Archives annuelles : 2022

Samedi 15 octobre 2022 – Grotte de Carpinetto, Lano

Stage photo

Grotte de Carpinetto, Lano

Participants

  • ITP : Antoine B., Michèle C., Wanda C., Albert D., Amal D., Jean-Noël D., Éric G., Jean-Claude L., Marie Pierre R.
  • Formateurs : Philippe C., Annie G.

TPST : 5h00

Photos

Pour ce premier jour sous terre, nous avions le choix entre nos deux spots de grottes horizontales, Butrone ou Carpinetto. Mais un repérage à l’accès de la première, réalisé par JN trois jours plus tôt, avait conclu à une nécessité de bonne séance de démaquisage pour ouvrir un sentier envahi par les ronces. On abandonnera le projet.

Rdv au local pour 8 heures et regroupement à Ponte Leccia pour le café. Le convoi de 4×4 s’élance enfin vers Lano, le temps est magnifique, il est 10 heures. Portail fermé mais la clé est à sa place, M. Leschi le maire, informé de notre venue en début de semaine, nous l’avait confirmé. Accès sans difficultés au parking sous le soleil. Bien sûr l’Aninco est à sec.

Pressé de montrer nos merveilles souterraines à Philippe et Annie, on s’apprête à rentrer dans la cavité, mais Philippe décide d’organiser le premier atelier photo sur le cliché du porche. Fastoche ! les photos d’extérieur on connaît. On va vite être dépassés par les paramètres à prendre en compte pour une photo réussie c’est-à-dire un extérieur clair et net et une entrée bien éclairée avec son sujet. Rapidement les possesseurs d’APN compacts ou de bridge baisseront les bras. Il faut absolument pouvoir régler les paramètres principaux que sont iso, diaphragme et vitesse. Sont équipés pour, JCL, Éric, Wanda et Albert. Sinon seule Amal sortira de beaux clichés avec son portable, vive l’Intelligence Artificielle (mais elle a des limites comme nous l’expliquera Philippe).

On règle, on change, on adapte et on joue avec la position des flashs – contrejour derrière le sujet (Annie, quelle patience !), latéraux à 30-45° et apprentissage du snoot (flash directionnel placé dans un tube en PVC). Le réglage des flashs est très important, leur inclinaison, leur puissance, l’angle du faisceau… Et quand on change un paramètre il faut adapter tous les autres. Bilan : deux heures pour prendre la photo du porche ! ! On n’est pas arrivé dans la Salle Rhomboédrique

On va vite comprendre que ce ne sera pas une visite complète de la cavité. On entre enfin sous terre pour se regrouper au milieu de la Salle de la Colonne. La concrétion en son centre nous semble être un sujet intéressant. Là il n’y aura pas de modèle, ce sera un cliché descriptif. JN ira vite voir s’il y a des rhinos dans la Salle des Chauve-souris (on en a croisé quelques-uns au niveau de la Vire), mais rien, température 11,5° C, minimum 9° C.

On apprendra à mettre en valeur le sujet sur un fond noir, là-aussi tout est dans les flashs. Ce sera à nouveau une séquence de deux heures. Mais le résultat est assez époustouflant, notre banale colonne grisâtre s’est sacrément embellie.

Il est temps d’emmener nos formateurs vers la Grande Galerie Concrétionnée que l’on estime être le clou de la cavité. Le volume est bien plus grand, les réglages n’étaient pas évidents pour les débutants. Il fallait faire ressortir les concrétions au plafond et en premier rideau, jouer avec les réflexions des parois, avoir un sujet qui se détache sur un fond de galerie noire. Amal servira de modèle.

On n’ira pas plus loin, le Lac Suspendu est à sec ; au retour JN et JCL iront jeter un œil aux Lacs Jumeaux dont les niveaux ont baissé d’au moins 20 cm comme dans le Puits du Chien. Sortie vers 16 heures la faim se fait sentir.

Le parking est encore au soleil, si on faisait une photo de groupe, tiens il manque Albert… Éric part à sa recherche mais Albert réapparaitra plusieurs dizaines de minutes plus tard sans que l’on sache par où il est passé ?

Installation des tables, premier bouchon, pas le temps de faire le feu. Mais comme d’habitude les agapes seront pantagruéliques. Les conversations vont bon train mais il est temps de reprendre la route. On avait prévu une rencontre avec M. le maire, on le prévient qu’il est un peu tard, ce sera pour la prochaine.

19 h 30 au local, Albert et Wanda vont retrouver leurs véhicules.

  • JN « Pas besoin d’ouvrir le local ? »
  • Albert « Non c’est bon »

Le Disco repart, direction la Place d’Armes pour déposer Éric. Appel d’Albert « J’ai laissé mes clés de voiture au local »No comment, on fait demi-tour mais entre temps Wanda le ramène chez lui. Nouveau no comment !

Une bonne douche et on se retrouve au local vers 20 h 30 pour… manger. En effet c’est le tour d’Odette d’avoir préparé l’apéro-dinatoire. Tout aussi pantagruélique que les précédents. On attendra que la digestion de 17 heures se termine en débriefant pendant une heure, analyses et critiques (constructives) des photos. Quelques canapés et sandwiches plus tard on finira cette journée bien remplie. Il est presque minuit, demain ce sera Santa Catalina avec un rdv à 9 heures.

JND

Vendredi 14 octobre 2022 – Stage photo – local, Bastia

Stage photo

Soirée formation au local, Bastia

Participants

  • ITP : Antoine B., Michèle C., Wanda C., Albert D., Amal D., Jean-Noël D., Éric G., Jean-Claude L., Marie Pierre R.
  • Formateurs : Philippe C., Annie G.

Durée : 4h00

La photographie souterraine en Corse on connait ! le blog des topis doit en contenir des centaines… mais, reconnaissons-le, si cela nous permet de garder de bons souvenirs de nos sorties, l’esthétisme pictural n’est pas souvent au rendez-vous. On a bien essayé à une époque d’utiliser des cellules de déclenchement à distance mais la technique s’est vite avérée défaillante. On s’est contenté ensuite de nos APN compacts qui nous évitaient de réfléchir.

Mais à force de feuilleter Spelunca et d’admirer les merveilleuses photos de Philippe Crochet, l’envie nous est venue de tenter l’aventure. Philippe est le président de la Commission audiovisuelle, présent sur tous les congrès et rassemblements spéléos. Suite à la publication d’une magnifique photo d’œufs d’opilions Jean-Noël lui a proposé début 2022 une formation Photo Souterraine pour la LISC d’abord à visée entomo élargie ensuite à une initiation plus globale.

Philippe et sa compagne et modèle Annie ayant un emploi du temps très chargé (y-a-t-il un coin de karst dans le monde où ils n’aient pas mis leurs flashes ?) le projet ne pouvait se faire qu’en fin d’année. Annoncé à l’AG de la LISC, le stage a été rempli le jour même – 8 candidat(e)s et finalement nous serons 10. Et « grâce » à une annulation de voyage au Turkménistan, on a pu se mettre d’accord pour un stage du 14 au 18 octobre. Le CA de la LISC a décidé de prendre en charge l’hébergement et le couvert des formateurs, leur déplacement passant en abandon de frais.

Vendredi 18 heures, Philippe et Annie sont au local et les élèves photographes arrivent au compte gouttes… Cela permet de mieux faire connaissance et de débuter gentiment l’apéro.

19 heures, on rentre dans le vif du sujet. Philippe nous présente son diaporama, on a beaucoup à apprendre sur le matériel à utiliser, les paramètres à régler (et ça ne manque pas : iso, diaphragme, vitesse, nombre guide, angle de positionnement, puissance et ouverture des flashes, contre jour, flash en douche…). Au bout d’une heure, l’attention de certains se disperse, on lance la pause avec apéro-dinatoire.

Pour ce faire, Antoine avait prise les choses en mains et avait mobilisé Amal pour ces premières agapes puis Odette pour celle du samedi et du dimanche. Quand les plats arrivèrent ce n’était pas quelques amuse-gueule mais un véritable buffet qu’Amal nous avait concocté ! Tout cela accompagné de quelques bonnes bouteilles choisies par Antoine.

Bien repus mais décidés à poursuivre notre apprentissage on se replace devant le diaporama. Encore deux bonnes heures de notions théoriques à intégrer. Bientôt 23 heures, la fatigue se fait sentir, les formateurs doivent trouver leur hôtel et demain route vers Lano.

JND

Dimanche 9 octobre 2022 – Le Bucatoghju, San Nicolao

Canyon, repérage, descente, entrainement

Le Bucatoghju, San Nicolao

Participants

  • ITP : Michaël D., Franck Z.

Cotations : V3.A3.II

TPEC : 0h30

Le canyon du MACINI était initialement prévu ce jour mais le temps maussade et pluvieux sur la région nous a fait annuler cette journée d’initiation.

Avant d’annuler, une idée avait tout de même germé : parcourir le circuit emprunté par le pro dans le canyon du Bucatoghju. Lors de notre dernière descente, nous avions rencontré le pro qui partait de l’arrivée avec un groupe mais où est le point d’accès et par quel chemin ?

C’est pour répondre à ces questions que Micca et Franck se retrouvent vers 10h00 sur le parking près du site archéologique.

Nous empruntons donc le chemin qui est habituellement celui du retour jusqu’à arriver à une fourche : à droite direction la cascade (c’est écrit à la peinture fluo sur le rocher) et à gauche un chemin de randonnée. Nous continuons sur le chemin de rando que nous quittons à la première bifurcation évidente. La sente est plus ou moins bien marquée, mais certains passages sont compliqués, nous arrivons à une barre rocheuse qu’il faut escalader. Impossible avec un groupe d’initiés, nous ne sommes pas sur le bon chemin…

Nous décidons alors de regagner le lit de la rivière et de la remonter jusqu’à une nouvelle barre rocheuse que nous escaladons. Alléluia !!! La main courante en acier que nous avions repérée la fois précédente est là. Cette dernière se poursuit sur une cinquantaine de mètres, un panneau de danger et de restriction d’accès est apposé au départ de celle-ci.

Un sentier non balisé arrive jusqu’au chemin de rando principal, la jonction est faite !

Cela fait plus d’une heure que nous sommes dans les sous-bois, étant là pour faire un peu de canyon tout de même nous repartons vers la rivière et entamons cette descente vers 12h00. Plusieurs agrès sont à utiliser : une mini tyrolienne laissée en fixe par le pro puis trois rappels à équiper.

À noter sur le dernier rappel, plusieurs amarrages sont disponibles mais plusieurs maillons rapides ont été dérobés. La pluie se joint à nous lors du dernier rappel. Un couple observe notre descente, ça change un peu de l’affluence massive de personnes amassées autour de la vasque finale les jours d’été.

Il est 12h30 lorsque nous sortons de ce micro canyon. Bon c’est court, trente minutes, mais nous ne sommes qu’à deux et sur l’avant dernière vasque il y a plusieurs possibilités de sauts. Il est donc possible d’agrémenter cette descente pour la réaliser avec de initiés.

Le repas est consommé chez Franck.

L’après-midi, Franck et Micca rejoignent Anto, Roxane et Muriel pour effectuer quelques manipulations et techniques de corde en canyon : retour sur les différents types de nœuds, remontée sur corde avec des bloqueurs et conversion. Anto avait équipé les cordes sur le portique du local.

La journée se finira par un petit apéro.

Franck Z.

Dimanche 2 Octobre 2022 JNS Cast 1 Oletta

Spéléo, initiation JNSc

Cast 1, Oletta

Participants

  • ITP : Antoine B., Michèle C., Wanda C., Dominique D., Amal D., Michaël D., Henri-Pierre F., Éric G., Pierre L., Francis M., Nono R., Alexia S-B., Alain T., Franck Z.
  • Initiés : Alexia A., Marina A., Léa C., Luca C., Stéphanie C., Alix D., Thomas G., Husen H., Éric I., Gwenaëlle L., Lina L., Mohamed L., Océane M., Delphine N., Lucie P., Liliane P., Pierre Q., Anna R., Benoit R., Chris R., Yorick S., Léo T., Fabien V.
  • Assistante canine : Nala

TPST : 3h30 + 3h30

Photos

Grosse affluence autour de Cast 1 pour cette journée d’initiation spéléo programmée après la fête du sport.

  • 23 initiés
  • 14 encadrants + 1 assistante
  • Il y avait 23 inscrits, 11 initiés le matin, 12 l’après-midi

Démonstration et mise en situation au pied du pylône, puis direction la cavité.

Compte-tenu d’un nombre suffisant d’encadrants, c’est une configuration en poste fixe qui a été choisie. Les topi se placent aux points stratégiques et assurent la sécurité des initiés passant près d’eux. Déjà pratiquée, cette technique est bien rodée maintenant et ça roule !

Le parcours choisi a été :

  • Puits d’entrée traditionnel
  • Puits de la Chèvre
  • Raccourci
  • P9
  • Sortie par le puits artificiel

La journée a été coupée par le traditionnel piquenique, bien apprécié lui aussi.

Franck


Si la période d’élevage chez les petits rhinos se situe aux mois de juin et suivant, chez les Topis on observera plutôt une intense activité d’initiation des jeunes aux mois de septembre, octobre. Les parades se déroulent lors de la fête du sport, où les anciens exécutent divers exercices visant à montrer aux éventuels Topis souhaitant intégrer la colonie, les gestes qu’ils devront pratiquer. Quelques jours plus tard, les voici appelés à voler de leurs propres ailes accrochés sur un fil. C’est lors de cette période très brève que se joue l’avenir de la colonie, qui, à entendre les os craquer et geindre lors des sorties, a besoin de sang neuf. Et pas frais… ne confondons pas.

La sortie avait été préparée telle une opération commando : 22 impétrants, il ne fallait pas perdre un candidat.

La veille une patrouille, Alain et Antoine, était allée dès 7 h repérer le terrain et déminer la grotte de Cast 1. Les repérages avaient permis de découvrir la présence d’arbres coupant l’accès au gué de l’Aliso, mais la cavité avait pu être complètement équipée, temps précieux gagné sur la journée du lendemain.

Le plan de progression avait été calé dès le jeudi (prendre l’apéro n’empêche pas d’être professionnel – les anciens le disent toujours) : le puits, les veaux, décalage pour salle de la chèvre, passage par l’étroiture, virage à gauche (la main courante devrait éviter les erreurs, rappel vers le bas du plateau à escargots, remontée par le puits du poulailler. Il était prévu une progression en binôme « un devant un derrière ».

Dimanche rendez-vous 8h30 au café du Leclerc d’Oletta, Antoine et Michaël fidèles à la devise du génie « parfois détruire, souvent construire, toujours servir » partent devant découper des rondelles dans les arbres.

Les 12 premiers candidats sont au rendez-vous sous les vignes Lazarini, embarquement dans les 4×4. Comme souvent en Corse il faut monter pour descendre, les restes calcaires du trias-jurassique, propices aux formations appréciées des spéléos étant perchés aux sommets des montagnes.

Les nouveaux découvrent les équipements grâce aux explications de Nono et Francis, parfaits pédagogues sur l’utilisation de ces matériels aux fonctions obscures, puis c’est la séance d’habillage Alexia habilleuse digne des boutiques de Barbes : il est un peu serré mais c’est ce qu’il vous faut. Enfin ce sont les manipulations techniques. Sous le pylône, perchés à quelques mètres les apprentis découvrent la vie suspendue.

Les rôles sont répartis entre Topis : on opte pour une sécurisation par poste fixe qui s’avérera utile dans la gestion du temps. C’est le moment du grand saut, les nouveaux plongent dans le trou. Les Topis répartis tout au long de la cavité les attendent à chacun des passages sur agrès. Embouteillage à l’entrée des veaux ou les choses sérieuses commencent. Posté en bas de la chèvre je ne saurais dire comment le reste des manips se sont déroulées, apparemment aucun jeune n’a été blessé ou perdu durant le tournage. Alain, équipé de son matériel professionnel, révèle avec ses puissantes torches, des détails dans les sculptures de calcites qui ont poussé au long des millénaires que les habitués de Cast ne connaissaient pas. Le poulailler est la dernière difficulté, d’autant qu’il est le passage entre la fraîcheur des habitats souterrains et la terre du dessus bien chaude en ce mois d’octobre.

Le dernier initié sorti du trou, les Topis ont à peine le temps d’avaler le pique-nique froid, faute du barbecue traditionnel, que déjà la nouvelle fournée arrive. Si certains s’accrochent aux nouvelles tables fabriquées par Dumè, il faut déjà recommencer le rituel du matin.

Éric et Michaël déséquipent côté entrée, Henri-Pierre côté sortie. 22 participants est peut être un nombre difficile à gérer sans faire de l’abattage, cela promet de longues discussions pour l’organisation des prochaines JNS.

Retour au local on rangera tout jeudi, la journée a été longue mais superbe. Reste à attendre si elle a convaincu.

Eric

Vendredi 30 septembre 2022 – Traversée Hayau-Bouhadère, Saint-Pé-de-Bigorre (65)

Interclubs spéléo, visite

Traversée Hayau-Bouhadère, Saint-Pé-de-Bigorre (65)

Participants

  • ITP : Jean-Claude L.
  • Leize Mendi : Coraline F.

TPST : 3h00

Photos

Topo

« Ça t’intéresserait de faire un autre trou dans le coin ? »

Une telle proposition de la part de Coraline, honnête de surcroit, ne pouvait être refusée ! Une traversée en plus, à faire en technique canyon, ça change de la routine.

La traversée Hayau-Boulahère fait partie du sentier karstique de Saint-Pé-de-Bigorre réalisé par le CSR Midi-Pyrénées. Gâteau sous la cerise, un livret explicatif avec quelques topos de cavités est téléchargeable ici.

Départ du parking aménagé avec avoir laissé passer une dernière averse, 15 mn de marche plus tard à travers la jolie forêt de Très Crouts et voilà l’entrée. Une belle entrée où on devine qu’il y a un peu de gaz !

Petite main courante et c’est un beau plein pot de 30 m. Comme d’habitude maintenant, je laisse tomber du matos, le 8 de Coraline en l’occurrence. Qu’à cela ne tienne, retour dans l’antiquité pour un demi-cab/nœud de mule. Quelques minutes pour le ressortir des archives et c’est parti pour une belle descente joliment éclairée jusqu’à la base par la lumière du jour. En cour de descente une idée de recyclage des vieux 8, couper un morceau du gros trou et s’en servir de déviation facilement retirable.

Un P12 suit à la base duquel on voit encore l’entrée du gouffre, puis un boyau descendant assez confortable à équiper, il se termine par un beau P15. Une galerie, une petite escalade, un petit rhinolophe et voilà la vire menant au dernier puits, un beau P20 qui aboutit à la Salle Henri IV, à environ 90 mètres de profondeur, relativement bien concrétionnée et agrémentée d’une petite arrivée d’eau.

Le reste du cheminement est un peu plus chaotique avec des vires équipées en fixe, quelques ressauts, une chatière mouillante, un peu de boue (il en faut), une via souterrata remontante qui évite d’équiper le P12 de sortie, et enfin la sortie. Jolie cavité qui peut se faire tranquillement à la demi-journée.

Vingt minutes plus tard nous voilà déjà de retour à la voiture pour la petite bibine traditionnelle.

JCL