Archives annuelles : 2025

Dimanche 20 Avril 2025 – Canyon Fiumi Raghjunti

Dimanche 20 Avril 2025
Canyon Sorio – Fiumi Raghjunti

Participants :
I.T.P : Antoine B., Antonio E.,  Laureen N., Benoit R., Franck Z.

——————- CR Laureen ——————-

Le matériel a été préparé la veille. Assez vite les membres présents émettent l’idée d’embarquer le matériel spéléo utilisé lors de la sortie de San Nicolao afin de le nettoyer dans le Fiumi Raghjunti.

RDV au local vers 8h00 le dimanche 20. Un café, on charge et zou, direction Sorio.

On retrouve Franck sur place. Il y a de l’eau, beaucoup d’eau !!!

La pluie est attendue vers 13 h / 14h.

On s’équipe sur l’air de stationnement. Franck part en premier. Après 10 min de marche, on retrouve Franck au niveau du premier rappel.
Le premier rappel se fera en guider, il y a beaucoup trop d’eau.
Petit Quiz : Sur les 5 Topis combien ont fini dans la cascade ? Certains appellent ça du talent.

La suite du canyon sera un mélange de spéléo, escalade, voire même accrobranche. Le débit du Fiumi Raghjunti ne permet pas de le parcourir en entier.
Pour en profiter, il faudra retenter la sortie dans quelques jours/semaines. Pour envisager une sortie complète il faut attendre que le bassin versant se vidange dixit hydrogéologue du club.

On notera la trouvaille d’une pièce de 20 cts espagnole positionnée sur un bloc en plein milieu de la rivière. Antoni, elle t’était destinée.

Franck nous quitte à l’heure. Cours Forest, la Sainte Odette n’attend pas.

On finira le canyon par la traditionnelle tyrolienne.

Nettoyage du matériel spéléo par les 4 topis restants. On appréciera la technique ancestrale de nettoyage d’Antonio.
On a eu juste le temps de nettoyer et replier le matériel et la pluie attendue nous a fait rentrer au local pour manger notre piquenique.

Laureen N.

——————- CR Benoit ——————-

Au regard des pluies abondantes cette semaine, on attendait le bon jour pour se préparer une sortie, évidemment en semaine ce n’était pas possible avec la tempête Hans qui touche une bonne partie de la méditerranée notamment la Corse, la Sardaigne, le piémont italien et les Alpes. Samedi une sortie spéléo était déjà prévu, du coup il nous restait que ce Dimanche, le Lundi de pâques sera réservé pour les repas de famille et/ou repos pour d’autres.

Dimanche la météo n’était pas non plus aux beaux fixes, mais une fenêtre nous laisse l’occasion de s’y lancer, la pluie était prévue à 13h. A la base il était envisagé de faire le Stollu et d’enchaîner avec le Fiumi Raghjunti, vu les prévisions, on se rabattra uniquement sur cette dernière portion.

Nous nous sommes donné rendez-vous au local à 8h, Franck nous rejoindra directement à Sorio, pendant notre trajet, Franck nous enverra quelques photos et il y a de l’eau !! la cascade à gauche du pont de Sorio est sortie de son lit, habituellement il y a seulement un petit filet d’eau. Arrivé au pont, on voit et on entend le débit de l’eau, c’est chargé, ça risque d’être sportif !!.

Franck partira en premier, suivi d’Antoine pour déjà équiper le premier rappel, pendant qu’Antonio, Laureen et moi nous terminons de nous équiper. Arrivé à la cascade, un débit monstre, ça émulsionne énormément, nous nous sommes dit : « oufff ça va chaud patate dans l’actif !! », On rejoins Franck et Antoine au départ du canyon et ils prendront la sage décision de mettre un rappel guidé, d’autant plus que la configuration du canyon permet de le faire sans que chacun prennent des risques pour l’installer. Franck redescend par le chemin qui mène au départ du canyon et Antonio d’en haut lancera le bidon étanche avec la corde de rappel pour qu’Antoine tend le guidé.

Nous descendons tous sur le guidé sans problème, le débit de la cascade nous éjecte sur le guidé, nous continuons notre progression et là on voit que sa brasse de partout dans les passages clés du canyon, nous shuntons le passage avant le premier rappel sous blocs, au niveau du rappel sous bloc un niveau d’eau particulièrement élevé rendant impossible l’accès : On shunte de nouveau !

On place une corde de rappel en nœud étrangleur pour accéder sous le bloc en haut du passage habituel, idem comme à la Ruda, un vacarme monstre dans la grotte avec ce débit d’eau, nous ressortons par un petit passage étroit à la mode spéléo, pour shunter de nouveau le petit rappel de 2 mètres, un autre nœud étrangleur sera installer pour le contourner. Et on shuntera une dernière fois l’autre passage sous bloc menant à la tyrolienne.

Antonio et Antoine installera la tyrolienne pendant que Franck empruntera la sortie du canyon à pied car il devait partir plus tôt. Antoine descendra en rappel dans le bouillon, le courant l’expulsa assez facilement, Antonio tend la tyro et on descendra tous dessus !

Fin de canyon, point positif on aura vu ce canyon en très très gros débit ça change des JNSC !

Pour terminer cette journée, lavage de corde spéléo utilisées la veille et retour au local où finalement on mangera car la pluie s’est invité à 13h pile à Sorio, d’ailleurs le canyon reprenait légèrement du volume sûrement alimenté par les pluies sur le plateau de Tenda en altitude

Benoit R.

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« de 6 »

Samedi 19 avril 2025 – Gouffre de San Nicolao

Samedi 19 avril 2025
Spéléo, équipement, repérage
Gouffre de San Nicolao dit « Tribbiolu », San Nicolao

Participants
ITP : Cathy et Jean-François B., Antoine B., Michaël D., Antonio E. G., Jean-Claude L. M., Laureen N., Benoit R., Jean-Luc S., Franck Z.

TPST : 4h00

Comme à l’habitude, le rendez-vous a été donné au rond-point n°4. Deux voitures sont parties à 8h45 pour récupérer Jean-Luc au rond-point de Vescovato et Micca à Moriani.

Début d’ascension vers 10h. Première surprise pour les habitués, une piste forestière a été réalisée ce qui facilite l’accès à la grotte. Après le passage « pieds nus » de la rivière pour certains, en chaussons ou en chaussures pour d’autres, on atteint l’aire de pique-nique au sommet. 11h30 tout le monde est équipé et prêt à descendre. Une première équipe se glisse dans le trou pendant qu’une seconde prospecte pour trouver un éventuel accès au « puits du tronc d’arbre ». Le report en surface de ce puits se situe au niveau du col avant l’aire de pique-nique, aucun accès trouvé pour l’instant. En attendant son tour Antoine nettoie version Attila toute la végétation autour du trou.

Arrivés en bas du trou, on constate que la cavité est très mouillée et boueuse.

Franck, en tête, installe les cordes et commence le remplacement des cordes fixes dans la galerie Sud-Est. Antonio se faufile dans la chatière située à l’aplomb de la lucarne mais le passage est très glissant. Impossible d’installer la corde au niveau de la lucarne car une vingtaine d’Euryales sont en train de dormir.

L’objectif de la journée était d’utiliser le mat télescopique pour escalader le puits situé au bout de la galerie Sud-Est. Le puits est assez étroit pour pouvoir tester le mât en « sécurité » ! Après une remontée de 6 / 7 mètres, on peut se positionner à la base du puits du tronc d’arbre. Ce dernier est descendu pour ne pas gêner l’ascension. Sa présence ici est un mystère ! Est-il venu par le haut ou par le bas avec des crues. Antonio et Antoine sont situés à la base du puits, le mât est déployé, Jean-Claude débute l’ascension pendant que Micca, pendu sur la corde située dessous, assure la corde utilisée par Jean-Claude. Un schéma du montage serait peut-être nécessaire pour comprendre la situation !!
Alors que l’ascension débute, les autres situés dans la galerie dessous s’imaginent l’action au rythme des commentaires entendus !! Un premier : « le mât est en train de se tordre !!! », laisse douter de la réussite de l’ascension, puis des cris d’Antoine qui reçoit des paquets de terre sur la tête ou de Micca qui reçoit des pierres sur le casque ! Une règle, ne surtout pas regarder vers le haut. Après une ascension courageuse de Jean-Claude d’au moins 5 mètres sur son mât, il constate malheureusement qu’aucun accès n’est visible et que ça queute en haut.

Il est temps de ressortir en ramenant le mât en parti tordu. Pendant que Cathy « joue » avec son Croll » rebelle qui refuse de s’ouvrir au dernier fractio, le reste de l’équipe essaie de redresser le mât. Enfin libérée par Franck, Cathy puis tous les autres s’extraient du trou avec plus ou moins de difficultés. Commentaire de Jean-Claude : « Benoit n’a pas trop râlé à la sortie, probablement grâce aux nouvelles broches qui facilitent grandement l’extraction ». Bien sûr, tout le monde a eu droit à des herbes et de l’eau sur la tête pendant l’ascension !! On entendait Laureen criait « je ne suis pas une chèvre !! »

Au tour de Jean-Luc d’arriver en haut ! Tout va bien jusqu’au torse, les bras sont sortis, la moitié du corps aussi mais plus rien ne bouge !!! Au bout de 10 mn d’effort, Franck réussi à fixer sa longe sur le baudrier de Jean-Luc et à le libérer. Micca et Anto peuvent à leur tour sortir (environ à 16 h).

Suivi du pique-nique bien mérité et retour aux voitures après le franchissement de la rivière ! Chacun sa technique : avec les chaussures, tout habillé ;  à pieds nus les chaussures autour du cou (avec un pantin perdu par Jean-Luc au passage de la rivière) ou avec des chaussons néoprènes pour Micca le plus frileux !

Retour voiture à 19h

JLS


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« de 20 »

Mercredi 16 avril 2025 – Igue de Begood – Venaco

Mercredi 16 avril 2025
Spéléo, entomo, initiation, repérage, désob
Igue de Begood, Venaco

Participants
ITP : Michèle C., Wanda C., Michaël D., Jean-Claude L. M.
Initiés : Santu F., Nathalie S.

TPST : 2h30

Il est des traditions qui se mettre en place subrepticement. Il en est ainsi de celle qui consiste, tous les 15 ans, à tenter de repérer en surface le point haut du puits remontant de l’aven de Razzu Biancu, où avait pu être établie une conversation téléphonique d’ailleurs, signe de la proximité avec la surface !

Une première tentative topographique avait eu lieu le 4 novembre 1995 (https://itopipinnuti.fr/exitp/cr1995.htm#Samedi_4_novembre_1995).
Une autre avec du matériel électronique le 16 janvier 2010 (https://itopipinnuti.fr/exitp/cr2010#Samedi_16_janvier_2010), mais les émetteurs-récepteurs de l’époque, balise chauve-souris et Arva, n’avaient pas permis de localiser avec certitude le point recherché.

Nous sommes en 2025, soit 30 ans après la 1ère tentative et 15 ans après la 2ème, il est donc forcément envisagé un nouvel essai de repérage en surface du point haut de Razzu Biancu, il faut respecter la dernière phrase du compte-rendu de 2010 🙂

Ça tombe bien, il était prévu un retour à Begood où on avait observé des Parabathyscias sur un cadavre de chauve-souris lors de la visite du 16 février dernier, mais qu’on n’avait pas pu prélevé faute de matériel.
Un petit volet initiation s’ajoute pour Santu, un jeune de 12 ans qui vadrouille déjà avec Michèle et sa maman Nathalie du GCC.

C’est ainsi avec plein d’entrain et l’espoir que les prévisions météo soient justes (couvert le matin, pluies l’après-midi) que tout le monde se retrouve à Venaco, y compris Micca qui a cédé à la tentation de Begood.

Le groupe se met rapidement en marche, un petit coucou au passage aux 2 copains équins et voilà le beau massif calcaire de Razzu Biancu.

Accès à la cavité en contournant la vieille bâtisse en ruine.

JC entre, suivi par Santu, suivi par Wanda, suivie par Michèle, suivie par Micca, suivi par … forfait de Nathalie. Elle n’était déjà pas certaine de vouloir faire la cavité, la vue de l’entrée l’a refroidie.

C’est maintenant le 1er passage clé, il faut franchir une chatière au sommet d’un gros bloc rocheux. JC passe, suivi par Santu, suivi par Wanda, suivie par Michèle, suivie par … 2ème forfait, Micca coince au niveau du bassin. Il restera finalement dans la 1ère alcôve et fera du ménage en déplaçant des blocs rocheux gênants.

C’est finalement le trio JC, Santu et Wanda qui arrive jusqu’à l’endroit du festin. Déception, les Parabathyscias vus lors de notre dernière visite et qu’on espérait retrouver sur leur repas chiroptérique se sont fait la malle. Seuls quelques isopodes finissent les restes et les recherches alentours restent infructueuses. Bilan entomo, juste quelques ixodes sont repérés ainsi qu’un petit dolichopode albinos ou immature et des myriapodes.

Le projet de continuer jusqu’à la salle des Griffures est abandonné, il aurait fallu se mouiller sérieusement en rampant dans des gours plein d’eau.

Retour dans la grande salle, visite de la belle galerie supérieure et retour à l’air libre en croisant une chauve-souris dans la chatière suspendue.

La sortie est facilitée par le ménage fait par Micca.

Pique-nique rapide au pied de l’escarpement, quelques gouttes commencent à tomber.
On ira quand même rendre visite à Razzu Biancu et à tenter une nouvelle méthode pour retrouver en surface le fameux point haut de la cavité.
Cette fois-ci c’est par le report en surface de la topo et géoportail qu’un point est repéré. Ça semble marcher puisqu’on est tombé à côté du cairn posé il y a 15 ans, et à quelques mètres de celui posé encore 15 ans avant. Un nouveau cairn est érigé mais pas le temps de chercher un éventuel indice de jonction vu la pluie qui est venue s’amuser avec nous. Elle nous accompagnera d’ailleurs jusqu’aux véhicules que nous rejoignons bien trempés.

Un goûter chez Nathalie permettra de se réchauffer avant un retour à une heure plus que raisonnable en région bastiaise.

Il est envisagé un retour pour poser des pièges dans Begood, agrandir la chatière suspendue, prospecter sérieusement la zone « point haut » de Razzu Biancu et le reste du massif, continuer la désob, etc. etc.

JCL


Rassemblement
« de 38 »

Dimanche 13 Avril 2025 – Journée de formation technique en canyon et T.U.C – Local

Dimanche 13 Avril 2025
Journée de formation interne et T.U.C au local

Participants
I.T.P : Antoine B., Muriel C., Christophe C.,  Adriana D. C., Antonio E.,  Benoit R., Franck Z.,

Nous profitons d’une météo bien humide ce dimanche pour effectuer une journée technique en canyon. Nous nous retrouvons donc vers 09h00 au local.  Mumu et Christophe, s’affèrent sur le nouveau matériel acquis depuis peu. : les nouveaux mousquetons sont gravés, les anciens baudriers canyons remplacés et les fiches E.P.I modifiées…

Quant à nous, le temps d’un café et nous nous mettons en action. Plusieurs techniques sont abordées et mises en œuvre :

– Le coupé de corde  d’en haut, intervention indirect.

– Le coupé de corde, équipier longé, intervention direct.

-Les remontés d’équipier sur corde fixe.

– Auto-secours, utilisation des bloqueurs, machard et nœud de cœur.

– Les débrayages du bas.

– Passage de nœuds.

Même si les thèmes sont sérieux, la bonne humeur est de mise et, bien entendu, la pause méridienne viendra entrecouper cette bonne journée d’exercice.

Franck

 

 

 

 

Mercredi 9 avril 2025 – Grottes de Butrone et Santa Catalina, Sisco

Mercredi 9 avril 2025
Spéléo, entomologie
Grottes de Butrone et Santa Catalina, Sisco

Participants
ITP : Michèle C., Jean-Claude L. M.
Initiés : Franck et Timothée N.

TPST : 2h + 1h

Profitant d’un séjour en Corse pour des vacances familiales, Franck Noël, naturaliste multidisciplinaire spécialisé dans les crustacés isopodes terrestres, a fait jouer ses contacts dans le milieu entomologiste national pour prospecter dans des cavités insulaires. D’abord conseillé par JM Lemaire, sa demande est finalement arrivée à la commission scientifique de la LISC via JND. Nos spécialistes entomologistes n’étant pas là, c’est JCL et Michèle qui se chargeront de l’accompagnement. Effectif réduit en raison de la période sensible pour les chauves-souris.

En gite à Sisco, 2 cavités se prêtaient bien à la demande, Butrone bien sûr, LE spot entomo de la Corse, et San Catalina à proximité également.

Un rendez-vous à 14h30 est fixé à la marine de Sisco, rendez-vous retardé en raison d’un colis suspect provocant un blocage de la route du Cap, c’est la Corse 🙂

C’est finalement vers 15h30 que tout le monde s’entasse dans le Def. L’ancienne piste d’accès n’est pas tentée, on ne connait pas son état et son portail est fermé. Choix d’autant plus facile que celui de la nouvelle est grand ouvert.

Arrivée sans encombre mais les places de parking ont rétréci, signe que le maquis reprend ses aises. C’est également le cas du chemin où il a fallu jouer du sécateur. Une operata s’impose, l’aghja devant l’entrée est à peine visible.

Franck se met rapidement en mode recherche et la récolte ne tarde pas. C’est le réseau fossile qui est d’abord prospecté jusqu’en bas de la salle du Poulain. Les gours sont actifs mais peu de bestiole. Quelques prélèvements quand même, avec peut-être 2 palpigrades accouplés en bas du ressaut terminal.

Les Troglohyphantes se font rare également, les Dolichopodes par contre pullulent !

La visite continue jusqu’à la salle de la Pluie où … il pleut ! Fini la sécheresse qui a sévi dans la cavité depuis 2 ans. L’eau est revenue, par contre aucun Niphargus observé. Les traditionnels petits rhinos ne sont pas regroupés comme souvent dans la galerie d’entrée mais éparpillés un peu partout, une bonne dizaine en tout.

Retour à l’extérieur puis à la marine où Timothée est largué au passage, puis direction Santa Catalina.

Franck se contente des premières dizaines de mètres de la cavité, jugeant le reste trop sec. Nous allons de notre côté jusqu’au bout, mais peu de chauves-souris, un petit rhino accroché en paroi et une poignée qui volent, peut-être pas des petits rhinos.

On ne relatera pas tous les noms scientifiques du tableau de chasse, mais Franck était satisfait de sa récolte.

Nous nous séparons à la nuit tombée et retour sur Bastia.

JCL


Complément d’info de la part de Franck Noël :

Butrone

  • Diploure, cf. : Campodea cyrnea
  • Mollusque : Tacheocampylea raspailii (au niveau de l’entrée)
  • Isopodes : Helleria brevicornis (entrée), Porcellio dilatatus, Oritoniscus ocellatus
  • Diplopodes : Julidae, cf. Ophyiulus 1f
  • Chilopodes : à déterminer
  • Araignées : Troglohyphantes cyrnaeus (+ autres récoltes à det.)
  • Limoniidae : Limonia nubeculosa

Santa Catalina

  • Station de Grillon maritime dans les galets de l’entrée (dizaines)
  • Isopodes : Halophiloscia hirsuta, Halophiloscia sp. (entrée- recherche sans succès d’une espèce d’Halophiloscia à confirmer, trouvée lors du LISC)), Porcellio dilatatus, Porcellionides pruinosus, Chaetophiloscia cellaria
  • Araignées à déterminer

Franck Noël.

Précisions de Jean-Michel Lemaire :

  • Coléoptère : Laemostenus carinatus (Chaudoir, 1859), qui vient de sortir de nymphose car il est encore immature. C’est un troglophile que l’on le trouve aussi en forêt sous les pierres, et dans toutes les grottes en Corse

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« de 29 »