Archives annuelles : 2025

Samedi 19 avril 2025 – Gouffre de San Nicolao

Samedi 19 avril 2025
Spéléo, équipement, repérage
Gouffre de San Nicolao dit « Tribbiolu », San Nicolao

Participants
ITP : Cathy et Jean-François B., Antoine B., Michaël D., Antonio E. G., Jean-Claude L. M., Laureen N., Benoit R., Jean-Luc S., Franck Z.

TPST : 4h00

Comme à l’habitude, le rendez-vous a été donné au rond-point n°4. Deux voitures sont parties à 8h45 pour récupérer Jean-Luc au rond-point de Vescovato et Micca à Moriani.

Début d’ascension vers 10h. Première surprise pour les habitués, une piste forestière a été réalisée ce qui facilite l’accès à la grotte. Après le passage « pieds nus » de la rivière pour certains, en chaussons ou en chaussures pour d’autres, on atteint l’aire de pique-nique au sommet. 11h30 tout le monde est équipé et prêt à descendre. Une première équipe se glisse dans le trou pendant qu’une seconde prospecte pour trouver un éventuel accès au « puits du tronc d’arbre ». Le report en surface de ce puits se situe au niveau du col avant l’aire de pique-nique, aucun accès trouvé pour l’instant. En attendant son tour Antoine nettoie version Attila toute la végétation autour du trou.

Arrivés en bas du trou, on constate que la cavité est très mouillée et boueuse.

Franck, en tête, installe les cordes et commence le remplacement des cordes fixes dans la galerie Sud-Est. Antonio se faufile dans la chatière située à l’aplomb de la lucarne mais le passage est très glissant. Impossible d’installer la corde au niveau de la lucarne car une vingtaine d’Euryales sont en train de dormir.

L’objectif de la journée était d’utiliser le mat télescopique pour escalader le puits situé au bout de la galerie Sud-Est. Le puits est assez étroit pour pouvoir tester le mât en « sécurité » ! Après une remontée de 6 / 7 mètres, on peut se positionner à la base du puits du tronc d’arbre. Ce dernier est descendu pour ne pas gêner l’ascension. Sa présence ici est un mystère ! Est-il venu par le haut ou par le bas avec des crues. Antonio et Antoine sont situés à la base du puits, le mât est déployé, Jean-Claude débute l’ascension pendant que Micca, pendu sur la corde située dessous, assure la corde utilisée par Jean-Claude. Un schéma du montage serait peut-être nécessaire pour comprendre la situation !!
Alors que l’ascension débute, les autres situés dans la galerie dessous s’imaginent l’action au rythme des commentaires entendus !! Un premier : « le mât est en train de se tordre !!! », laisse douter de la réussite de l’ascension, puis des cris d’Antoine qui reçoit des paquets de terre sur la tête ou de Micca qui reçoit des pierres sur le casque ! Une règle, ne surtout pas regarder vers le haut. Après une ascension courageuse de Jean-Claude d’au moins 5 mètres sur son mât, il constate malheureusement qu’aucun accès n’est visible et que ça queute en haut.

Il est temps de ressortir en ramenant le mât en parti tordu. Pendant que Cathy « joue » avec son Croll » rebelle qui refuse de s’ouvrir au dernier fractio, le reste de l’équipe essaie de redresser le mât. Enfin libérée par Franck, Cathy puis tous les autres s’extraient du trou avec plus ou moins de difficultés. Commentaire de Jean-Claude : « Benoit n’a pas trop râlé à la sortie, probablement grâce aux nouvelles broches qui facilitent grandement l’extraction ». Bien sûr, tout le monde a eu droit à des herbes et de l’eau sur la tête pendant l’ascension !! On entendait Laureen criait « je ne suis pas une chèvre !! »

Au tour de Jean-Luc d’arriver en haut ! Tout va bien jusqu’au torse, les bras sont sortis, la moitié du corps aussi mais plus rien ne bouge !!! Au bout de 10 mn d’effort, Franck réussi à fixer sa longe sur le baudrier de Jean-Luc et à le libérer. Micca et Anto peuvent à leur tour sortir (environ à 16 h).

Suivi du pique-nique bien mérité et retour aux voitures après le franchissement de la rivière ! Chacun sa technique : avec les chaussures, tout habillé ;  à pieds nus les chaussures autour du cou (avec un pantin perdu par Jean-Luc au passage de la rivière) ou avec des chaussons néoprènes pour Micca le plus frileux !

Retour voiture à 19h

JLS


2025-04-25-San-Nicolao AB 01
« de 20 »

Mercredi 16 avril 2025 – Igue de Begood – Venaco

Mercredi 16 avril 2025
Spéléo, entomo, initiation, repérage, désob
Igue de Begood, Venaco

Participants
ITP : Michèle C., Wanda C., Michaël D., Jean-Claude L. M.
Initiés : Santu F., Nathalie S.

TPST : 2h30

Il est des traditions qui se mettre en place subrepticement. Il en est ainsi de celle qui consiste, tous les 15 ans, à tenter de repérer en surface le point haut du puits remontant de l’aven de Razzu Biancu, où avait pu être établie une conversation téléphonique d’ailleurs, signe de la proximité avec la surface !

Une première tentative topographique avait eu lieu le 4 novembre 1995 (https://itopipinnuti.fr/exitp/cr1995.htm#Samedi_4_novembre_1995).
Une autre avec du matériel électronique le 16 janvier 2010 (https://itopipinnuti.fr/exitp/cr2010#Samedi_16_janvier_2010), mais les émetteurs-récepteurs de l’époque, balise chauve-souris et Arva, n’avaient pas permis de localiser avec certitude le point recherché.

Nous sommes en 2025, soit 30 ans après la 1ère tentative et 15 ans après la 2ème, il est donc forcément envisagé un nouvel essai de repérage en surface du point haut de Razzu Biancu, il faut respecter la dernière phrase du compte-rendu de 2010 🙂

Ça tombe bien, il était prévu un retour à Begood où on avait observé des Parabathyscias sur un cadavre de chauve-souris lors de la visite du 16 février dernier, mais qu’on n’avait pas pu prélevé faute de matériel.
Un petit volet initiation s’ajoute pour Santu, un jeune de 12 ans qui vadrouille déjà avec Michèle et sa maman Nathalie du GCC.

C’est ainsi avec plein d’entrain et l’espoir que les prévisions météo soient justes (couvert le matin, pluies l’après-midi) que tout le monde se retrouve à Venaco, y compris Micca qui a cédé à la tentation de Begood.

Le groupe se met rapidement en marche, un petit coucou au passage aux 2 copains équins et voilà le beau massif calcaire de Razzu Biancu.

Accès à la cavité en contournant la vieille bâtisse en ruine.

JC entre, suivi par Santu, suivi par Wanda, suivie par Michèle, suivie par Micca, suivi par … forfait de Nathalie. Elle n’était déjà pas certaine de vouloir faire la cavité, la vue de l’entrée l’a refroidie.

C’est maintenant le 1er passage clé, il faut franchir une chatière au sommet d’un gros bloc rocheux. JC passe, suivi par Santu, suivi par Wanda, suivie par Michèle, suivie par … 2ème forfait, Micca coince au niveau du bassin. Il restera finalement dans la 1ère alcôve et fera du ménage en déplaçant des blocs rocheux gênants.

C’est finalement le trio JC, Santu et Wanda qui arrive jusqu’à l’endroit du festin. Déception, les Parabathyscias vus lors de notre dernière visite et qu’on espérait retrouver sur leur repas chiroptérique se sont fait la malle. Seuls quelques isopodes finissent les restes et les recherches alentours restent infructueuses. Bilan entomo, juste quelques ixodes sont repérés ainsi qu’un petit dolichopode albinos ou immature et des myriapodes.

Le projet de continuer jusqu’à la salle des Griffures est abandonné, il aurait fallu se mouiller sérieusement en rampant dans des gours plein d’eau.

Retour dans la grande salle, visite de la belle galerie supérieure et retour à l’air libre en croisant une chauve-souris dans la chatière suspendue.

La sortie est facilitée par le ménage fait par Micca.

Pique-nique rapide au pied de l’escarpement, quelques gouttes commencent à tomber.
On ira quand même rendre visite à Razzu Biancu et à tenter une nouvelle méthode pour retrouver en surface le fameux point haut de la cavité.
Cette fois-ci c’est par le report en surface de la topo et géoportail qu’un point est repéré. Ça semble marcher puisqu’on est tombé à côté du cairn posé il y a 15 ans, et à quelques mètres de celui posé encore 15 ans avant. Un nouveau cairn est érigé mais pas le temps de chercher un éventuel indice de jonction vu la pluie qui est venue s’amuser avec nous. Elle nous accompagnera d’ailleurs jusqu’aux véhicules que nous rejoignons bien trempés.

Un goûter chez Nathalie permettra de se réchauffer avant un retour à une heure plus que raisonnable en région bastiaise.

Il est envisagé un retour pour poser des pièges dans Begood, agrandir la chatière suspendue, prospecter sérieusement la zone « point haut » de Razzu Biancu et le reste du massif, continuer la désob, etc. etc.

JCL


Rassemblement
« de 38 »

Dimanche 13 Avril 2025 – Journée de formation technique en canyon et T.U.C – Local

Dimanche 13 Avril 2025
Journée de formation interne et T.U.C au local

Participants
I.T.P : Antoine B., Muriel C., Christophe C.,  Adriana D. C., Antonio E.,  Benoit R., Franck Z.,

Nous profitons d’une météo bien humide ce dimanche pour effectuer une journée technique en canyon. Nous nous retrouvons donc vers 09h00 au local.  Mumu et Christophe, s’affèrent sur le nouveau matériel acquis depuis peu. : les nouveaux mousquetons sont gravés, les anciens baudriers canyons remplacés et les fiches E.P.I modifiées…

Quant à nous, le temps d’un café et nous nous mettons en action. Plusieurs techniques sont abordées et mises en œuvre :

– Le coupé de corde  d’en haut, intervention indirect.

– Le coupé de corde, équipier longé, intervention direct.

-Les remontés d’équipier sur corde fixe.

– Auto-secours, utilisation des bloqueurs, machard et nœud de cœur.

– Les débrayages du bas.

– Passage de nœuds.

Même si les thèmes sont sérieux, la bonne humeur est de mise et, bien entendu, la pause méridienne viendra entrecouper cette bonne journée d’exercice.

Franck

 

 

 

 

Mercredi 9 avril 2025 – Grottes de Butrone et Santa Catalina, Sisco

Mercredi 9 avril 2025
Spéléo, entomologie
Grottes de Butrone et Santa Catalina, Sisco

Participants
ITP : Michèle C., Jean-Claude L. M.
Initiés : Franck et Timothée N.

TPST : 2h + 1h

Profitant d’un séjour en Corse pour des vacances familiales, Franck Noël, naturaliste multidisciplinaire spécialisé dans les crustacés isopodes terrestres, a fait jouer ses contacts dans le milieu entomologiste national pour prospecter dans des cavités insulaires. D’abord conseillé par JM Lemaire, sa demande est finalement arrivée à la commission scientifique de la LISC via JND. Nos spécialistes entomologistes n’étant pas là, c’est JCL et Michèle qui se chargeront de l’accompagnement. Effectif réduit en raison de la période sensible pour les chauves-souris.

En gite à Sisco, 2 cavités se prêtaient bien à la demande, Butrone bien sûr, LE spot entomo de la Corse, et San Catalina à proximité également.

Un rendez-vous à 14h30 est fixé à la marine de Sisco, rendez-vous retardé en raison d’un colis suspect provocant un blocage de la route du Cap, c’est la Corse 🙂

C’est finalement vers 15h30 que tout le monde s’entasse dans le Def. L’ancienne piste d’accès n’est pas tentée, on ne connait pas son état et son portail est fermé. Choix d’autant plus facile que celui de la nouvelle est grand ouvert.

Arrivée sans encombre mais les places de parking ont rétréci, signe que le maquis reprend ses aises. C’est également le cas du chemin où il a fallu jouer du sécateur. Une operata s’impose, l’aghja devant l’entrée est à peine visible.

Franck se met rapidement en mode recherche et la récolte ne tarde pas. C’est le réseau fossile qui est d’abord prospecté jusqu’en bas de la salle du Poulain. Les gours sont actifs mais peu de bestiole. Quelques prélèvements quand même, avec peut-être 2 palpigrades accouplés en bas du ressaut terminal.

Les Troglohyphantes se font rare également, les Dolichopodes par contre pullulent !

La visite continue jusqu’à la salle de la Pluie où … il pleut ! Fini la sécheresse qui a sévi dans la cavité depuis 2 ans. L’eau est revenue, par contre aucun Niphargus observé. Les traditionnels petits rhinos ne sont pas regroupés comme souvent dans la galerie d’entrée mais éparpillés un peu partout, une bonne dizaine en tout.

Retour à l’extérieur puis à la marine où Timothée est largué au passage, puis direction Santa Catalina.

Franck se contente des premières dizaines de mètres de la cavité, jugeant le reste trop sec. Nous allons de notre côté jusqu’au bout, mais peu de chauves-souris, un petit rhino accroché en paroi et une poignée qui volent, peut-être pas des petits rhinos.

On ne relatera pas tous les noms scientifiques du tableau de chasse, mais Franck était satisfait de sa récolte.

Nous nous séparons à la nuit tombée et retour sur Bastia.

JCL


Complément d’info de la part de Franck Noël :

Butrone

  • Diploure, cf. : Campodea cyrnea
  • Mollusque : Tacheocampylea raspailii (au niveau de l’entrée)
  • Isopodes : Helleria brevicornis (entrée), Porcellio dilatatus, Oritoniscus ocellatus
  • Diplopodes : Julidae, cf. Ophyiulus 1f
  • Chilopodes : à déterminer
  • Araignées : Troglohyphantes cyrnaeus (+ autres récoltes à det.)
  • Limoniidae : Limonia nubeculosa

Santa Catalina

  • Station de Grillon maritime dans les galets de l’entrée (dizaines)
  • Isopodes : Halophiloscia hirsuta, Halophiloscia sp. (entrée- recherche sans succès d’une espèce d’Halophiloscia à confirmer, trouvée lors du LISC)), Porcellio dilatatus, Porcellionides pruinosus, Chaetophiloscia cellaria
  • Araignées à déterminer

Franck Noël.

Précisions de Jean-Michel Lemaire :

  • Coléoptère : Laemostenus carinatus (Chaudoir, 1859), qui vient de sortir de nymphose car il est encore immature. C’est un troglophile que l’on le trouve aussi en forêt sous les pierres, et dans toutes les grottes en Corse

2025-04-09-Butrone FN 001
« de 29 »

Dimanche 6 Avril 2025 – Canyon Ruda, Corscia

Dimanche 6 Avril 2025
Canyon de la Ruda, Corscia
V3.A3.II
TPEC: 4 heures

Participants :
ITP : Adriana D. C., Antonio E., Antoine B., Benoit R.

Un jeudi au local avec Antonio on se prévoyait un canyon à faire pour le dimanche après l’entrainement secours et l’AG de la LISC le samedi histoire d’avoir notre week-end bien chargé, On avait hésité entre la Bravona à la plaine et la Viula dans le Cap Corse, dans cet hésitation on demandera joker à Antoine si il sera de la partie Dimanche, Franck n’étant pas dispo.

Samedi un peu avant l’entrainement secours on demande à Antoine si il est chaud pour un canyon le lendemain et sans attendre il a dit « oui !! on fait la Ruda !! » pris de court par la surprise on acquiesce sans hésiter surtout après avoir vu les débits d’eau la semaine dernière et le beau temps annoncé Dimanche.

On se fixe donc le top départ du local à 8h30 Dimanche direction Calacuccia. Pour ma part ce canyon sera une première n’ayant pas pu participer aux sorties précédentes avec le club dans ce canyon.

Un arrêt au carré d’as pour se prendre une pause café et achat de sandwich chez le boulanger préféré d’Antonio nous arrivons au pied du départ de la piste d’approche du canyon aux alentours de 10h. On prépare nos affaires et s’en suit d’une marche de 45 min jusqu’au départ du canyon.

Arrivé au niveau de pont, le débit est là !! ça dégueule pas non plus, mais il y a de quoi s’amuser et se prendre de joli rappel arrosé, Evènement rare Antoine ne portera pas de corde, il laissera le soin à Adriana, Antonio et moi-même d’équiper les lignes donc on gère les cordes.

La première partie du canyon n’est pas des plus fun du canyon, de la marche en bloc en somme et de petits toboggans, on constate quelques mouvements d’eau par endroit et c’est dans cette occasion qu’Antoine nous parle des mouvements d’eau et comment s’y prendre, et aujourd’hui on avait presque toutes les situations dans l’ensemble du canyon : Drossage, rappel de courant, marmite, les mouvements était suffisamment léger pour appréhender ces mouvements sans être en danger.

On shunt un passage étroit situé entre le premier saut de 5 mètres et la C13 car on était pas certain de la réception dans la vasque finale. J’équipe la première ligne (la C13) à ras de l’eau compte tenu du débit en réception, un ajustement est quand même effectué après qu’Antoine soit descendu, à la descente se suit donc Antonio, Adriana et moi-même au final.

Nous continuons la progression et nous arrivons dans un bel encaissement surplombé par de grandes falaises juste avant le second saut du canyon (5-6m environ), la descente en rappel par le relai principal en RG de la C7 était un peu trop arrosé, on a pris le relai situé en RD un poil plus au dessus mais avec une cassure à prendre compte pour éviter d’abimer la corde. Adriana équipe la ligne, je descends car pas chaud pour le saut, Antonio et Antoine feront le saut.

Arrivé ensuite vers la C20, au regard du débit on le prendra RG, plutôt que RD, descendre dans l’actif pour le coup reste réservé pour les plus grosses têtes brulées du canyoning. J’équipe la ligne et descend Antonio en débrayable  car n’ayant pas trop la visibilité, Antoine descendra ensuite ainsi qu’Adriana et moi, arrivé en bas, je prend le chemin sur la droite donnant accès à cette grotte où la cascade jaillit par dessus, un vacarme monstre avec pas mal d’embrun, pour le « kiff » de se prendre une douche je vais sous la cascade, froid saisissant et souffle légèrement coupé au vu du débit et j’ai à peine effleuré le 1/4 de la cascade. Ce lieu donnera de belle photo d’ambiance chaotique. Donc pour sortir de cette C20, il y a un amarrage mono-point au dessus du bloc rocheux surplombant sur la moitié fin de la cascade, Antonio l’équipera pour que nous puissions tous descendre.

Dernier rappel à effectuer avant la quasi fin du canyon, une C15 de mémoire, là aussi en mono-point (le deuxième décidemment) que Adriana équipe et nous nous dirigeons donc vers la fin du canyon au niveau du pont avec un dernier saut à effectuer de 6-7 mètres je dirais dans une vasque, un peu laborieux pour moi n’aimant pas les saut, mais au final je l’ai fait. il y avait un petit rappel de courant quand même dans cette vasque d’ailleurs Antonio a eu un peu de mal à revenir en récupérant les sacs jetés par Antoine, je l’ai tiré par le col de sa combi pour l’aider.

Au final nous décidons de ne pas faire le saut du pont. On se fait le check de la victoire et entamons la marche retour. On se change et mangeons notre sandwich avec en vue la Ruda en contrebas. A 17h nous plions bagage et rentrons au local pour ranger le matériel.

C’était une belle journée cassante

Benoit R.

Vidéo à venir 

WhatsApp-Image-2025-04-06-at-21.31.05-1
« de 64 »