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Vendredi 11 juillet 2025 – Trou du Pujol (nom temporaire) — Caunes Minervois(11)

Vendredi 11 juillet 2025
Spéléo, désob’
Trou du Pujol (nom temporaire) — Caunes Minervois (11)

Participants
ITP / Spéléo Corbières Minervois / GPS : Jean-Noël D.
Gruissan Prospection Spéléo : Jean-Marie B., André M.
Spéléo Corbières Minervois : Aude V.
Gent canine : Bosco

 TPST : huit heures

Découragement et espérances

Retour au Pujol où Jean-Marie et André avaient continué leur désob’, deux visites depuis le 13 mai dernier. Le courant d’air est prometteur et il y a toujours du noir devant… On se retrouve à Villeneuve pour un petit café. Le trio sera étoffé de Aude, la quarantaine, une pointure spéléo du SCM, habituée à la désob’.

Il fait déjà bien chaud au parking le long de la piste. Et là on ouvre la rubrique « oubli ». Jean-Marie a oublié les chaussettes, Jean Noël les chaussures, et André… le matos de désob. Heureusement il y avait une corde dans le kit… Pour moi ce sera plutôt inconfortable, descente précautionneuse en sandalettes dans le bartas et je ne pense pas descendre bien profond, pas envie de prendre un caillou sur l’orteil. Je resterai donc en surface en compagnie de Bosco qui a trouvé sa place à l’ombre.

Pour commencer nous sortons une demi-douzaine de gamates (estimation André, en réalité 28 gamates) des deux diverticules supérieurs. Puis André se met à son mécano (ferrailles et pieds-droits) pour obturer le trou du fond du diverticule n°3. On pourra y stocker des blocs et ainsi passer sous une néo trémie ; ça nous manquait. Le front est repris et les deux diverticules supérieurs sont à nouveau pleins.

Pour être plus efficace je descends de quelques mètres dans le toboggan d’entrée assez large mais plutôt bas de plafond. Bosco ronchonne un peu de me voir disparaitre sous terre – le ressaut d’entrée fait quand même 2 m. Puis quelques minutes plus tard je me sens poussé par une grosse masse blanche, il est descendu et essaie de me dépasser… S’il coince ça va être coton ! Mais le retour se passera sans difficulté et une fois que je suis ressorti du trou, il y replonge derrière Aude. La remontée des gamates ne le gênera pas. Il faut dire que la température est bien plus fraîche à l’intérieur.

Fin de l’évacuation avant de sortir manger, mais amis craignent que la motivation soit moins présente après le repas. Moi qui pensais qu’on allait s’installer à la cabane des chasseurs comme les fois précédentes, que nenni ! ils restent sur place et se contenteront d’un sandwich. Devant partir vers 14 heures – le Tour de France arrive à Mûr de Bretagne – je ne me sens pas de remonter chercher la glacière et de redescendre – toujours en sandalette -, ils se passeront du rosé frais.

Bosco semble assez heureux de retrouver le frais de la climatisation de la voiture. La spéléo laisse des traces, il est bien coloré par l’argile du trou. Je serai à l’heure pour la sieste TDF.

JND

Pour la suite, place à Jean-Marie :

« Repas rapide et retour au front. Cette fois je suis devant. Les blocs soudés par la terre sèche touchent la paroi et quelques trous centimétriques aspirent l’air… Je dis à André : « Je crois que c’est la dernière fois que je reviens ici. »

Aude en relais remplit les gamates 13 ce coup-ci).et André en haut remplit les diverticules. André avait utilisé la méthode brutale : trous dans la voûte et boum boum. Moi c’est plutôt le style José Bové : démontage soigneux. Les blocs sonnent clair, quelques coups de massettes légers et ils se détachent de leur gangue de terre sèche qui part aussitôt en poussière. Peu à peu, les espaces naissent entre les blocs, la poussière file vers le bas. Une niche apparait sous la voûte et en dessous les vides sont aussi volumineux que les pleins. Le courant d’air s’affole dans le trou ainsi élargi, sans aucune irrégularité malgré les bourrasques en surface. C’est sûr, on a passé un verrou. Le problème va être l’évacuation des déblais si une poche n’apparaît pas rapidement. Il faut être quatre pour vider les diverticules du fait des angulations du conduit d’entrée.

Avant de repartir j’élargis la partie verticale et je l’agrémente d’étriers métalliques pour passer le sablier sans s’épuiser

Merci à Aude, sans elle on n’aurait pas fait grand-chose.

À suivre »

JND/JMB

Dimanche 15 juin 2025 – Canyons enchainés PULISCHELLU – VACCA

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Canyon
PULISCHELLU – VACCA – Quenza

Participants :
ITP: Antoine B. Christophe C., Adriana D. C., Antonio E. G.,

TPEC sur: 9H (14kms tout de même ! )
Niveau : V4/A3/III

Après un samedi à Piscia di Gallu, nous profitons d’être dans l’Alta-Rocca pour faire l’enchainement Pulischellu / Vacca le dimanche.

Stationnement et paiement au nouveau parking, nous nous engageons dans le pulischellu.
Décidés à le faire en entier, nous passons la partie pro pour aller chercher les C18 et C23.
Une petite erreur de rive sur la marche d’approche, le tire est corrigé.
La C18 impose d’escalader un petit peu. Anto est en forme, précédé de Antonio au top pour son stage initiateur. Une corde est mise en place pour monter les sacs
Nous nous posons la question du temps à passer pour aller chercher la C23 qui impose du temps, et une nouvelle escalade. Ce qui est dit est dit, nous allons la chercher.
Tout le monde s’équipe et c’est parti !!
La descente se fait tranquillement, il fait très chaud les marches et rappels se succèdent, nous rencontrons des gens dans les vasques, et le pro qui met en œuvre la bâche au niveau du tobogan.
Pour certains, nous n’avions pas vu la technique de partir sur le dos tête en avant !
Les couleurs sont toujours aussi belles le canyon est ludique.

Nous nous interrogeons sur le fait de poursuivre dans le canyon à la fin du Pulischellu pour rejoindre la Vacca, ou remonter au parking , se déséquiper et faire la marche d’approche.
Le premier chois est retenu. La marche à bloc avance bien mais tranquillement ; la Vacca est effectivement encore loin… Quel paysage !
Nous sommes ravis d’enfin arriver ; les couleurs sont plus inouïes.

Les vasques sont profondes et fraîches, un vrai bonheur.
Nous sommes dans le canyon depuis quelques temps maintenant, pourtant Anto qui l’a fait au moins 200 fois, j’imagine, prend le temps de nous montrer les grottes, les étroitures pour y accéder, les passages sous bloc…
Nous passons sous le rideau qui n’a pas trop d’eau.

La marche retour est très longue, le début est toujours un petit peu abrupte et « maquisé »
nous commençons à manquer d’eau.
Nous aboutissons à l’ancienne sortie, sur la route à presque 2 kms du parking.

Un remarque nous est faite par les gérant du parking, car il est 18h lorsque nous arrivons au voitures, et le parking ferme à 17h30 !!

Le temps de se changer, tout ranger et dispatcher dans les voitures, nous quittons Antoine qui part à l’opposé.
Nous nous assurons qu’ Antonio est en forme pour la conduite retour, nous prenons le chemin de Bavella ; s’était sans compter sur la chute d’une moto juste devant nous.

Christophe fera sécher les cordes chez lui, et les ramènera au local le lendemain.

Finalement, un bon gros canyon

Un regret concerne l’absence des Topis qui avaient fait la route aller-retour la veille pour Piscia di Gallu, et dont d’autres obligations ne leur auront pas permis de partager ce moment.

Christophe C

Mardi 1er juillet 2025 – Le Trou du Moulin —Bouisse (11)

Mardi 1er juillet 2025
Spéléo, désob’
Le Trou du Moulin —Bouisse (11)

Participants
ITP / Spéléo Corbières Minervois / GPS : Jean-Noël D.
Gruissan Prospection Spéléo : André M.
Spéléo Corbières Minervois : Christophe B. (Stoche), Jean-Michel E.
Spéléo Club de l’Aude : Laurent H., Henri (Riton)
Autonome : Daniel M.(Masdan)

TPST : sept heures trente

Le moulin sans boudin

Sur l’initiative de Daniel M. retour à une très « ancienne » cavité délaissée depuis des décennies, le Trou du Moulin de Bouisse, dans les Hautes-Corbières. Ce trou très prometteur, avait été désobé il y a plusieurs décennies jusqu’à l’abandon forcé. Le propriétaire ne voulait pas de spéléos chez lui, il rebouchait l’entrée, y vidait ses pots de chambre et autres amabilités du même cru… Il a fini par vendre ce terrain. Daniel M. a bien fait les choses en contactant le nouveau propriétaire qui habite près de Narbonne et s’être arrangé avec lui.

Une redoutable marche d’approche de… 50m, l’entrée est située 100 m au sud de la première maison, et canalise par temps de pluie le plus gros des écoulements de surface. Les eaux ont été colorées plusieurs fois, et ressortent à la splendide résurgence de Montjoi, 1,8 km au nord-est et 200 m plus bas ! En face du cimetière, au-delà d’un jardin potager bien propret, dans un ilot de verdure quasi tropicale, surmonté d’un immense noyer, une dépression circulaire entourée de murets cyclopéens vous accueille, délicieusement rafraichie par les émanations telluriques du Trou du moulin.

Huit jours plus tôt Jean-Michel, Henri et Daniel ont débuté la désobstruction de la doline, désobstruction très particulière car ils ont extrait des kilos de détritus divers posés là, faute de ramassage bien organisé, au cours du temps. Comme partout, cette doline, idéalement situé à l’entrée du village, a servie de dépotoir pendant des lustres. Ils ont ressorti tous les témoignages de la vie campagnarde des 19 et 20e siècles : vaisselles, couverts, toupines, pots à graisse, casseroles, fait-tout tant en acier émaillé qu’en grés, fioles, bouteilles et plein de verre cassé, outils agricoles, chaines et toutes sortes de ferrailles, ossements de vaches, chevaux et autres volailles… Pas de restes humains, c’est normal car le cimetière est en face ! ! Pour s’apercevoir enfin que le trou se situait en fait 5 m plus loin, exactement sous l’arche encore intacte de l’ancien moulin !

Cette autre entrée crachait un souffle frais des plus sympathiques par ces temps de canicule… Mais ils avaient oublié à quel point l’accès à la belle galerie chaotique était étroit. Comme dit Stoche : « Quand nous marquions sur la topo de 1976 : zone étroiteˮ c’est que c’était… très étroit ! ! » tellement étroite que cinquante ans plus tard personne ne pouvait passer… Après trois « parlementations » successives, le passage est confortable jusqu’au début du court méandre qui précède la belle galerie.

Ce mardi, une bonne équipe inter-club, se constitue, toujours sur l’initiative de Daniel M., je retrouve André à Lézignan à 8 h 30 et direction Bouisse pour une heure quinze de route sinueuse, via Lagrasse, en remontant les gorges de l’Orbiel. Route bien connue que j’ai parcourue de nombreuses fois en vélo mais la montée vers Bouisse m’est inconnue. Belle grimpette de presque 400 m par une route étroite et sinueuse à de bons pourcentages. Bouisse est un petit village paisible de quelques âmes, au milieu d’une campagne verdoyante. On stationne près du lavoir et direction le trou, … 50 m plus loin !

Quel bonheur d’être à l’ombre et de travailler dans le souffle frais – il fait en moyenne 11° C dans les premiers mètres de la cavité, alors que dehors c’est l’enfer. L’élargissement jusqu’au méandre est confortable, après place aux spécialistes de la paille car il y a du boulot. Comment ont-ils pu passer là en 76 ? Toute la journée on se relaie pour les gamates, pause spuntinu à 13 heures, une seule bouteille de rosé, les Audois sont sérieux. Tout serait idyllique si la sécheresse actuelle nous interdisait la grillade habituelle. Hélas pas de boudin ni de saucisse grillés !

Bonne continuation du recalibrage version « papy », avec pas moins de trois perfo sur site et pas mal d’accus, sept salves de pailles permettent au toujours souple Jean-Michel de franchir la dernière chicane donnant dans la galerie. La prochaine session devrait être bonne pour enfin aller voir assez facilement le terminus atteint par Daniel, et qui semblait très prometteur.

Avis aux amateurs, c’est mardi prochain.

JND/JME/Riton

Dimanche 29 juin 2025 – JNSC – Fiumi Raghjunti – SORIO

Dimanche 29 juin 2025
Canyon, initiation JNsC
Fiumi Raghjunti – Sorio

Participants
ITP : André B., Catherine B., Laurina  B., Jean-François B., Arnaud B., Antoine B., Muriel C., Christophe C., Adriana D. C. , Jean-Claude D. B., Antonio E.G., Nicolas M., Laureen N., Benoît R., Noël R.,, Vanessa S., Alexia SB., Franck Z.

Initiés : Béa et François, Béatrice et Manu, Anghjula et Emilie-Neige, Logan

TPEC  : 02h30

Pour la cinquième année consécutive, les JNSC, orientées canyon, sont, une fois de plus, organisées sur la commune de Sorio, dans le ruisseau du Fiumi Raghiunti.

Comme l’an dernier,  l’ensemble des initiés ont été conviés le jeudi au local afin de leur présenter l’association et de faire essayer le matériel. Nous avons gagné du temps le jour de l’activité. Nous en avons également profité pour préparer le matériel.

Le samedi 28, vers 17h00, Anto, Adriana, Antonio, Christophe et Franck se retrouvent au local afin de charger le minibus  et effectuent une liaison jusqu’à Sorio. Sur place, la débroussailleuse se met en route : le coin repas est propre. La deuxième mission a été d’équiper le canyon pour le lendemain. Le groupe est rejoint par Pulpy sur place. La soirée se finira chez Franck.


Le lendemain, les premiers topis et quelques initiés se retrouvent dès 8h15 sur la commune de Sorio. Le déchargement s’organise, le barnum est installé, le matériel est dispatché du côté de la zone repas. Pendant ce temps Antonio, Christophe, Benoit  équipent la tyrolienne finale ainsi que le rappel guidé de la C11

Nous sommes prêts dés 9h30. Les derniers initiés arrivent et Franck présente le déroulement de la journée. Celle-ci est caniculaire, nous empruntons la sente bien marquée et nous nous équipons  au départ de ce canyon.

Combis enfilés, baudards réglés, les initiés sont attentifs  à la présentation technique sur l’utilisation du huit .  Une corde est tendue dans un arbre et chacun essaie la technique descente. Le discours d’Anto est bien rodé.

La première cascade est équipée, les amarrages sont bien chargés par un rappel guidé et deux cordes pour descendre directement dans l’actif. Le débit est parfait pour cette découverte

Les initiés sont prêts à en découdre avec ce canyon. la première cascade est effectué à plusieurs reprises.  Le parcours se déroule dans une ambiance conviviale et enthousiaste .

Arrivés à la C4, l’odeur prometteuse du barbecue arrive jusqu’à nous, la fin du canyon est proche. Cette année on installe une poulie tandem pour descendre. Nous arrivons au pont de Briacale vers 13h00 pour les derniers.

Les initiés semblent avoir passés une bonne journée, vu les mines réjouies.  Mumu nous a rejoint pour les agapes. La table est prête, le déjeuner est festif.   Le rangement du matériel est rapide. Nous regagnons enfin le local pour décharger le minibus, ranger le matériel et se poser quelques minutes. Ce fut une belle journée de partage et de convivialité. Un grand « Merci » à tous les participants.

Franck

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« de 46 »

Samedi 14 Juin – Canyon – Piscia Di Gallu (Ghjaddu)

Samedi 14 juin 2025
Piscia di Ghjaddu – l’Ospedale

Participants
ITP : Cathy B., Anto B., Christophe C., Adriana D., Antonio E. G., Benoit R., Vanessa S.

TPEC : 3h00

Après quelques échanges au local, le canyon de Piscia di Ghjaddu à Porto-Vecchio est proposé et vu la distance certains sont partants pour faire un week-end complet en combinant celui-ci avec d’autres le dimanche sur Bavella. Anto et Christophe étant très convaincants, Vanessa et moi décidons de se joindre à la troupe pour le samedi, Benoit ne restera aussi que le samedi et sera notre chauffeur pour la journée.

Départ tôt le samedi à 7h00 car la route est longue. Arrêt traditionnel au café à Aleria où nous rejoignons Anto et Christophe et sommes rejoins par Adriana et Antonio. Nous arrivons à l’Ospédale vers 10h. On se prépare et on attaque la courte descente d’approche, le site est magique et le temps extra. On s’équipe et nous voilà parti. C’est un canyon court, mais nous sommes assez nombreux et surtout Vanessa et moi pas très aguerris donc nous prenons le temps. C’est aussi une bonne occasion pour Antonio, Christophe et Benoit de se perfectionner en techniques d’équipement.

Christophe équipe le 1er rappel, Antonio descend pour équiper le suivant suivi par Benoit qui se chargera du suivant. Adriana suit, je m’élance ensuite suivie par Vanessa. Il y a un peu d’embouteillage avant le 3ème rappel, les rochers sont glissants et Benoit a du mal à trouver l’équilibre pour être bien à l’aise. Anto arrive à la rescousse et on repart. Après un 4ème rappel, nous voilà au départ d’une jolie cascade. Anto nous fait la démo que cela passe sans problème sans équipement en toboggan. Problème on arrive dans une vasque qui se termine par la fameuse cascade de Piscia di Chjaddu. Anto nous rassure en expliquant que le toboggan n’est en rien obligatoire et qu’un rappel est possible. Ce sera le choix de Benoit, Adriana et Vanessa Antonio se lance donc pour aller accrocher la corde qui permettra de descendre en rappel et de rester longer jusqu’au bout de la vasque. Adriana descend, suivie par Vanessa qui se trouve en difficulté pour sortir de la cascade, Antonio vient vite l’aider pour rejoindre le fond de la vasque. A mon tour, je me lance dans ce super toboggan, c’est top.

Une fois tout le monde réuni, nous voici en haut de la fameuse cascade !!! C’est delà bien impressionnant et pour le moment nous n’avons pas encore la notion de ce qui nous attend une fois l’arête de la falaise passée. Christophe et Antonio s’occupe d’équiper car on va descendre en double. Me voilà rassurée Anto acceptant de descendre à mes côtés. Adrianna descend, suivie de Benoit et Vanessa, et c’est notre tour avec Anto. Un seul mot pour résumer WAOUHHH c’est impressionnant, mais fantastique, la vue est superbe. Je reste très concentrée car toujours pas trop à l’aise en hauteur, mais ça passe. On arrive en bas, Antonio et Christophe nous rejoignent et on attaque le retour au véhicule. Il est 15h, il commence à faire faim.

Une fois changé et matériel rangé, on trouve un endroit bien agréable où il est possible de déjeuner à 16h. Le déjeuner-gouter avalé, il est temps de partir car pour Vanessa, Benoit et moi la route est longue jusqu’à Bastia.
Cathy B.

Le complément de Vanessa
Une petite pause s’impose à Aleria où on se retrouve tous pour le café du matin. Nous voilà partis pour le canyon ………… une journée avec beaucoup d émotions de la peur , en passant par la joie , la fierté….ce fût une journée incroyable. Je n aurais jamais pensé faire ça un jour . Tout n’a pas été simple la dernière partie toboggan avec le bouillon en dessous m’ a mise en difficulté. Antonio bienveillant est venu m’aider merci Antonio.

Un super groupe où l’on était en confiance et très à l’ écoute des infos pour progresser en toute sécurité .

Vanessa S.

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