

Grillades traditionnelles suivies par une petite prospection digestive, avec tournée des popotes de Cast 12, 5, 4, 13, 20. D’autres cueillent les asperges sauvages, des fongi di ferula un peu secs sont également trouvés sous les férules émergeantes.

Les températures relevées dans la salle concrétionnée : mini 12, actuelle 12,5, maxi 15,5
Dans la Mezzanine : mini 15, actuelle 16, maxi 19

JCL

P16
« de 43 »

Vidéo

Samedi 2 mars 2024 – Falconaghja – Corscia

Samedi 02 mars 2024
Canyon du Falconaghja – Corscia

Participants : Antoine B. Antonio E. G.

TPEC : 3h45
Cotation : V4 A2 II (mais aujourd’hui on dira A4)

Par un beau samedi matin d’hiver, en ce 2 mars, après une rapide décision la veille au soir : « Demain, il fait beau … alors c’est canyon!!! ». Rendez-vous pris, ce sera 8h30 au local, pour le choix de notre terrain de jeu de la journée. Une âpre discussion s’installe entre les deux (et seuls) protagonistes.

Les ingrédients nécessaires seront du soleil de l’eau, tout cela proche, très proche… 5 minutes après, l’affaire est entendue, ce sera La Scala et son Falconaghja.

Un passage obligatoire au Carré d’as pour un petit café et le pipi de la peur. On ne sait pas vraiment sur quoi on va tomber… il a bien plu les jours précédents. Et ce canyon reste un chouïa technique quand même.

10h parking : préparation des sacs, des cordes et de nos tenues.

10h20 : le top départ est donné.

11h : pylône, nous voilà, marquant la fin de la montée sur la marche d’approche, lui qui nous semblait si loin … et qui l’est (vraiment). Petite descente à la rivière et l’on s’acc

outre de nos équipements pour la descente, tout en regardant le beau débit du canyon juste là en contre bas.

11h45 : Plouf ! Pas sans une petite appréhension quand même.

Premier rappel C16 et déjà un petit siphon à éviter à l’aide d’une sécu corde tendue, la descente est arrosée et l’on franchi le rideau pour apercevoir le fond de la cascade.

« Waouh!»

Une belle entrée en matière. Tout juste le temps de dire ouf et déjà le rappel suivant C45 et là c’est une queue de cheval en plein milieu qu’il faut traverser pour changer de rive. La rivière fait un angle droit au pied de la cascade.

«Waouh!!»

3 minutes et on arrive à l’entrée de la grotte … trop d’eau … Échappatoire. On

passe par la C20 en paroi, mais là c’est sortie par le bief blanc de mousse et sa petite vasque piège. Dur d’en sortir, mais ça c’est l’été, à sec. Là, il y a plein d’eau et elle nous pousse dehors.

«Waouh!!!»

Il y a de l’eau. S’en suit une petite désescalade et l’on arrive devant la vasque suspendue de la C25. Mise en place d’une autre sécu corde tendue pour la passer. On fait traverser les sacs un par un. Mise en place du rappel les yeux grand ouverts. La réception au pied du tapis d’eau qui dévale le mur vertical de 25 mètres est noyée

«Waouh!!!!»

Arrivés en bas … Trop joli. Pour continuer, on chemine tant bien que mal dans un chaos de blocs et d’eaux vives. Petit rappel de 7 mètres en passage hypogé et on approche de la C70 et de son relai en paroi. Cette fois, on est hors eau mais les embruns nous fouettent le visage. La descente est gérée en double, un de chaque coté longé l’un à l’autre, pour arriver ensemble au relai suspendu et ainsi perdre moins de temps. Avec ce débit d’eau toutes les ma

nipulations de corde sont importantes et chronophages. Les cordes sont rappelées et aussitôt placées pour la suite, la roche est bien humide et glissante.

«Waouh!!!!!»

A l’arrivée, au pied de cette cascade et levant les yeux… 70 mètres de hauteur nous surplombe. A cet instant du canyon, on réalise qu’il est tard et que nos estomacs n’en ont malgré tout pas oublier la sensation de faim, les heures ont défilées sans que l’on s’en aperçoivent. On rejoint alors au plus rapide la voiture, les deux dernières cascades seront pour plus tard.

15 h 30 : la voiture est retrouvée, après un passage par le maquis et

les sentes animales.

«Just Waouh»

Un canyon d’envergure

Ainsi se termine une bien belle journée

avec son petit pique-nique dans un cadre bucolique.

Samedi 2 mars 2024 – Exercice spéléosecours CDS 11 – Cabrespine (11)

Samedi 2 mars 2024

Exercice Spéléo Secours du CDS 11

Gouffre de Cabrespine, Cabrespine (Aude)

Participants

ITP, Spéléo Corbières Minervois, Gruissan Spéléo Project : Jean-Noël D.

CDS 11 : Spéléo Corbières Minervois (SCM), Spéléo Club de l’Aude (SCA), Société Spéléologique du Plantaurel (SSP), Spéléo Club MJC Narbonne, Spéléo Club de la Serre de Roquefort-des-Corbières (SCSRC), Gruissan Prospection Spéléologie (GPS).

SDIS de l’Aude : Guillaume Z., Nicolas, Océane et Julien du GRIMP

TPST : deux heures

Exercice semestriel du SSF du CDS 11, sous l’égide de Nadège CTDSA. Dix-huit secouristes étaient au rendez-vous au Gouffre de Cabrespine (grotte touristique de la Montagne Noire).

Deux objectifs en vue :

  • Apprentissage des manips de base pour les nouveaux, avec mise en place et manipulation d’ateliers pour ceux qui veulent réviser leurs bases.
  • Remonter une civière du fond du gouffre à -200 m jusqu’à l’aplomb de la passerelle à -140 m puis la remonter au niveau de la passerelle installée au-dessus du vide.

N’étant pas disponible le matin, je n’arrive sur place que vers 11 heures. Les arbres au-dessus de l’entrée de la grotte sont remplis de petits bonhommes et bonnes femmes jaunes, vertes, oranges, bleus au milieu de cordes…

L’équipe SSF CDS11 est sur place depuis 9 heures. Le lot secours (cordes, amarrages, connecteurs, bloqueurs, poulies, kits, sangles… et une civière Petzl) a été acheminé par un véhicule du SDIS 11 de la caserne de Sainte-Colombe-sur-l’Hers.et géré par Nicolas, Océane et Julien du GRIMP.

Deux équipes sont en plein boulot en tenant compte des besoins et de la technicité de chacun. Chaque équipe a préparé son matériel en fonction des ateliers qu’elles vont monter (balancier, palan, porteuse…). Les chefs d’équipe prennent en main leur atelier sous la supervision du CTD.

Une première équipe, constituée en grande partie de nouveaux mais aussi accompagnée d’anciens et bons techniciens qui leur transmettent leurs connaissances, s’est installée sur les arbres dans la pente qui se trouve à côté du parking. Ce petit terrain de jeux permet de mettre en place plusieurs ateliers.

La seconde équipe est partie contempler le sommet du gouffre. Ils finissent se mettre en action et démonter la vitre centrale de la passerelle et mettre en place un système de contrepoids testé par le CTD lui-même en tant que fausse victime.

Les différents ateliers permettent de réviser balancier, contre poids, palan, et une porteuse permettant d’effectuer une tyrolienne ainsi que faire du portage de civière. Lors du montage des différents agrès, les différentes équipes ont pu se familiariser avec les termes de commandements permettant d’être précis lors d’une manœuvre ou d’un réel secours.

Un casse-croûte rassemble ensuite les deux équipes.

Début d’après-midi, nous repartons sous terre. L’équipe dans les arbres file au fond du gouffre avec la civière. Autant le matin je me suis contenté de tenir l’appareil photo, là j’enfile baudard et matos et je suis l’équipe. Enfin, suivre pas tout à fait, car beaucoup sont descendus plein vide et j’ai « lâchement » opté pour la descente par les échelles et les escaliers…

L’objectif est de faire partir la civière du fond jusqu’au sommet de la passerelle. Léa – une petite jeune, un poids plume – sera le sacrifice humain pour la fausse victime. Regroupement au-dessus de la rivière et après quelques incantations bénéfiques, l’équipe donne le top départ civière. Des ateliers sont installés en haut des escaliers et quelque fois enchaînés avec des déviations humaines. La civière avance petit à petit en croisant quelques touristes venant visiter le gouffre.

Arrivés en bas de la passerelle c’est parti pour l’ascenseur ascensionnel. Le contre poids est calculé en rapport à la couleur des cheveux de la fausse victime. Guillaume T sera un très bon choix. Une remontée fluide et jolie à voir avec une arrivée au sommet en seulement 3 min.

Conclusion de notre CTDS : La mise en place du balancier confirme une fluidité et une rapidité autant dans sa mise en place que dans son fonctionnement. Reste à améliorer le cheminement bas sans passer par les escaliers. À revoir lors d’un prochain entrainement. Les nouveaux arrivants sont motivés et doivent persévérer pour renforcer les équipes de secours de l’Aude, que ce soient les licenciés FFS ou le GRIMP qui nous apportent leur aide et leur compétence. Lors du prochain exercice, nous accentuerons les révisions sur la communication et le commandement afin d’améliorer ces différents points.

Belle coopération locale entre SSF CDS et SDIS 11.

Nadège M., JND